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Re: Spécial USA
par Ligeia Lun 28 Sep - 11:02
Trump de nouveau attaqué au sujet de ses impôts :
"Etats-Unis : Donald Trump n'a payé que 750 dollars d'impôts fédéraux l'année de son élection, selon le "New York Times"
Le président américain, candidat à sa réelection, a démenti et évoqué des "informations bidon".
L'enquête pourrait être explosive, à un mois de l'élection présidentielle américaine. Selon des informations du New York Times (en anglais) publiées dimanche 27 septembre, Donald Trump n'a payé que 750 dollars d'impôts fédéraux en 2016, l'année de son élection à la Maison Blanche, puis autant en 2017. Et le milliardaire républicain n'a payé aucun impôt durant 10 des 15 années précédentes.
Selon le quotidien new-yorkais, Donald Trump a échappé à l'impôt "en grande partie car il a déclaré plus de pertes d'argent que de gains". Parmi les nombreuses sociétés dirigées par le magnat des affaires, nombre d'entre elles ont déclaré des pertes importantes, dont ses clubs de golf. Le New York Times promet de nouvelles révélations dans les prochains jours.
Trump refuse de publier ses déclarations d'impôt
Le président américain a lui-même balayé ces révélations et affirmé qu'il s'agissait d'"informations bidon, totalement inventées". "J'ai payé beaucoup, et j'ai payé beaucoup d'impôts sur le revenu au niveau de l'Etat aussi, l'Etat de New York taxe beaucoup", a-t-il rétorqué. Contrairement à tous ses prédécesseurs depuis les années 1970, Donald Trump refuse de publier ses déclarations d'impôt et mène un combat judiciaire pour empêcher qu'elles soient dévoilées. Son manque de transparence alimente les spéculations sur l'étendue de sa richesse ou sur de potentiels conflits d'intérêt.
Source : https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/etats-unis-donald-trump-n-a-paye-que-750-dollars-d-impots-federaux-l-annee-de-son-election_4120881.html
C'est une spécialité là-bas ? Déjà Al Capone avait été perdu par ce biais il me semble...
Si proche des élections, si ce scandale prend de l'ampleur, cela pourrait aussi déclencher un "contre-feu" de la part de Trump avec des révélations sur les scandales de pédophilie...
"Etats-Unis : Donald Trump n'a payé que 750 dollars d'impôts fédéraux l'année de son élection, selon le "New York Times"
Le président américain, candidat à sa réelection, a démenti et évoqué des "informations bidon".
L'enquête pourrait être explosive, à un mois de l'élection présidentielle américaine. Selon des informations du New York Times (en anglais) publiées dimanche 27 septembre, Donald Trump n'a payé que 750 dollars d'impôts fédéraux en 2016, l'année de son élection à la Maison Blanche, puis autant en 2017. Et le milliardaire républicain n'a payé aucun impôt durant 10 des 15 années précédentes.
Selon le quotidien new-yorkais, Donald Trump a échappé à l'impôt "en grande partie car il a déclaré plus de pertes d'argent que de gains". Parmi les nombreuses sociétés dirigées par le magnat des affaires, nombre d'entre elles ont déclaré des pertes importantes, dont ses clubs de golf. Le New York Times promet de nouvelles révélations dans les prochains jours.
Trump refuse de publier ses déclarations d'impôt
Le président américain a lui-même balayé ces révélations et affirmé qu'il s'agissait d'"informations bidon, totalement inventées". "J'ai payé beaucoup, et j'ai payé beaucoup d'impôts sur le revenu au niveau de l'Etat aussi, l'Etat de New York taxe beaucoup", a-t-il rétorqué. Contrairement à tous ses prédécesseurs depuis les années 1970, Donald Trump refuse de publier ses déclarations d'impôt et mène un combat judiciaire pour empêcher qu'elles soient dévoilées. Son manque de transparence alimente les spéculations sur l'étendue de sa richesse ou sur de potentiels conflits d'intérêt.
Source : https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/etats-unis-donald-trump-n-a-paye-que-750-dollars-d-impots-federaux-l-annee-de-son-election_4120881.html
C'est une spécialité là-bas ? Déjà Al Capone avait été perdu par ce biais il me semble...
Si proche des élections, si ce scandale prend de l'ampleur, cela pourrait aussi déclencher un "contre-feu" de la part de Trump avec des révélations sur les scandales de pédophilie...
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Ven 2 Oct - 20:01
Trump positif au Covid-19: un cadeau empoisonné pour les démocrates ?
"À qui la contamination de Donald Trump et de sa compagne au Covid-19 profite-t-elle? Sputnik a posé la question à l’avocat Olivier Piton, spécialiste des États-Unis. Contrairement aux apparences, cette séquence pourrait bien ne pas lui être défavorable.
C’est une bombe électorale qui a explosé dans la nuit aux États-Unis: le Président et candidat Donald Trump, ainsi que sa femme Melania, ont été testés positif au Covid-19, à 32 jours de l’élection présidentielle. Une contamination qui pourrait être à la fois la pire et la meilleure nouvelle pour le 45e président des États-Unis, en vue du scrutin du 3 novembre.
Bien sûr, pour certains de ses pires détracteurs, Donald Trump semblerait presque payer pour ses propres erreurs. Selon un sondage ABC/Ipsos publié mi-septembre, 65% de l’opinion américaine jugerait avec sévérité la gestion de la crise sanitaire par Donald Trump. Une simple histoire de «karma» ou de providence divine, donc, pour ses féroces opposants.
Mais, dans une élection déjà indécise, la prudence serait de mise «avant de se positionner pour savoir à qui profite cette séquence», prévient au micro de Sputnik Me Olivier Piton, auteur du livre Les Transgressifs au pouvoir (Éd. Plon, 2017).
La fameuse «surprise d’octobre» finalement arrivée ?
Car, selon la gravité de la maladie, les conséquences de cette contamination peuvent être complètement différentes.
«Pour se positionner, il faut d’abord savoir s’il est malade de manière asymptomatique, et donc s’il peut continuer de travailler en quatorzaine et occuper le terrain sans être physiquement présent, ou s’il est réellement malade et doit couper court à sa campagne», indique l’avocat en droit public.
«Pour le moment, le Président et la Première dame vont bien. Ils prévoient de rester à la Maison-Blanche pendant leur rétablissement. J'attends du Président qu'il continue d'exercer ses fonctions sans aucune interruption», a déclaré Sean Conley, son médecin personnel. Mais rien ne garantit que sa santé ne se détériore dans les jours à venir.
L’avocat en droit public rappelle que Donald Trump a tout de même 74 ans, qu’il est en surpoids, et que sa fonction ainsi que la campagne l’exposent à un stress considérable.
Dans tous les cas, du point de vue de la visibilité, sa campagne prend un coup. Habitué à être le centre d’attention lors de grands meetings, avec des milliers de participants l’acclamant comme une star de téléréalité, Trump ne pourra répondre à cette attente pendant au moins quatorze jours. Une éternité en période électorale. Et son image pourrait en pâtir, affirme Olivier Piot:
«Il a beaucoup joué sur l’image du mâle alpha, viril. Le fait qu’il soit malade est une faiblesse. C’est donc un mauvais point pour lui. Il n’affiche plus cette image d’homme providentiel, masculin et triomphant qu’il avait il y a encore 24 heures.»
Après tout, le réflexe est de s’éloigner d’un malade. Reste à savoir comment cet instinct se traduit électoralement.
Les démocrates contraints à la compassion ?
Mais à quelque chose malheur est bon. Cette contamination pourrait tout aussi bien être une bonne nouvelle pour la campagne de l’actuel pensionnaire de la Maison-Blanche. «Ce qui lui arrive peut susciter une vague de compassion et d’empathie qui peut lui être bénéfique électoralement», estime Olivier Piton.
Traduction du tweet de Joe Biden : «Jill et moi adressons nos pensées au Président Trump et à la Première dame Melania Trump et leur souhaitons un prompt rétablissement. Nous continuerons à prier pour la santé et la sécurité du Président et de sa famille.»
Le tweet susmentionné en est la preuve formelle. Et cet élan compassionnel pourrait porter un sérieux coup à la stratégie de campagne de Joe Biden.
«L’un des principaux axes de la campagne de Joe Biden était de taper sur le méchant Trump. Maintenant qu’il est malade, il devient difficile de l’attaquer car ce serait très mal perçu», analyse Olivier Piton.
Des précédents historiques ont par ailleurs déjà marqué la politique américaine. Et la maladie n’a pas toujours joué en défaveur de l’intéressé.
Plus récemment, au Brésil cette fois, ce fut aussi le cas de Jair Bolsonaro. Victime d’un coup de couteau, il a quand même été élu par la suite – bien que cette tentative d’assassinat ne puisse expliquer à elle seule son élection.
Les démocrates ressentent ce danger et, sur la Toile, nombre d’entre eux vont jusqu’à affirmer qu’il s’agit d’une ruse de campagne et non d’une réalité médicale. Une incertitude supplémentaire, donc, dans une campagne déjà bien incertaine."
Source : https://fr.sputniknews.com/international/202010021044517628-trump-positif-au-covid-19-un-cadeau-empoisonne-pour-les-democrates---/
"À qui la contamination de Donald Trump et de sa compagne au Covid-19 profite-t-elle? Sputnik a posé la question à l’avocat Olivier Piton, spécialiste des États-Unis. Contrairement aux apparences, cette séquence pourrait bien ne pas lui être défavorable.
C’est une bombe électorale qui a explosé dans la nuit aux États-Unis: le Président et candidat Donald Trump, ainsi que sa femme Melania, ont été testés positif au Covid-19, à 32 jours de l’élection présidentielle. Une contamination qui pourrait être à la fois la pire et la meilleure nouvelle pour le 45e président des États-Unis, en vue du scrutin du 3 novembre.
Bien sûr, pour certains de ses pires détracteurs, Donald Trump semblerait presque payer pour ses propres erreurs. Selon un sondage ABC/Ipsos publié mi-septembre, 65% de l’opinion américaine jugerait avec sévérité la gestion de la crise sanitaire par Donald Trump. Une simple histoire de «karma» ou de providence divine, donc, pour ses féroces opposants.
Mais, dans une élection déjà indécise, la prudence serait de mise «avant de se positionner pour savoir à qui profite cette séquence», prévient au micro de Sputnik Me Olivier Piton, auteur du livre Les Transgressifs au pouvoir (Éd. Plon, 2017).
La fameuse «surprise d’octobre» finalement arrivée ?
Car, selon la gravité de la maladie, les conséquences de cette contamination peuvent être complètement différentes.
«Pour se positionner, il faut d’abord savoir s’il est malade de manière asymptomatique, et donc s’il peut continuer de travailler en quatorzaine et occuper le terrain sans être physiquement présent, ou s’il est réellement malade et doit couper court à sa campagne», indique l’avocat en droit public.
«Pour le moment, le Président et la Première dame vont bien. Ils prévoient de rester à la Maison-Blanche pendant leur rétablissement. J'attends du Président qu'il continue d'exercer ses fonctions sans aucune interruption», a déclaré Sean Conley, son médecin personnel. Mais rien ne garantit que sa santé ne se détériore dans les jours à venir.
L’avocat en droit public rappelle que Donald Trump a tout de même 74 ans, qu’il est en surpoids, et que sa fonction ainsi que la campagne l’exposent à un stress considérable.
Dans tous les cas, du point de vue de la visibilité, sa campagne prend un coup. Habitué à être le centre d’attention lors de grands meetings, avec des milliers de participants l’acclamant comme une star de téléréalité, Trump ne pourra répondre à cette attente pendant au moins quatorze jours. Une éternité en période électorale. Et son image pourrait en pâtir, affirme Olivier Piot:
«Il a beaucoup joué sur l’image du mâle alpha, viril. Le fait qu’il soit malade est une faiblesse. C’est donc un mauvais point pour lui. Il n’affiche plus cette image d’homme providentiel, masculin et triomphant qu’il avait il y a encore 24 heures.»
Après tout, le réflexe est de s’éloigner d’un malade. Reste à savoir comment cet instinct se traduit électoralement.
Les démocrates contraints à la compassion ?
Mais à quelque chose malheur est bon. Cette contamination pourrait tout aussi bien être une bonne nouvelle pour la campagne de l’actuel pensionnaire de la Maison-Blanche. «Ce qui lui arrive peut susciter une vague de compassion et d’empathie qui peut lui être bénéfique électoralement», estime Olivier Piton.
Traduction du tweet de Joe Biden : «Jill et moi adressons nos pensées au Président Trump et à la Première dame Melania Trump et leur souhaitons un prompt rétablissement. Nous continuerons à prier pour la santé et la sécurité du Président et de sa famille.»
Le tweet susmentionné en est la preuve formelle. Et cet élan compassionnel pourrait porter un sérieux coup à la stratégie de campagne de Joe Biden.
«L’un des principaux axes de la campagne de Joe Biden était de taper sur le méchant Trump. Maintenant qu’il est malade, il devient difficile de l’attaquer car ce serait très mal perçu», analyse Olivier Piton.
Des précédents historiques ont par ailleurs déjà marqué la politique américaine. Et la maladie n’a pas toujours joué en défaveur de l’intéressé.
Plus récemment, au Brésil cette fois, ce fut aussi le cas de Jair Bolsonaro. Victime d’un coup de couteau, il a quand même été élu par la suite – bien que cette tentative d’assassinat ne puisse expliquer à elle seule son élection.
Les démocrates ressentent ce danger et, sur la Toile, nombre d’entre eux vont jusqu’à affirmer qu’il s’agit d’une ruse de campagne et non d’une réalité médicale. Une incertitude supplémentaire, donc, dans une campagne déjà bien incertaine."
Source : https://fr.sputniknews.com/international/202010021044517628-trump-positif-au-covid-19-un-cadeau-empoisonne-pour-les-democrates---/
Ligeia- Admin
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Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Ven 2 Oct - 20:58
Note : Lors des précédentes élections de novembre 2018, portés par l'impopularité du président Donald Trump, les démocrates font basculer 41 sièges et reprennent le contrôle de la Chambre des représentants après huit années passées dans l'opposition....
*****
La Chambre américaine adopte une résolution pour condamner QAnon et rejeter les théories du complot du groupe
"WASHINGTON (Spoutnik) - La résolution encourage également le FBI et d'autres organismes d'application de la loi à se concentrer sur la prévention de la violence, du harcèlement et d'autres activités criminelles motivées par le groupe.
Vendredi, la Chambre des représentants américaine a adopté à une écrasante majorité une résolution condamnant le groupe de droite QAnon et rejetant les théories du complot qu'il promeut. La Chambre des représentants a adopté la résolution dans un vote 371-18.
QAnon est souvent décrit comme un groupe obscur d'individus qui prétendent que le président Donald Trump combat secrètement un réseau de pédophiles au sein du Parti démocrate et de l'establishment.
Les législateurs ont déclaré que ces dernières années, QAnon s'était développé pour devenir un mouvement embrassant de multiples théories du complot visant à influencer les élections en sapant la confiance du public dans les institutions américaines.
Le FBI a averti que la présence en ligne du groupe encourage les extrémistes à commettre des actes criminels violents, selon les législateurs."
Source : https://sputniknews.com/us/202010021080646739-us-house-adopts-resolution-to-condemn-qanon-reject-groups-conspiracy-theories/
*****
La Chambre américaine adopte une résolution pour condamner QAnon et rejeter les théories du complot du groupe
"WASHINGTON (Spoutnik) - La résolution encourage également le FBI et d'autres organismes d'application de la loi à se concentrer sur la prévention de la violence, du harcèlement et d'autres activités criminelles motivées par le groupe.
Vendredi, la Chambre des représentants américaine a adopté à une écrasante majorité une résolution condamnant le groupe de droite QAnon et rejetant les théories du complot qu'il promeut. La Chambre des représentants a adopté la résolution dans un vote 371-18.
QAnon est souvent décrit comme un groupe obscur d'individus qui prétendent que le président Donald Trump combat secrètement un réseau de pédophiles au sein du Parti démocrate et de l'establishment.
Les législateurs ont déclaré que ces dernières années, QAnon s'était développé pour devenir un mouvement embrassant de multiples théories du complot visant à influencer les élections en sapant la confiance du public dans les institutions américaines.
Le FBI a averti que la présence en ligne du groupe encourage les extrémistes à commettre des actes criminels violents, selon les législateurs."
Source : https://sputniknews.com/us/202010021080646739-us-house-adopts-resolution-to-condemn-qanon-reject-groups-conspiracy-theories/
Ligeia- Admin
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Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Ven 2 Oct - 23:39
Maison Blanche: Trump restera à l'hôpital militaire pendant les `` prochains jours '' après le diagnostic du COVID-19
Après avoir été testé positif vendredi pour le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, le président américain Donald Trump a effectué un voyage «de précaution» au centre médical militaire national Walter Reed à Bethesda, Maryland.
L' attachée de presse de la Maison Blanche, Kelly McEnany, a annoncé vendredi que Trump «travaillerait dans les bureaux présidentiels de Walter Reed pendant les prochains jours».
Le président aurait fait le voyage via Marine One , un hélicoptère spécialisé Sikorsky VH-3D Sea King.
Dès le début vendredi matin, 74 ans Trump a annoncé que lui et sa femme, 50 ans , la première dame Melania Trump, avait été testé positif pour le SRAS-CoV-2 après l' espoir Hicks, un proche conseiller du président, a également testé positif.
Selon son médecin personnel, Trump souffre de fièvre et de fatigue, tandis que Melania présente des symptômes très légers. Le président prend également un «cocktail d'anticorps» avec plusieurs suppléments vitaminiques .
L'établissement médical tentaculaire, anciennement connu sous le nom de Bethesda Naval Hospital, se trouve en face du campus des National Institutes for Health (NIH), le centre névralgique des États-Unis pour la recherche sur les maladies respiratoires.
Source : https://sputniknews.com/us/202010021080648111-trump-leaving-white-house-to-walter-reed-military-medical-center/
Après avoir été testé positif vendredi pour le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, le président américain Donald Trump a effectué un voyage «de précaution» au centre médical militaire national Walter Reed à Bethesda, Maryland.
L' attachée de presse de la Maison Blanche, Kelly McEnany, a annoncé vendredi que Trump «travaillerait dans les bureaux présidentiels de Walter Reed pendant les prochains jours».
Le président aurait fait le voyage via Marine One , un hélicoptère spécialisé Sikorsky VH-3D Sea King.
Dès le début vendredi matin, 74 ans Trump a annoncé que lui et sa femme, 50 ans , la première dame Melania Trump, avait été testé positif pour le SRAS-CoV-2 après l' espoir Hicks, un proche conseiller du président, a également testé positif.
Selon son médecin personnel, Trump souffre de fièvre et de fatigue, tandis que Melania présente des symptômes très légers. Le président prend également un «cocktail d'anticorps» avec plusieurs suppléments vitaminiques .
L'établissement médical tentaculaire, anciennement connu sous le nom de Bethesda Naval Hospital, se trouve en face du campus des National Institutes for Health (NIH), le centre névralgique des États-Unis pour la recherche sur les maladies respiratoires.
Source : https://sputniknews.com/us/202010021080648111-trump-leaving-white-house-to-walter-reed-military-medical-center/
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Dim 4 Oct - 10:45
Voir aussi le thread de Ror sur le sujet :
https://lagrandeparodie.forumactif.com/t1188p75-rorschach-et-les-mini-videos-twitter#7406
*******
Covid-19 : depuis son bureau à l'hôpital, Donald Trump assure qu'il "commence à aller bien"
"Il espère être "bientôt de retour". Testé positif au Covid-19 et hospitalisé depuis vendredi, le président américain Donald Trump a dit, samedi 3 octobre, dans la soirée, qu'il allait "beaucoup mieux" mais que les jours à venir représenteraient "le vrai test" pour lui. "Je suis venu ici, je n'allais pas très bien", a-t-il affirmé, assis à une table, en veste mais sans cravate, dans une vidéo de quatre minutes diffusée sur Twitter. "Je me sens beaucoup mieux maintenant, nous travaillons dur pour que je me remette tout à fait. (...) J'ai hâte de finir la campagne comme je l'ai commencée."
La vidéo : https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1312525833505058816
Des médecins "prudemment optimistes"
Le médecin personnel de Donald Trump a ensuite précisé que son patient n'était "pas encore tiré d'affaire" mais que l'équipe médicale était "prudemment optimiste". "L'état du président Trump continue à bien évoluer, il a fait des progrès substantiels depuis le diagnostic", a dit le docteur Sean Conley, dans un bulletin diffusé samedi soir.
Le chef de cabinet du président, Mark Meadows, a reconnu samedi que les médecins du président avaient été "très préoccupés" par son état de santé initial, notamment en raison d'une chute de son niveau d'oxygène, mais que son état s'était ensuite amélioré.
La campagne électorale a été bouleversée par cette hospitalisation. Les déplacements de Donald Trump ont été annulés et son directeur de campagne a lui aussi été contaminé. L'incertitude plane sur les prochains débats télévisés, notamment celui censé opposer leurs colistiers, le vice-président Mike Pence et la sénatrice démocrate Kamala Harris, prévu mercredi.
Source : https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/video-covid-19-depuis-son-bureau-a-l-hopital-donald-trump-assure-qu-il-commence-a-aller-bien_4128171.html
https://lagrandeparodie.forumactif.com/t1188p75-rorschach-et-les-mini-videos-twitter#7406
*******
Covid-19 : depuis son bureau à l'hôpital, Donald Trump assure qu'il "commence à aller bien"
"Il espère être "bientôt de retour". Testé positif au Covid-19 et hospitalisé depuis vendredi, le président américain Donald Trump a dit, samedi 3 octobre, dans la soirée, qu'il allait "beaucoup mieux" mais que les jours à venir représenteraient "le vrai test" pour lui. "Je suis venu ici, je n'allais pas très bien", a-t-il affirmé, assis à une table, en veste mais sans cravate, dans une vidéo de quatre minutes diffusée sur Twitter. "Je me sens beaucoup mieux maintenant, nous travaillons dur pour que je me remette tout à fait. (...) J'ai hâte de finir la campagne comme je l'ai commencée."
La vidéo : https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1312525833505058816
Des médecins "prudemment optimistes"
Le médecin personnel de Donald Trump a ensuite précisé que son patient n'était "pas encore tiré d'affaire" mais que l'équipe médicale était "prudemment optimiste". "L'état du président Trump continue à bien évoluer, il a fait des progrès substantiels depuis le diagnostic", a dit le docteur Sean Conley, dans un bulletin diffusé samedi soir.
Le chef de cabinet du président, Mark Meadows, a reconnu samedi que les médecins du président avaient été "très préoccupés" par son état de santé initial, notamment en raison d'une chute de son niveau d'oxygène, mais que son état s'était ensuite amélioré.
La campagne électorale a été bouleversée par cette hospitalisation. Les déplacements de Donald Trump ont été annulés et son directeur de campagne a lui aussi été contaminé. L'incertitude plane sur les prochains débats télévisés, notamment celui censé opposer leurs colistiers, le vice-président Mike Pence et la sénatrice démocrate Kamala Harris, prévu mercredi.
Source : https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/video-covid-19-depuis-son-bureau-a-l-hopital-donald-trump-assure-qu-il-commence-a-aller-bien_4128171.html
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Re: Spécial USA
par Ligeia Lun 5 Oct - 18:01
Trump semble se livrer à un marathon du tweet....
Ça n'a rien de drôle tellement cela semble relever de la frénésie incontrôlable.
Ça n'a rien de drôle tellement cela semble relever de la frénésie incontrôlable.
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Lun 5 Oct - 18:07
Il a aussi posté ceci :
"Volontaire pour être observateur de scrutin Trump ? Inscrivez-vous aujourd'hui !"
Renvoyant sur ce site :
https://www.armyfortrump.com/
On n'est plus dans la simple propagande là. Limite de l'intimidation....
"Volontaire pour être observateur de scrutin Trump ? Inscrivez-vous aujourd'hui !"
Renvoyant sur ce site :
https://www.armyfortrump.com/
On n'est plus dans la simple propagande là. Limite de l'intimidation....
Ligeia- Admin
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Sowl- Date d'inscription : 10/07/2019
Re: Spécial USA
par Ligeia Mer 7 Oct - 12:46
Exactement Sowl, d'autant qu'il semble décider à déclassifier de nombreux documents.... :
"J'ai pleinement autorisé la déclassification totale de tous les documents relatifs au plus grand CRIME politique de l'histoire américaine, le canular de la Russie. De même, le scandale des e-mails d'Hillary Clinton."
https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1313640512025513984
A voir si le scandale du pédogate suit dans la foulée...
"J'ai pleinement autorisé la déclassification totale de tous les documents relatifs au plus grand CRIME politique de l'histoire américaine, le canular de la Russie. De même, le scandale des e-mails d'Hillary Clinton."
https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1313640512025513984
A voir si le scandale du pédogate suit dans la foulée...
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Mer 14 Oct - 22:17
Barron Trump positif au Covid :
"La première dame Melania Trump a révélé dans un communiqué mercredi que son fils de 14 ans, Barron, avait été testé positif au COVID-19.
Dans la déclaration , Melania a révélé que son fils avait initialement été testé négatif à la suite des diagnostics positifs d'elle et du président américain Donald Trump. Cependant, après plusieurs tests, Barron a finalement été testé positif. Cependant, Barron est un «adolescent fort» et «ne présentait aucun symptôme». La déclaration n'indique pas explicitement si Barron n'est plus testé positif au COVID-19.
Melania se souvient également de son expérience avec le COVID-19 dans la déclaration notant que son "diagnostic est venu avec des symptômes minimes" qui comprenaient la toux, les courbatures, les maux de tête et la fatigue.
«J'ai choisi une voie plus naturelle en termes de médecine, optant davantage pour les vitamines et les aliments sains. Nous avions de merveilleux gardiens autour de nous et nous serons à jamais reconnaissants des soins médicaux et de la discrétion professionnelle que nous avons reçus du Dr Conley et de son équipe. », a noté la première dame.
Plus de détails à suivre."
Source : https://sputniknews.com/amp/us/202010141080771385-melania-trump-reveals-son-barron-tested-positive-for-covid-19/?__twitter_impression=true
"La première dame Melania Trump a révélé dans un communiqué mercredi que son fils de 14 ans, Barron, avait été testé positif au COVID-19.
Dans la déclaration , Melania a révélé que son fils avait initialement été testé négatif à la suite des diagnostics positifs d'elle et du président américain Donald Trump. Cependant, après plusieurs tests, Barron a finalement été testé positif. Cependant, Barron est un «adolescent fort» et «ne présentait aucun symptôme». La déclaration n'indique pas explicitement si Barron n'est plus testé positif au COVID-19.
Melania se souvient également de son expérience avec le COVID-19 dans la déclaration notant que son "diagnostic est venu avec des symptômes minimes" qui comprenaient la toux, les courbatures, les maux de tête et la fatigue.
«J'ai choisi une voie plus naturelle en termes de médecine, optant davantage pour les vitamines et les aliments sains. Nous avions de merveilleux gardiens autour de nous et nous serons à jamais reconnaissants des soins médicaux et de la discrétion professionnelle que nous avons reçus du Dr Conley et de son équipe. », a noté la première dame.
Plus de détails à suivre."
Source : https://sputniknews.com/amp/us/202010141080771385-melania-trump-reveals-son-barron-tested-positive-for-covid-19/?__twitter_impression=true
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Jeu 12 Nov - 11:45
Mike Pompeo annonce sa venue en Israël et dans les pays du Golfe
"Il évoquera les "efforts historiques" de l'administration Trump "pour favoriser la paix au Moyen-Orient"
Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a confirmé mardi lors d'une conférence de presse qu'il se rendrait à partir de ce week-end dans plusieurs pays alliés de Washington en Europe et au Moyen-Orient, dont l'Etat hébreu.
Mike Pompeo quittera vendredi les Etats-Unis pour la France, avant d'aller en Turquie, en Géorgie, en Israël et dans trois pays alliés du Golfe - l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et le Qatar.
Parmi les sujets qui seront abordés, M. Pompeo a notamment assuré vouloir évoquer les "efforts historiques" de l'administration Trump "pour favoriser la paix et la coopération à travers le Moyen-Orient".
Le chef de la diplomatie américaine rencontrera ainsi le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à propos des Accords d'Abraham, mais aussi pour discuter "des efforts conjoints pour faire face au comportement malveillant de l'Iran", selon un communiqué du département d'Etat.
Aux Emirats, M. Pompeo s'entretiendra avec le prince héritier Mohammed ben Zayed à Abou Dhabi concernant "les problèmes régionaux et la coopération en matière de sécurité".
Le secrétaire d'Etat américain se rendra ensuite au Qatar "pour discuter de questions bilatérales et régionales, et de l'importance de l'unité du Golfe" avec son homologue Mohammed ben Abdulrahman Al Thani et l'émir Amir Tamim ben Hamad Al Thani.
Enfin, M. Pompeo rencontrera le prince héritier Mohammed ben Salmane en Arabie saoudite."
Source : https://www.i24news.tv/fr/actu/international/1605076359-mike-pompeo-annonce-sa-venue-en-israel-et-dans-les-pays-du-golfe
"Il évoquera les "efforts historiques" de l'administration Trump "pour favoriser la paix au Moyen-Orient"
Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a confirmé mardi lors d'une conférence de presse qu'il se rendrait à partir de ce week-end dans plusieurs pays alliés de Washington en Europe et au Moyen-Orient, dont l'Etat hébreu.
Mike Pompeo quittera vendredi les Etats-Unis pour la France, avant d'aller en Turquie, en Géorgie, en Israël et dans trois pays alliés du Golfe - l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et le Qatar.
Parmi les sujets qui seront abordés, M. Pompeo a notamment assuré vouloir évoquer les "efforts historiques" de l'administration Trump "pour favoriser la paix et la coopération à travers le Moyen-Orient".
Le chef de la diplomatie américaine rencontrera ainsi le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à propos des Accords d'Abraham, mais aussi pour discuter "des efforts conjoints pour faire face au comportement malveillant de l'Iran", selon un communiqué du département d'Etat.
Aux Emirats, M. Pompeo s'entretiendra avec le prince héritier Mohammed ben Zayed à Abou Dhabi concernant "les problèmes régionaux et la coopération en matière de sécurité".
Le secrétaire d'Etat américain se rendra ensuite au Qatar "pour discuter de questions bilatérales et régionales, et de l'importance de l'unité du Golfe" avec son homologue Mohammed ben Abdulrahman Al Thani et l'émir Amir Tamim ben Hamad Al Thani.
Enfin, M. Pompeo rencontrera le prince héritier Mohammed ben Salmane en Arabie saoudite."
Source : https://www.i24news.tv/fr/actu/international/1605076359-mike-pompeo-annonce-sa-venue-en-israel-et-dans-les-pays-du-golfe
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Re: Spécial USA
par Ligeia Mar 1 Déc - 9:20
Cette fois c'est Jared Kushner qui va poser ses jalons...
"Jared Kushner, gendre de Trump, va se rendre au Qatar et en Arabie saoudite
Jared Kushner, gendre et conseiller du président américain Donald Trump, se rendra en Arabie saoudite et au Qatar cette semaine, dans une tentative de remporter d'ultimes victoires diplomatiques dans la région, avant de quitter la Maison Blanche, a indiqué dimanche le Wall Street Journal. Ce déplacement a en particulier pour but de résoudre le conflit entre le Qatar et une alliance dirigée par les Saoudiens, mais un certain nombre de problématiques pourraient aussi être à l'ordre du jour, selon le quotidien américain. Le voyage de Jared Kushner intervient quelques jours après l'assassinat d'un éminent scientifique iranien, attribué à Israël.
L'horloge tourne pour Donald Trump, qui devra quitter la Maison Blanche après que le président élu Joe Biden aura prêté serment le 20 janvier.
Jared Kushner a tenté de conclure plusieurs accords dans la région et a noué un lien avec le prince héritier Mohammed ben Salmane (MBS), souverain de facto de l'Arabie saoudite, qui divise le pays. Ces derniers mois, Bahreïn et les Émirats arabes unis ont accepté de normaliser leurs relations avec Israël, dans le cadre des accords dits d'Abraham, menés par la Maison Blanche représentée par Jared Kushner. Le Soudan a également donné son accord de principe pour normaliser ses relations avec Israël.
Les craintes communes au sujet de l'Iran ont progressivement rapproché Israël et les pays arabes du Golfe, avec le concours des États-Unis. Le 23 novembre, des sources israéliennes ont fait état de pourparlers secrets entre le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et le prince héritier Mohammed ben Salmane. Les médias israéliens ont alimenté les spéculations selon lesquelles Israël pourrait s'approcher de la normalisation de ses relations avec la plus grande puissance du Golfe. Riyad a cependant nié toute rencontre entre Benyamin Nétanyahou et Mohammed ben Salmane.
L'Arabie saoudite a publiquement affirmé qu'elle s'alignait toujours sur la position de la Ligue arabe, qui exclut toute normalisation des relations avec Israël en l'absence d'une résolution du conflit israélo-palestinien. Le Wall Street Journal a précisé que Jared Kushner sera accompagné lors de ce voyage par Avi Berkowitz, conseiller du président sur le Moyen-Orient, et Brian Hook, ex-émissaire américain pour l'Iran.
Le différend opposant le Qatar aux puissances du Golfe remonte à plusieurs années. Bahreïn, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l'Égypte ont imposé un embargo aérien, maritime et terrestre au Qatar en juin 2017, estimant Doha trop proche de l'Iran et de groupes islamistes radicaux, ce que dément le Qatar."
Source : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/jared-kushner-gendre-de-trump-va-se-rendre-au-qatar-et-en-arabie-saoudite-20201130
"Jared Kushner, gendre de Trump, va se rendre au Qatar et en Arabie saoudite
Jared Kushner, gendre et conseiller du président américain Donald Trump, se rendra en Arabie saoudite et au Qatar cette semaine, dans une tentative de remporter d'ultimes victoires diplomatiques dans la région, avant de quitter la Maison Blanche, a indiqué dimanche le Wall Street Journal. Ce déplacement a en particulier pour but de résoudre le conflit entre le Qatar et une alliance dirigée par les Saoudiens, mais un certain nombre de problématiques pourraient aussi être à l'ordre du jour, selon le quotidien américain. Le voyage de Jared Kushner intervient quelques jours après l'assassinat d'un éminent scientifique iranien, attribué à Israël.
L'horloge tourne pour Donald Trump, qui devra quitter la Maison Blanche après que le président élu Joe Biden aura prêté serment le 20 janvier.
Jared Kushner a tenté de conclure plusieurs accords dans la région et a noué un lien avec le prince héritier Mohammed ben Salmane (MBS), souverain de facto de l'Arabie saoudite, qui divise le pays. Ces derniers mois, Bahreïn et les Émirats arabes unis ont accepté de normaliser leurs relations avec Israël, dans le cadre des accords dits d'Abraham, menés par la Maison Blanche représentée par Jared Kushner. Le Soudan a également donné son accord de principe pour normaliser ses relations avec Israël.
Les craintes communes au sujet de l'Iran ont progressivement rapproché Israël et les pays arabes du Golfe, avec le concours des États-Unis. Le 23 novembre, des sources israéliennes ont fait état de pourparlers secrets entre le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et le prince héritier Mohammed ben Salmane. Les médias israéliens ont alimenté les spéculations selon lesquelles Israël pourrait s'approcher de la normalisation de ses relations avec la plus grande puissance du Golfe. Riyad a cependant nié toute rencontre entre Benyamin Nétanyahou et Mohammed ben Salmane.
L'Arabie saoudite a publiquement affirmé qu'elle s'alignait toujours sur la position de la Ligue arabe, qui exclut toute normalisation des relations avec Israël en l'absence d'une résolution du conflit israélo-palestinien. Le Wall Street Journal a précisé que Jared Kushner sera accompagné lors de ce voyage par Avi Berkowitz, conseiller du président sur le Moyen-Orient, et Brian Hook, ex-émissaire américain pour l'Iran.
Le différend opposant le Qatar aux puissances du Golfe remonte à plusieurs années. Bahreïn, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l'Égypte ont imposé un embargo aérien, maritime et terrestre au Qatar en juin 2017, estimant Doha trop proche de l'Iran et de groupes islamistes radicaux, ce que dément le Qatar."
Source : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/jared-kushner-gendre-de-trump-va-se-rendre-au-qatar-et-en-arabie-saoudite-20201130
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Re: Spécial USA
par Bramane Lun 14 Déc - 6:19
Un député US propose que le Texas proclame son indépendance
es Texans devraient organiser un référendum pour décider s’ils souhaitent rester au sein des États-Unis, a déclaré le député texan Kyle Biedermann à la chaîne de télévision Fox News.
Le Texas pourrait se retirer des États-Unis en cas de succès d’une initiative lancée par le républicain Kyle Biedermann, membre de la Chambre des représentants du Texas, qui a exposé son projet ce samedi 12 décembre à la chaîne de télévision Fox News.
«Le gouvernement fédéral est hors de contrôle et ne représente pas les valeurs des Texans. C'est pourquoi je m'engage à déposer une loi qui permettra d’organiser un référendum afin de donner aux Texans la possibilité de voter pour que l'État du Texas réaffirme son statut de nation indépendante», avait précédemment indiqué M.Biedermann sur Twitter.
Selon M.Biedermann, les Texans soutiennent la forme républicaine de gouvernement, le mouvement nationaliste au Texas soutient aussi l’idée de la sécession et une demande de référendum sur la sécession a été soumise à la chambre des représentants de l’État plusieurs centaines de fois.
Le Texas intente un procès pour invalider l’élection de Biden
Auparavant, 17 États américains avaient soutenu une demande du Texas auprès de la Cour suprême d’invalider les résultats de la présidentielle dans quatre États dont les voix avaient été données au candidat démocrate Joe Biden. Il s'agissait du Michigan, de la Géorgie, de la Pennsylvanie et du Wisconsin, qui représentent environ 20 millions d’électeurs.
Le Président sortant, le républicain Donald Trump, a décidé de se joindre au procès. La Cour suprême des États-Unis a rejeté la requête du Texas le 11 décembre.
https://fr.sputniknews.com/amerique-nord/202012121044920997-texit-un-depute-us-propose-que-le-texas-proclame-son-independance/
es Texans devraient organiser un référendum pour décider s’ils souhaitent rester au sein des États-Unis, a déclaré le député texan Kyle Biedermann à la chaîne de télévision Fox News.
Le Texas pourrait se retirer des États-Unis en cas de succès d’une initiative lancée par le républicain Kyle Biedermann, membre de la Chambre des représentants du Texas, qui a exposé son projet ce samedi 12 décembre à la chaîne de télévision Fox News.
«Le gouvernement fédéral est hors de contrôle et ne représente pas les valeurs des Texans. C'est pourquoi je m'engage à déposer une loi qui permettra d’organiser un référendum afin de donner aux Texans la possibilité de voter pour que l'État du Texas réaffirme son statut de nation indépendante», avait précédemment indiqué M.Biedermann sur Twitter.
Selon M.Biedermann, les Texans soutiennent la forme républicaine de gouvernement, le mouvement nationaliste au Texas soutient aussi l’idée de la sécession et une demande de référendum sur la sécession a été soumise à la chambre des représentants de l’État plusieurs centaines de fois.
Le Texas intente un procès pour invalider l’élection de Biden
Auparavant, 17 États américains avaient soutenu une demande du Texas auprès de la Cour suprême d’invalider les résultats de la présidentielle dans quatre États dont les voix avaient été données au candidat démocrate Joe Biden. Il s'agissait du Michigan, de la Géorgie, de la Pennsylvanie et du Wisconsin, qui représentent environ 20 millions d’électeurs.
Le Président sortant, le républicain Donald Trump, a décidé de se joindre au procès. La Cour suprême des États-Unis a rejeté la requête du Texas le 11 décembre.
https://fr.sputniknews.com/amerique-nord/202012121044920997-texit-un-depute-us-propose-que-le-texas-proclame-son-independance/
Bramane- Date d'inscription : 22/06/2020
Re: Spécial USA
par Ligeia Lun 14 Déc - 11:48
Vu sur twitter :
Vu tout ce qui s'accumule, il a l'embarras du choix !
Mais est ce qu'il mettra cette menace à exécution ça reste à voir...
Vu tout ce qui s'accumule, il a l'embarras du choix !
Mais est ce qu'il mettra cette menace à exécution ça reste à voir...
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Ven 18 Déc - 1:21
Hacking:
Une cyberattaque est menée contre le réseau des armes nucléaires de l'armée américaine. Les pirates ont réussi a pénétrer le réseau.
Le département de l'énergie et la NNSA (administration nationale de la sécurité nucléaire), qui maintient le stock d'armes nucléaires des États-Unis, ont des preuves que des pirates ont accédé à leurs réseaux.
La Maison Blanche active la réponse cyber-urgences en vertu de la directive présidentielle (PPD) 41, les agences du gouvernement +méricain ont formé un groupe de coordination cyber-unifié.
La Maison-blanche pourrait aussi demander l'arrêt partiel ou total des ordinateurs centraux de l'armée américaine pour éviter les fuites.
Le thread ici :
https://twitter.com/RestitutorOrien/status/1339672851423633409?s=19
Voir aussi :
https://www.cyberscoop.com/solarwinds-white-house-national-security-council-emergency-meetings/
Une cyberattaque est menée contre le réseau des armes nucléaires de l'armée américaine. Les pirates ont réussi a pénétrer le réseau.
Le département de l'énergie et la NNSA (administration nationale de la sécurité nucléaire), qui maintient le stock d'armes nucléaires des États-Unis, ont des preuves que des pirates ont accédé à leurs réseaux.
La Maison Blanche active la réponse cyber-urgences en vertu de la directive présidentielle (PPD) 41, les agences du gouvernement +méricain ont formé un groupe de coordination cyber-unifié.
La Maison-blanche pourrait aussi demander l'arrêt partiel ou total des ordinateurs centraux de l'armée américaine pour éviter les fuites.
Le thread ici :
https://twitter.com/RestitutorOrien/status/1339672851423633409?s=19
Voir aussi :
https://www.cyberscoop.com/solarwinds-white-house-national-security-council-emergency-meetings/
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Bramane Sam 2 Jan - 7:28
Nouvelle inusité
Peu fréquent dans l'histoire
Le Congrès américain a infligé vendredi une humiliation inédite à Donald Trump en contournant, à une très large majorité, son veto au budget de la Défense.
Le Sénat a adopté, avec 81 voix pour et 13 contre, ce budget de 740 milliards de dollars malgré les objections du président lors d'une séance exceptionnelle en ce 1er janvier. Comme la Chambre des représentants avait fait de même lundi, le texte est définitivement adopté.
La majorité des élus républicains ont joint leur voix aux démocrates, défiant leur chef au crépuscule de son mandat, alors que celui-ci s'est toujours targué de leur soutien.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1760399/congres-veto-president-donald-trump-budget-defense
Budget militaire US pour 2021
Selon le projet de budget de Défense, les États-Unis entendent élargir les sanctions frappant les gazoducs Nord Stream 2 et Turkish Stream, et en adopter d’autres contre Ankara qui a acheté des systèmes sol-air russes S-400.
Le projet prévoit en outre de poursuivre les livraisons d’armes à l’Ukraine et interdit la coopération entre les armées des États-Unis et de la Russie.
https://fr.sputniknews.com/international/202101011045010259-le-congres-americain-contourne-le-veto-de-trump-sur-les-sanctions-visant-le-nord-stream-2/
Peu fréquent dans l'histoire
Le Congrès américain a infligé vendredi une humiliation inédite à Donald Trump en contournant, à une très large majorité, son veto au budget de la Défense.
Le Sénat a adopté, avec 81 voix pour et 13 contre, ce budget de 740 milliards de dollars malgré les objections du président lors d'une séance exceptionnelle en ce 1er janvier. Comme la Chambre des représentants avait fait de même lundi, le texte est définitivement adopté.
La majorité des élus républicains ont joint leur voix aux démocrates, défiant leur chef au crépuscule de son mandat, alors que celui-ci s'est toujours targué de leur soutien.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1760399/congres-veto-president-donald-trump-budget-defense
Budget militaire US pour 2021
Selon le projet de budget de Défense, les États-Unis entendent élargir les sanctions frappant les gazoducs Nord Stream 2 et Turkish Stream, et en adopter d’autres contre Ankara qui a acheté des systèmes sol-air russes S-400.
Le projet prévoit en outre de poursuivre les livraisons d’armes à l’Ukraine et interdit la coopération entre les armées des États-Unis et de la Russie.
https://fr.sputniknews.com/international/202101011045010259-le-congres-americain-contourne-le-veto-de-trump-sur-les-sanctions-visant-le-nord-stream-2/
Bramane- Date d'inscription : 22/06/2020
Re: Spécial USA
par Ligeia Dim 3 Jan - 13:05
"Dans le cadre d'un renversement brutal de la stratégie vis à vis de l'Iran, le Pentagone ordonne le retour d'un porte-avions, envoyant des messages contradictoires à l'approche de l'anniversaire de la mort du général Soleimani.
Le Pentagone a brusquement renvoyé le porte-avions Nimitz du Moyen-Orient et d'Afrique malgré les objections des principaux conseillers militaires, marquant le renversement d'une stratégie de flexion musculaire d'une semaine visant à dissuader l'Iran d'attaquer les troupes et diplomates américains dans le golfe Persique .
Des responsables ont déclaré vendredi que le secrétaire à la Défense par intérim, Christopher C. Miller, avait ordonné le redéploiement du navire en partie comme un signal de «désescalade» à Téhéran pour éviter de tomber dans une crise pendant les jours de déclin du président Trump. Les rapports des services de renseignement américains indiquent que l'Iran et ses mandataires pourraient préparer une frappe dès ce week-end pour venger la mort du général de division Qassim Suleimani , commandant de la force d'élite iranienne Qods du Corps des gardiens de la révolution islamique.
De hauts responsables du Pentagone ont déclaré que M. Miller avait estimé que l'envoi du Nimitz maintenant, avant le premier anniversaire ce dimanche de la mort du général Suleimani dans une frappe de drone américain en Irak, pourrait supprimer ce que les extrémistes iraniens considèrent comme une provocation qui justifie leurs menaces contre les Américains. cibles militaires. Certains analystes ont déclaré que le retour du Nimitz à son port d'attache de Bremerton, Washington, était une réduction bienvenue des tensions entre les deux pays.
«Si le Nimitz part, c'est peut-être parce que le Pentagone pense que la menace pourrait quelque peu disparaître», a déclaré Michael P. Mulroy, ancien haut responsable politique du Pentagone au Moyen-Orient.
Mais les critiques ont déclaré que les messages mitigés étaient un autre exemple de l'inexpérience et de la prise de décision confuse au Pentagone depuis que M. Trump a limogé le secrétaire à la Défense Mark T.Esper et plusieurs de ses principaux collaborateurs en novembre, et les a remplacés par M. Miller, un ancien Assistant de lutte contre le terrorisme de la Maison Blanche et plusieurs fidèles de Trump.
"Cette décision envoie au mieux un signal mitigé à l'Iran et réduit notre gamme d'options précisément au mauvais moment", a déclaré Matthew Spence, un ancien haut responsable politique du Pentagone au Moyen-Orient. «Cela remet sérieusement en question la stratégie de l’administration.»
L'ordre de M. Miller a annulé une demande du général Kenneth F. McKenzie Jr., le commandant des forces américaines au Moyen-Orient, d'étendre le déploiement du Nimitz et de garder à portée de main sa formidable aile d'avion d'attaque.
Au cours des dernières semaines, M. Trump a menacé à plusieurs reprises l'Iran sur Twitter et, en novembre, de hauts responsables de la sécurité nationale ont écarté le président d'une frappe préventive contre un site nucléaire iranien . On ne sait pas si M. Trump était au courant de l'ordre de M. Miller de renvoyer le Nimitz chez lui.
Le Pentagone et le commandement central du général McKenzie avaient diffusé pendant des semaines plusieurs démonstrations de force pour avertir Téhéran des conséquences de tout assaut. Le Nimitz et d'autres navires de guerre sont arrivés pour fournir une couverture aérienne aux troupes américaines qui se retiraient d'Irak, d'Afghanistan et de Somalie. L'armée de l'air a envoyé à trois reprises des bombardiers B-52 pour voler à moins de 60 miles de la côte iranienne. Et la marine a annoncé pour la première fois en près d'une décennie qu'elle avait commandé un sous-marin tirant des missiles Tomahawk dans le golfe Persique.
Pas plus tard que mercredi, le général McKenzie a mis en garde les Iraniens et leurs mandataires de la milice chiite en Irak contre toute attaque autour de l'anniversaire de la mort du général Suleimani le 3 janvier.
Mais jeudi, des conseillers militaires supérieurs, dont le général McKenzie et le général Mark A. Milley, le président des chefs d'état-major interarmées, ont été surpris par la décision de M. Miller sur le Nimitz.
La marine avait cherché à limiter davantage d'extensions au déploiement déjà long du porte-avions, mais les commandants pensaient que le navire de guerre resterait au moins encore plusieurs jours pour aider à contrer ce que les analystes du renseignement militaire considéraient comme une menace croissante et imminente.
Ces derniers jours, des analystes américains du renseignement ont déclaré avoir détecté les défenses aériennes, les forces maritimes et d'autres unités de sécurité iraniennes en état d'alerte. Ils ont également déterminé que l'Iran avait déplacé davantage de missiles et de drones à courte portée en Irak. Mais les hauts responsables du ministère de la Défense reconnaissent qu'ils ne peuvent pas dire si l'Iran ou ses mandataires chiites en Irak se préparent à frapper les troupes américaines ou préparent des mesures défensives au cas où M. Trump ordonnerait une attaque préventive contre eux.
"Ce que vous avez ici est un dilemme de sécurité classique, où les manœuvres des deux côtés peuvent être mal interprétées et augmenter les risques d'erreur de calcul", a déclaré Brett H. McGurk, ancien envoyé spécial de M. Trump auprès de la coalition pour vaincre l'État islamique.
Certains principaux collaborateurs de M. Miller, y compris Ezra Cohen-Watnick, l'un des fidèles de la Maison Blanche nouvellement installé en tant que principal responsable de la politique de renseignement du Pentagone, ont soulevé des doutes sur la valeur dissuasive du Nimitz, en particulier lorsqu'il tour. Certains collaborateurs ont également mis en doute l'imminence d'une attaque de l'Iran ou de ses mandataires, une évaluation rapportée plus tôt par CNN .
Les responsables du Pentagone ont déclaré qu'ils avaient envoyé des chasseurs et des avions d'attaque supplémentaires, ainsi que des avions de ravitaillement, en Arabie saoudite et dans d'autres pays du golfe pour compenser la perte de la puissance de feu du Nimitz.
Vendredi, le commandant en chef du Corps paramilitaire des gardiens de la révolution islamique iranien a déclaré que son pays était pleinement prêt à répondre à toute pression militaire américaine dans un contexte de tensions accrues entre Téhéran et Washington dans les derniers jours de la présidence de M. Trump.
"Aujourd'hui, nous n'avons aucun problème, inquiétude ou appréhension à rencontrer des pouvoirs", a déclaré le major général Hossein Salami lors d'une cérémonie à l'université de Téhéran commémorant l'anniversaire de la mort du général Suleimani.
«Nous donnerons nos derniers mots à nos ennemis sur le champ de bataille», a déclaré le général Salami, sans mentionner directement les États-Unis.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Javad Zarif, a déclaré jeudi que l'administration Trump créait un prétexte à la guerre.
«Au lieu de lutter contre Covid aux États-Unis, @realDonaldTrump et ses cohortes gaspillent des milliards pour voler des B52 et envoyer des armadas dans NOTRE région», a déclaré M. Zarif dans un tweet . «Les renseignements irakiens indiquent un complot pour FABRIQUER le prétexte de la guerre. L'Iran ne cherche pas la guerre mais défendra OUVERTURE ET DIRECTEMENT son peuple, sa sécurité et ses intérêts vitaux.
Vendredi, dans une autre provocation de l'Iran, Téhéran a notifié aux inspecteurs internationaux qu'il était sur le point de commencer à produire de l'uranium à un niveau d'enrichissement significativement plus élevé à Fordow, une usine profondément sous une montagne et donc plus difficile à attaquer. Cette décision semblait viser principalement à faire pression sur le président élu Joseph R. Biden Jr. pour qu'il rejoigne l'accord nucléaire avec l'Iran. Il y avait peu d'activité autorisée à l'usine de Fordow dans le cadre de l'accord de 2015.
La notification à l'Agence internationale de l'énergie atomique à Vienne, le groupe des Nations Unies qui supervise la production de matières nucléaires, a déclaré que l'Iran reprendrait la production d'uranium enrichi à 20% de pureté. C'est le niveau le plus élevé qu'il a produit avant l'accord nucléaire, que le pays a justifié à l'époque comme nécessaire pour fabriquer des isotopes médicaux pour son réacteur de recherche de Téhéran.
Le carburant enrichi à ce niveau n'est pas suffisant pour produire une bombe, mais c'est proche. Il nécessite relativement peu d'enrichissement supplémentaire pour atteindre la pureté de 90% qui est traditionnellement utilisée pour le carburant de qualité bombe.
Le déménagement n'était pas inattendu. Le Parlement iranien a récemment adopté une loi obligeant le gouvernement à augmenter à la fois la quantité de carburant qu'il fabrique et le niveau d'enrichissement. Mais le choix de faire cette production à Fordow, sa toute dernière installation, était révélateur. L'usine est construite profondément sous une montagne dans une base bien protégée des Gardiens de la révolution islamique, et réussir à la frapper nécessiterait des attaques répétées avec la plus grande bombe anti-bunker de l'arsenal américain.
Il faudrait des mois à l'Iran pour produire une quantité significative de carburant au niveau d'enrichissement de 20%, mais la simple annonce pourrait être un autre drapeau rouge pour M. Trump pour raviver les options de bombardement."
Source : https://www.nytimes.com/2021/01/01/us/politics/iran-trump.html
Le Pentagone a brusquement renvoyé le porte-avions Nimitz du Moyen-Orient et d'Afrique malgré les objections des principaux conseillers militaires, marquant le renversement d'une stratégie de flexion musculaire d'une semaine visant à dissuader l'Iran d'attaquer les troupes et diplomates américains dans le golfe Persique .
Des responsables ont déclaré vendredi que le secrétaire à la Défense par intérim, Christopher C. Miller, avait ordonné le redéploiement du navire en partie comme un signal de «désescalade» à Téhéran pour éviter de tomber dans une crise pendant les jours de déclin du président Trump. Les rapports des services de renseignement américains indiquent que l'Iran et ses mandataires pourraient préparer une frappe dès ce week-end pour venger la mort du général de division Qassim Suleimani , commandant de la force d'élite iranienne Qods du Corps des gardiens de la révolution islamique.
De hauts responsables du Pentagone ont déclaré que M. Miller avait estimé que l'envoi du Nimitz maintenant, avant le premier anniversaire ce dimanche de la mort du général Suleimani dans une frappe de drone américain en Irak, pourrait supprimer ce que les extrémistes iraniens considèrent comme une provocation qui justifie leurs menaces contre les Américains. cibles militaires. Certains analystes ont déclaré que le retour du Nimitz à son port d'attache de Bremerton, Washington, était une réduction bienvenue des tensions entre les deux pays.
«Si le Nimitz part, c'est peut-être parce que le Pentagone pense que la menace pourrait quelque peu disparaître», a déclaré Michael P. Mulroy, ancien haut responsable politique du Pentagone au Moyen-Orient.
Mais les critiques ont déclaré que les messages mitigés étaient un autre exemple de l'inexpérience et de la prise de décision confuse au Pentagone depuis que M. Trump a limogé le secrétaire à la Défense Mark T.Esper et plusieurs de ses principaux collaborateurs en novembre, et les a remplacés par M. Miller, un ancien Assistant de lutte contre le terrorisme de la Maison Blanche et plusieurs fidèles de Trump.
"Cette décision envoie au mieux un signal mitigé à l'Iran et réduit notre gamme d'options précisément au mauvais moment", a déclaré Matthew Spence, un ancien haut responsable politique du Pentagone au Moyen-Orient. «Cela remet sérieusement en question la stratégie de l’administration.»
L'ordre de M. Miller a annulé une demande du général Kenneth F. McKenzie Jr., le commandant des forces américaines au Moyen-Orient, d'étendre le déploiement du Nimitz et de garder à portée de main sa formidable aile d'avion d'attaque.
Au cours des dernières semaines, M. Trump a menacé à plusieurs reprises l'Iran sur Twitter et, en novembre, de hauts responsables de la sécurité nationale ont écarté le président d'une frappe préventive contre un site nucléaire iranien . On ne sait pas si M. Trump était au courant de l'ordre de M. Miller de renvoyer le Nimitz chez lui.
Le Pentagone et le commandement central du général McKenzie avaient diffusé pendant des semaines plusieurs démonstrations de force pour avertir Téhéran des conséquences de tout assaut. Le Nimitz et d'autres navires de guerre sont arrivés pour fournir une couverture aérienne aux troupes américaines qui se retiraient d'Irak, d'Afghanistan et de Somalie. L'armée de l'air a envoyé à trois reprises des bombardiers B-52 pour voler à moins de 60 miles de la côte iranienne. Et la marine a annoncé pour la première fois en près d'une décennie qu'elle avait commandé un sous-marin tirant des missiles Tomahawk dans le golfe Persique.
Pas plus tard que mercredi, le général McKenzie a mis en garde les Iraniens et leurs mandataires de la milice chiite en Irak contre toute attaque autour de l'anniversaire de la mort du général Suleimani le 3 janvier.
Mais jeudi, des conseillers militaires supérieurs, dont le général McKenzie et le général Mark A. Milley, le président des chefs d'état-major interarmées, ont été surpris par la décision de M. Miller sur le Nimitz.
La marine avait cherché à limiter davantage d'extensions au déploiement déjà long du porte-avions, mais les commandants pensaient que le navire de guerre resterait au moins encore plusieurs jours pour aider à contrer ce que les analystes du renseignement militaire considéraient comme une menace croissante et imminente.
Ces derniers jours, des analystes américains du renseignement ont déclaré avoir détecté les défenses aériennes, les forces maritimes et d'autres unités de sécurité iraniennes en état d'alerte. Ils ont également déterminé que l'Iran avait déplacé davantage de missiles et de drones à courte portée en Irak. Mais les hauts responsables du ministère de la Défense reconnaissent qu'ils ne peuvent pas dire si l'Iran ou ses mandataires chiites en Irak se préparent à frapper les troupes américaines ou préparent des mesures défensives au cas où M. Trump ordonnerait une attaque préventive contre eux.
"Ce que vous avez ici est un dilemme de sécurité classique, où les manœuvres des deux côtés peuvent être mal interprétées et augmenter les risques d'erreur de calcul", a déclaré Brett H. McGurk, ancien envoyé spécial de M. Trump auprès de la coalition pour vaincre l'État islamique.
Certains principaux collaborateurs de M. Miller, y compris Ezra Cohen-Watnick, l'un des fidèles de la Maison Blanche nouvellement installé en tant que principal responsable de la politique de renseignement du Pentagone, ont soulevé des doutes sur la valeur dissuasive du Nimitz, en particulier lorsqu'il tour. Certains collaborateurs ont également mis en doute l'imminence d'une attaque de l'Iran ou de ses mandataires, une évaluation rapportée plus tôt par CNN .
Les responsables du Pentagone ont déclaré qu'ils avaient envoyé des chasseurs et des avions d'attaque supplémentaires, ainsi que des avions de ravitaillement, en Arabie saoudite et dans d'autres pays du golfe pour compenser la perte de la puissance de feu du Nimitz.
Vendredi, le commandant en chef du Corps paramilitaire des gardiens de la révolution islamique iranien a déclaré que son pays était pleinement prêt à répondre à toute pression militaire américaine dans un contexte de tensions accrues entre Téhéran et Washington dans les derniers jours de la présidence de M. Trump.
"Aujourd'hui, nous n'avons aucun problème, inquiétude ou appréhension à rencontrer des pouvoirs", a déclaré le major général Hossein Salami lors d'une cérémonie à l'université de Téhéran commémorant l'anniversaire de la mort du général Suleimani.
«Nous donnerons nos derniers mots à nos ennemis sur le champ de bataille», a déclaré le général Salami, sans mentionner directement les États-Unis.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Javad Zarif, a déclaré jeudi que l'administration Trump créait un prétexte à la guerre.
«Au lieu de lutter contre Covid aux États-Unis, @realDonaldTrump et ses cohortes gaspillent des milliards pour voler des B52 et envoyer des armadas dans NOTRE région», a déclaré M. Zarif dans un tweet . «Les renseignements irakiens indiquent un complot pour FABRIQUER le prétexte de la guerre. L'Iran ne cherche pas la guerre mais défendra OUVERTURE ET DIRECTEMENT son peuple, sa sécurité et ses intérêts vitaux.
Vendredi, dans une autre provocation de l'Iran, Téhéran a notifié aux inspecteurs internationaux qu'il était sur le point de commencer à produire de l'uranium à un niveau d'enrichissement significativement plus élevé à Fordow, une usine profondément sous une montagne et donc plus difficile à attaquer. Cette décision semblait viser principalement à faire pression sur le président élu Joseph R. Biden Jr. pour qu'il rejoigne l'accord nucléaire avec l'Iran. Il y avait peu d'activité autorisée à l'usine de Fordow dans le cadre de l'accord de 2015.
La notification à l'Agence internationale de l'énergie atomique à Vienne, le groupe des Nations Unies qui supervise la production de matières nucléaires, a déclaré que l'Iran reprendrait la production d'uranium enrichi à 20% de pureté. C'est le niveau le plus élevé qu'il a produit avant l'accord nucléaire, que le pays a justifié à l'époque comme nécessaire pour fabriquer des isotopes médicaux pour son réacteur de recherche de Téhéran.
Le carburant enrichi à ce niveau n'est pas suffisant pour produire une bombe, mais c'est proche. Il nécessite relativement peu d'enrichissement supplémentaire pour atteindre la pureté de 90% qui est traditionnellement utilisée pour le carburant de qualité bombe.
Le déménagement n'était pas inattendu. Le Parlement iranien a récemment adopté une loi obligeant le gouvernement à augmenter à la fois la quantité de carburant qu'il fabrique et le niveau d'enrichissement. Mais le choix de faire cette production à Fordow, sa toute dernière installation, était révélateur. L'usine est construite profondément sous une montagne dans une base bien protégée des Gardiens de la révolution islamique, et réussir à la frapper nécessiterait des attaques répétées avec la plus grande bombe anti-bunker de l'arsenal américain.
Il faudrait des mois à l'Iran pour produire une quantité significative de carburant au niveau d'enrichissement de 20%, mais la simple annonce pourrait être un autre drapeau rouge pour M. Trump pour raviver les options de bombardement."
Source : https://www.nytimes.com/2021/01/01/us/politics/iran-trump.html
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Sam 9 Jan - 11:08
POURQUOI TWITTER A DÉCIDÉ DE BANNIR DÉFINITIVEMENT DONALD TRUMP ?
"Twitter justifie sa décision de priver le président américain de son compte personnel. Parmi les raisons invoquées, sa publication évoquant son absence à l'investiture de Joe Biden.
Ce vendredi, Twitter a finalement pris la décision de bannir définitivement le compte personnel du président américain. Dans un communiqué de presse, l'entreprise dirigée par Jack Dorsey précise les raisons de sa décision. Un choix historique, pour une plateforme qui n'a pas pour habitude d'expliquer les raisons de la suppression des comptes enfreignant à ses yeux ses règles d'utilisation.
“Après une étude précise des récents tweets du compte @realDonaldTrump et de leur contexte - notamment dans la façon dont ils sont compris et interprétés sur et en dehors de Twitter - nous avons suspendu définitivement le compte en raison du risque de nouvelles incitations à la violence" explique Twitter, faisant référence à l’invasion du Capitole, qui a fait cinq morts.
Deux tweets visés par la plateforme
Fait rarissime, la plateforme précise sa décision en expliquant pourquoi à ses yeux Donald Trump n'avait pas respecté ses règles d’utilisation. Deux tweets sont mis en cause et considérés par Twitter comme allant à l’encontre de ses règles sur l’apologie de la violence. L'entreprise évoque notamment le message de Donald Trump au sujet de l’investiture de Joe Biden.
"A tous ceux qui me le demandent, je ne me rendrai pas à l'investiture du 20 janvier" a écrit le président américain ce 8 janvier.
Aux yeux de la plateforme, cette phrase fait l’apologie de la violence dans la mesure où elle pourrait être interprétée comme une nouvelle accusation de tricherie par les démocrates lors de l’élection présidentielle.
Par ailleurs, Twitter explique que l’annonce de Donald Trump sur son absence pourrait être perçue par des partisans comme un encouragement à commettre des violences le jour de l’investiture.
"Patriotes américains"
La plateforme évoque un second tweet, publié précédemment.
“Les 75 millions de grands Patriotes Américains qui ont voté pour moi, L’AMERIQUE D’ABORD et RENDRE SA GRANDEUR A L’AMERIQUE, auront une IMMENSE VOIX à l’avenir. Ils ne seront ni méprisés ni traités injustement, d’une quelconque manière!!!” promettait Donald Trump.
Concernant ce second tweet, la plateforme reproche à Donald Trump l’utilisation du terme “patriotes américains”, qui pourrait à ses yeux être interprété comme un soutien aux manifestants ayant envahi le Capitole mercredi dernier.
L'entreprise explique que la promesse de Donald Trump de laisser à ses électeurs une "immense voix à l’avenir" peut être interprétée comme une volonté d’appuyer ceux qui estiment que l'élection a été truquée et nuire aux bonnes conditions de la passation de pouvoir.
"Nous avons toujours clairement expliqué que ces comptes n’étaient pas au-dessus de nos règles et ne pouvaient pas utiliser Twitter pour inciter à la violence. Nous continuerons à être transparents concernant nos règles et leur mise en application" précise l’entreprise par le biais du compte Twitter Safety.
Jusque-là, Twitter avait toujours assumé le fait de laisser à Donald Trump la possibilité de ne pas respecter les règles d’utilisation du réseau social, au même titre que les autres dirigeants du monde entier, et ce en raison de "l’intérêt public" de leurs messages.
Après les manifestations violentes du Capitole, Donald Trump a également été banni d'autres réseaux sociaux, parmi lesquels Facebook. Mark Zuckerberg a annoncé que le président américain ne pourrait plus rien publier jusqu'à nouvel ordre."
Source : https://www.bfmtv.com/tech/pourquoi-twitter-a-decide-de-bannir-definitivement-donald-trump_AN-202101090014.html
"Twitter justifie sa décision de priver le président américain de son compte personnel. Parmi les raisons invoquées, sa publication évoquant son absence à l'investiture de Joe Biden.
Ce vendredi, Twitter a finalement pris la décision de bannir définitivement le compte personnel du président américain. Dans un communiqué de presse, l'entreprise dirigée par Jack Dorsey précise les raisons de sa décision. Un choix historique, pour une plateforme qui n'a pas pour habitude d'expliquer les raisons de la suppression des comptes enfreignant à ses yeux ses règles d'utilisation.
“Après une étude précise des récents tweets du compte @realDonaldTrump et de leur contexte - notamment dans la façon dont ils sont compris et interprétés sur et en dehors de Twitter - nous avons suspendu définitivement le compte en raison du risque de nouvelles incitations à la violence" explique Twitter, faisant référence à l’invasion du Capitole, qui a fait cinq morts.
Deux tweets visés par la plateforme
Fait rarissime, la plateforme précise sa décision en expliquant pourquoi à ses yeux Donald Trump n'avait pas respecté ses règles d’utilisation. Deux tweets sont mis en cause et considérés par Twitter comme allant à l’encontre de ses règles sur l’apologie de la violence. L'entreprise évoque notamment le message de Donald Trump au sujet de l’investiture de Joe Biden.
"A tous ceux qui me le demandent, je ne me rendrai pas à l'investiture du 20 janvier" a écrit le président américain ce 8 janvier.
Aux yeux de la plateforme, cette phrase fait l’apologie de la violence dans la mesure où elle pourrait être interprétée comme une nouvelle accusation de tricherie par les démocrates lors de l’élection présidentielle.
Par ailleurs, Twitter explique que l’annonce de Donald Trump sur son absence pourrait être perçue par des partisans comme un encouragement à commettre des violences le jour de l’investiture.
"Patriotes américains"
La plateforme évoque un second tweet, publié précédemment.
“Les 75 millions de grands Patriotes Américains qui ont voté pour moi, L’AMERIQUE D’ABORD et RENDRE SA GRANDEUR A L’AMERIQUE, auront une IMMENSE VOIX à l’avenir. Ils ne seront ni méprisés ni traités injustement, d’une quelconque manière!!!” promettait Donald Trump.
Concernant ce second tweet, la plateforme reproche à Donald Trump l’utilisation du terme “patriotes américains”, qui pourrait à ses yeux être interprété comme un soutien aux manifestants ayant envahi le Capitole mercredi dernier.
L'entreprise explique que la promesse de Donald Trump de laisser à ses électeurs une "immense voix à l’avenir" peut être interprétée comme une volonté d’appuyer ceux qui estiment que l'élection a été truquée et nuire aux bonnes conditions de la passation de pouvoir.
"Nous avons toujours clairement expliqué que ces comptes n’étaient pas au-dessus de nos règles et ne pouvaient pas utiliser Twitter pour inciter à la violence. Nous continuerons à être transparents concernant nos règles et leur mise en application" précise l’entreprise par le biais du compte Twitter Safety.
Jusque-là, Twitter avait toujours assumé le fait de laisser à Donald Trump la possibilité de ne pas respecter les règles d’utilisation du réseau social, au même titre que les autres dirigeants du monde entier, et ce en raison de "l’intérêt public" de leurs messages.
Après les manifestations violentes du Capitole, Donald Trump a également été banni d'autres réseaux sociaux, parmi lesquels Facebook. Mark Zuckerberg a annoncé que le président américain ne pourrait plus rien publier jusqu'à nouvel ordre."
Source : https://www.bfmtv.com/tech/pourquoi-twitter-a-decide-de-bannir-definitivement-donald-trump_AN-202101090014.html
Ligeia- Admin
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Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par LionBlanc Sam 9 Jan - 19:47
Etant donné que j'ai plus ou moins coupé les infos et ne les consultes que rarement, désormais, préférant me focaliser sur l'acquisition de connaissances, lectures et régénérescence d'énergie (devient de plus en plus difficile de la garder ou ne pas se la faire "aspirer") pour le temps qu'il nous reste, j'ai appris en fin d'après midi, ce qui s'était passé au Capitole.
Pas grand chose à rajouter, si ce n'est que, comme sur Patreon, vais laisser une musique que j'écoute souvent ces temps ci.
Pas grand chose à rajouter, si ce n'est que, comme sur Patreon, vais laisser une musique que j'écoute souvent ces temps ci.
LionBlanc- Date d'inscription : 23/10/2018
Localisation : Pyrénées Orientales/Espagne
Re: Spécial USA
par Alfihar Mer 13 Jan - 17:10
L'homme qui était entré dans le bureau de Nancy Pelosi et avait regardé son ordi est mort:
https://www.google.com/amp/s/fr.sputniknews.com/amp/amerique-nord/202101131045063057-lhomme-ayant-fouille-lordinateur-de-nancy-pelosi-au-capitole-a-ete-retrouve-mort-par-balles/
Maintenant il y a une thèse officielle : il s'est suicidé...
Avec des fusils d'assaut dans la poitrine... et la marmotte elle emballe le chocolat !
Cet ordi devait vraiment être intéressant...
https://www.google.com/amp/s/fr.sputniknews.com/amp/amerique-nord/202101131045063057-lhomme-ayant-fouille-lordinateur-de-nancy-pelosi-au-capitole-a-ete-retrouve-mort-par-balles/
Maintenant il y a une thèse officielle : il s'est suicidé...
Avec des fusils d'assaut dans la poitrine... et la marmotte elle emballe le chocolat !
Cet ordi devait vraiment être intéressant...
Alfihar- Modérateur
- Date d'inscription : 22/10/2018
-
Re: Spécial USA
par Ligeia Mer 13 Jan - 19:34
Merci pour l'info Alfihar ! 
*******
"L'écrivain des Simpsons espère que l'épisode des ravages lors de l'inauguration de Biden ne se réalisera pas :
La sitcom animée est réputée pour ses prédictions précises. Du défaut de la Grèce et du programme de surveillance de masse de la NSA à l'épidémie d'Ebola et à l'achat de 20th Century Fox par Disney - l'émission a réussi à faire des prévisions correctes sur presque tous les domaines de la vie.
L'un des écrivains des Simpsons , Al Jean, dit qu'il ne veut pas qu'une "prédiction" dans l'un des derniers épisodes de la sitcom sur la prochaine inauguration de Joe Biden se matérialise.
Prenant sur Twitter, il a posté une capture d'écran de l'épisode Treehouse of Horror XXXI, montrant Homer Simpson assis sur le toit de sa maison tandis que Springfield est en ruine, avec la légende: "20 janvier 2021".
Le 20 janvier est le jour où Biden sera inauguré en tant que 46e président des États-Unis.
Le développement intervient une semaine après que les partisans de Trump ont pris d' assaut le Capitole américain . Les rapports indiquent que des manifestations violentes pourraient se produire dans les 50 États dans les jours précédant l'inauguration. BuzzFeed a rapporté que les partisans de Trump prévoyaient de se rassembler à Washington, DC un jour avant l'événement."
Lire la suite sur : https://sputniknews.com/us/202101131081754563-simpsons-writer-hopes-episode-predicting-havoc-at-biden-inauguration-wont-come-true/
L'épisode complet ici :
*******
"L'écrivain des Simpsons espère que l'épisode des ravages lors de l'inauguration de Biden ne se réalisera pas :
La sitcom animée est réputée pour ses prédictions précises. Du défaut de la Grèce et du programme de surveillance de masse de la NSA à l'épidémie d'Ebola et à l'achat de 20th Century Fox par Disney - l'émission a réussi à faire des prévisions correctes sur presque tous les domaines de la vie.
L'un des écrivains des Simpsons , Al Jean, dit qu'il ne veut pas qu'une "prédiction" dans l'un des derniers épisodes de la sitcom sur la prochaine inauguration de Joe Biden se matérialise.
Prenant sur Twitter, il a posté une capture d'écran de l'épisode Treehouse of Horror XXXI, montrant Homer Simpson assis sur le toit de sa maison tandis que Springfield est en ruine, avec la légende: "20 janvier 2021".
Le 20 janvier est le jour où Biden sera inauguré en tant que 46e président des États-Unis.
Le développement intervient une semaine après que les partisans de Trump ont pris d' assaut le Capitole américain . Les rapports indiquent que des manifestations violentes pourraient se produire dans les 50 États dans les jours précédant l'inauguration. BuzzFeed a rapporté que les partisans de Trump prévoyaient de se rassembler à Washington, DC un jour avant l'événement."
Lire la suite sur : https://sputniknews.com/us/202101131081754563-simpsons-writer-hopes-episode-predicting-havoc-at-biden-inauguration-wont-come-true/
L'épisode complet ici :
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Jeu 14 Jan - 12:04
"Trump devient le premier président américain à être destitué deux fois après le vote à la Chambre des États-Unis"
"Trump a maintenant été destitué à deux reprises, le premier président américain de l'histoire à être aussi censuré, après avoir été accusé d '"incitation à l'insurrection" lors des émeutes meurtrières qui ont secoué le Capitole à Washington DC la semaine dernière.
La Chambre des représentants américaine a approuvé mercredi une deuxième mise en accusation sans précédent de Donald Trump , la majorité soutenant la résolution de destitution et faisant de Trump le premier président de l'histoire des États-Unis à être destitué deux fois.
Après la fin du vote, 232 représentants ont voté en faveur de l'initiative, dont plusieurs républicains, et 197 ont voté contre.
Parmi ceux qui ont soutenu la décision d'évincer le président, qui a été destitué pour la première fois en décembre 2019, se trouvaient au moins 10 républicains.
Maintenant, la résolution de mise en accusation passera au Sénat, comme le chef de la majorité Mitch McConnell a déclaré que le processus du Sénat commencerait "à la première réunion ordinaire suivant la réception de l'article de la Chambre". Il a souligné qu'aucun verdict final ne serait rendu avant l'investiture le 20 janvier du président élu Joe Biden.
"Compte tenu des règles, des procédures et des précédents du Sénat qui régissent les procès de destitution présidentielle, il n'y a tout simplement aucune chance qu'un procès équitable ou sérieux puisse se terminer avant que le président élu Biden ne prête serment la semaine prochaine", a affirmé McConnell, ajoutant, "même si le Le processus du Sénat devait commencer cette semaine et avancer rapidement, aucun verdict final ne serait rendu tant que le président Trump n'aurait pas quitté ses fonctions. "
Si le Sénat accepte la deuxième destitution, Trump ne pourra plus jamais occuper une fonction publique.
Cependant, les chances que le Sénat adopte la résolution de destitution sont "inexistantes", selon le professeur Stephen B. Presser de la Northwestern University School of Law.
"Comme l'ont souligné des érudits constitutionnels de premier plan tels qu'Alan Dershowitz et Jonathan Turley, cet effort de destitution est en contradiction flagrante avec le premier amendement à la Constitution et, s'il suffit d'une majorité enragée à la Chambre pour adopter une destitution ( et les démocrates ont les voix pour le faire), les chances que le président soit condamné au Sénat sont inexistantes, car il aura quitté ses fonctions au moment où un procès pourrait être tenu selon les règles du Sénat, et parce que, comme le professeur Dershowitz a souligné que la Constitution n'envisage pas de procédure d'éloignement pour une personne qui n'est plus en fonction », a déclaré Presser.
Accusations d'incitation à la violence
La résolution de mercredi de destituer Trump fait suite à l'insurrection meurtrière du 6 janvier au Capitole, que Trump est accusé d'avoir incité.
Le 6 janvier, des foules de partisans de Trump ont pris d'assaut le Capitole, endommageant et vandalisant des bureaux et perturbant la certification des résultats des élections au Congrès. L'émeute a fait 5 morts, dont celui d'un policier qui a été battu à mort par les partisans de Trump.
Le président sortant a nié sa responsabilité d'avoir incité à l'insurrection, affirmant après coup qu'il ne voulait pas de violence dans les rues américaines. En réponse aux menaces de violence supplémentaire le 20 janvier, le jour de l'inauguration, Trump a publié le 13 janvier une déclaration insistant sur le fait qu'il ne doit y avoir "aucune violence, aucune infraction à la loi et aucun vandalisme d'aucune sorte", faisant référence à des rapports suggérant qu'il pourrait y avoir plus de manifestations.
L'article de destitution a été présenté lundi par le membre du Congrès démocrate Ted Lieu, cinq jours après les émeutes meurtrières au Capitole américain.
<< Dans sa conduite en tant que président des États-Unis - et en violation de son serment constitutionnel d'exécuter fidèlement la fonction de président des États-Unis et, au mieux de ses capacités, de préserver, protéger et défendre la Constitution des États-Unis , et en violation de son devoir constitutionnel de veiller à ce que les lois soient fidèlement exécutées, Donald John Trump s'est livré à de graves crimes et délits en incitant à la violence contre le gouvernement des États-Unis », lit-on dans l'article.
Accusé d'incitation à la violence et risquant d'être démis de ses fonctions, Trump a également été banni de manière permanente de Twitter et mis en sourdine sur d'autres plateformes de médias sociaux grand public - ce qui a provoqué une réaction violente parmi ses partisans, beaucoup d'entre eux condamnant les grandes entreprises technologiques pour «censure» et "restriction de la liberté d'expression".
Parallèlement aux efforts de destitution, certains législateurs ont suggéré une initiative visant à invoquer la section 4 du 25e amendement, qui déclarerait Trump "inapte" à la présidence, faisant du VP Mike Pence le président par intérim.
Pence, cependant, s'est opposé à l'invocation de l'amendement, suggérant qu'il créerait un "terrible précédent".
Efforts de destitution antérieurs
Trump a été destitué en décembre 2019, accusé d'avoir fait pression sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour qu'il enquête sur Hunter Biden, le fils du président élu Joe Biden.
Initiée par la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, la première enquête de destitution de Trump a accusé le président d'abus de pouvoir et d'obstruction à la justice. Bien que Trump ait été destitué par la Chambre des représentants américaine le 18 décembre 2019 pour avoir abusé des pouvoirs de son bureau et fait obstruction au Congrès - le troisième président américain de l'histoire à être destitué - le Sénat américain a ensuite voté le 5 février pour lui permettre de conserver son mandat. à la Maison Blanche.
Trump a décrit à plusieurs reprises ses mises en accusation comme "une chasse aux sorcières" et "un canular".
«Le canular de la destitution est une continuation de la plus grande et la plus vicieuse chasse aux sorcières de l'histoire de notre pays et provoque une colère, une division et une douleur [...] énormes, ce qui est très dangereux pour les États-Unis», a-t-il affirmé lors d'un discours au Texas mardi.
En 2020, Trump a continuellement exprimé sa colère face au résultat de la course à la présidentielle de 2020, affirmant que la victoire de Joe Biden était le résultat d'une "fraude électorale massive" qui avait été "centralisée" par le parti démocrate.
Après avoir refusé avec véhémence de concéder, Trump a semblé s'engager à assurer une transition pacifique."
Source : https://sputniknews.com/us/202101131081757360-trump-becomes-first-us-president-to-be-impeached-twice-after-us-house-vote/
"Trump a maintenant été destitué à deux reprises, le premier président américain de l'histoire à être aussi censuré, après avoir été accusé d '"incitation à l'insurrection" lors des émeutes meurtrières qui ont secoué le Capitole à Washington DC la semaine dernière.
La Chambre des représentants américaine a approuvé mercredi une deuxième mise en accusation sans précédent de Donald Trump , la majorité soutenant la résolution de destitution et faisant de Trump le premier président de l'histoire des États-Unis à être destitué deux fois.
Après la fin du vote, 232 représentants ont voté en faveur de l'initiative, dont plusieurs républicains, et 197 ont voté contre.
Parmi ceux qui ont soutenu la décision d'évincer le président, qui a été destitué pour la première fois en décembre 2019, se trouvaient au moins 10 républicains.
Maintenant, la résolution de mise en accusation passera au Sénat, comme le chef de la majorité Mitch McConnell a déclaré que le processus du Sénat commencerait "à la première réunion ordinaire suivant la réception de l'article de la Chambre". Il a souligné qu'aucun verdict final ne serait rendu avant l'investiture le 20 janvier du président élu Joe Biden.
"Compte tenu des règles, des procédures et des précédents du Sénat qui régissent les procès de destitution présidentielle, il n'y a tout simplement aucune chance qu'un procès équitable ou sérieux puisse se terminer avant que le président élu Biden ne prête serment la semaine prochaine", a affirmé McConnell, ajoutant, "même si le Le processus du Sénat devait commencer cette semaine et avancer rapidement, aucun verdict final ne serait rendu tant que le président Trump n'aurait pas quitté ses fonctions. "
Si le Sénat accepte la deuxième destitution, Trump ne pourra plus jamais occuper une fonction publique.
Cependant, les chances que le Sénat adopte la résolution de destitution sont "inexistantes", selon le professeur Stephen B. Presser de la Northwestern University School of Law.
"Comme l'ont souligné des érudits constitutionnels de premier plan tels qu'Alan Dershowitz et Jonathan Turley, cet effort de destitution est en contradiction flagrante avec le premier amendement à la Constitution et, s'il suffit d'une majorité enragée à la Chambre pour adopter une destitution ( et les démocrates ont les voix pour le faire), les chances que le président soit condamné au Sénat sont inexistantes, car il aura quitté ses fonctions au moment où un procès pourrait être tenu selon les règles du Sénat, et parce que, comme le professeur Dershowitz a souligné que la Constitution n'envisage pas de procédure d'éloignement pour une personne qui n'est plus en fonction », a déclaré Presser.
Accusations d'incitation à la violence
La résolution de mercredi de destituer Trump fait suite à l'insurrection meurtrière du 6 janvier au Capitole, que Trump est accusé d'avoir incité.
Le 6 janvier, des foules de partisans de Trump ont pris d'assaut le Capitole, endommageant et vandalisant des bureaux et perturbant la certification des résultats des élections au Congrès. L'émeute a fait 5 morts, dont celui d'un policier qui a été battu à mort par les partisans de Trump.
Le président sortant a nié sa responsabilité d'avoir incité à l'insurrection, affirmant après coup qu'il ne voulait pas de violence dans les rues américaines. En réponse aux menaces de violence supplémentaire le 20 janvier, le jour de l'inauguration, Trump a publié le 13 janvier une déclaration insistant sur le fait qu'il ne doit y avoir "aucune violence, aucune infraction à la loi et aucun vandalisme d'aucune sorte", faisant référence à des rapports suggérant qu'il pourrait y avoir plus de manifestations.
L'article de destitution a été présenté lundi par le membre du Congrès démocrate Ted Lieu, cinq jours après les émeutes meurtrières au Capitole américain.
<< Dans sa conduite en tant que président des États-Unis - et en violation de son serment constitutionnel d'exécuter fidèlement la fonction de président des États-Unis et, au mieux de ses capacités, de préserver, protéger et défendre la Constitution des États-Unis , et en violation de son devoir constitutionnel de veiller à ce que les lois soient fidèlement exécutées, Donald John Trump s'est livré à de graves crimes et délits en incitant à la violence contre le gouvernement des États-Unis », lit-on dans l'article.
Accusé d'incitation à la violence et risquant d'être démis de ses fonctions, Trump a également été banni de manière permanente de Twitter et mis en sourdine sur d'autres plateformes de médias sociaux grand public - ce qui a provoqué une réaction violente parmi ses partisans, beaucoup d'entre eux condamnant les grandes entreprises technologiques pour «censure» et "restriction de la liberté d'expression".
Parallèlement aux efforts de destitution, certains législateurs ont suggéré une initiative visant à invoquer la section 4 du 25e amendement, qui déclarerait Trump "inapte" à la présidence, faisant du VP Mike Pence le président par intérim.
Pence, cependant, s'est opposé à l'invocation de l'amendement, suggérant qu'il créerait un "terrible précédent".
Efforts de destitution antérieurs
Trump a été destitué en décembre 2019, accusé d'avoir fait pression sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour qu'il enquête sur Hunter Biden, le fils du président élu Joe Biden.
Initiée par la présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, la première enquête de destitution de Trump a accusé le président d'abus de pouvoir et d'obstruction à la justice. Bien que Trump ait été destitué par la Chambre des représentants américaine le 18 décembre 2019 pour avoir abusé des pouvoirs de son bureau et fait obstruction au Congrès - le troisième président américain de l'histoire à être destitué - le Sénat américain a ensuite voté le 5 février pour lui permettre de conserver son mandat. à la Maison Blanche.
Trump a décrit à plusieurs reprises ses mises en accusation comme "une chasse aux sorcières" et "un canular".
«Le canular de la destitution est une continuation de la plus grande et la plus vicieuse chasse aux sorcières de l'histoire de notre pays et provoque une colère, une division et une douleur [...] énormes, ce qui est très dangereux pour les États-Unis», a-t-il affirmé lors d'un discours au Texas mardi.
En 2020, Trump a continuellement exprimé sa colère face au résultat de la course à la présidentielle de 2020, affirmant que la victoire de Joe Biden était le résultat d'une "fraude électorale massive" qui avait été "centralisée" par le parti démocrate.
Après avoir refusé avec véhémence de concéder, Trump a semblé s'engager à assurer une transition pacifique."
Source : https://sputniknews.com/us/202101131081757360-trump-becomes-first-us-president-to-be-impeached-twice-after-us-house-vote/
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Mer 20 Jan - 8:09
Nommée par Biden, Rachel Levine devient la première ministre transgenre adjointe de la Santé
Directrice de la Santé de la Pennsyvalnie et professeure d’université en pédiatrie et psychiatrie, Rachel Levine est un « choix historique » pour le président élu Joe Biden.
Le président élu des Etats-Unis Joe Biden a annoncé ce mardi 19 janvier qu’il nommait ministre adjointe de la Santé Rachel Levine, une experte transgenre en pédiatrie et psychiatrie, actuellement directrice de la Santé dans l’Etat de Pennsylvanie, une première « historique ».
« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », a écrit Joe Biden, qui deviendra le 46e président des Etats-Unis mercredi.
Rachel Levine « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap », a-t-il ajouté.
Aujourd’hui directrice de la Santé de la Pennsylvanie et professeure d’université en pédiatrie et psychiatrie, Rachel Levine « est sur le point d’être la première responsable fédérale ouvertement transgenre à être confirmée par le Sénat américain », a précisé l’équipe de Joe Biden dans un communiqué.
Les démocrates prendront cette semaine le contrôle de la chambre haute, qui doit confirmer les nominations présidentielles.
A rebours de l’administration Trump
Le président sortant Donald Trump a été critiqué pour ses politiques à l’encontre des personnes transgenres.
Il avait notamment annoncé en 2017 sa décision d’interdire aux personnes transgenres de servir dans l’armée, mettant en avant « le fardeau des coûts médicaux énormes » et des « perturbations ».
Le Pentagone avait finalement autorisé début 2018 les personnes transgenres à s’enrôler, à condition de remplir certains critères physiques et médicaux.
Joe Biden a choisi le procureur général de Californie, Xavier Becerra, comme ministre de la Santé.
Le démocrate a promis d’enclencher la vitesse supérieure pour lutter contre la pandémie de Covid-19 aux Etats-Unis, pays le plus touché au monde avec 24 millions de cas et près de 400 000 morts."
Source : https://www.nouvelobs.com/elections-americaines-2020/20210119.OBS39071/nommee-par-biden-rachel-levine-devient-la-premiere-ministre-transgenre-adjointe-de-la-sante.html
Directrice de la Santé de la Pennsyvalnie et professeure d’université en pédiatrie et psychiatrie, Rachel Levine est un « choix historique » pour le président élu Joe Biden.
Le président élu des Etats-Unis Joe Biden a annoncé ce mardi 19 janvier qu’il nommait ministre adjointe de la Santé Rachel Levine, une experte transgenre en pédiatrie et psychiatrie, actuellement directrice de la Santé dans l’Etat de Pennsylvanie, une première « historique ».
« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », a écrit Joe Biden, qui deviendra le 46e président des Etats-Unis mercredi.
Rachel Levine « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap », a-t-il ajouté.
Aujourd’hui directrice de la Santé de la Pennsylvanie et professeure d’université en pédiatrie et psychiatrie, Rachel Levine « est sur le point d’être la première responsable fédérale ouvertement transgenre à être confirmée par le Sénat américain », a précisé l’équipe de Joe Biden dans un communiqué.
Les démocrates prendront cette semaine le contrôle de la chambre haute, qui doit confirmer les nominations présidentielles.
A rebours de l’administration Trump
Le président sortant Donald Trump a été critiqué pour ses politiques à l’encontre des personnes transgenres.
Il avait notamment annoncé en 2017 sa décision d’interdire aux personnes transgenres de servir dans l’armée, mettant en avant « le fardeau des coûts médicaux énormes » et des « perturbations ».
Le Pentagone avait finalement autorisé début 2018 les personnes transgenres à s’enrôler, à condition de remplir certains critères physiques et médicaux.
Joe Biden a choisi le procureur général de Californie, Xavier Becerra, comme ministre de la Santé.
Le démocrate a promis d’enclencher la vitesse supérieure pour lutter contre la pandémie de Covid-19 aux Etats-Unis, pays le plus touché au monde avec 24 millions de cas et près de 400 000 morts."
Source : https://www.nouvelobs.com/elections-americaines-2020/20210119.OBS39071/nommee-par-biden-rachel-levine-devient-la-premiere-ministre-transgenre-adjointe-de-la-sante.html
Ligeia- Admin
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Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Jeu 21 Jan - 12:06
Inauguration Biden :
C’est toute la clique qui porte le masque de l’hypocrisie : on voit Lady Gaga, J. Lopez, Katty Perry, toutes de blanc vêtues... On dirait une répétition pour les courtisanes qui aduleront le futur AC.
Ajoutez à cela des paroles fausses et trompeuses :
En légende Lady Gaga (photo du milieu) indique : « Je prie pour que demain soit un jour de paix pour tous les Américains. Une journée pour l’amour et non pour la haine. Une journée pour l’acceptation et non pour la peur. Une journée pour rêver à notre joie future en tant que nation. Un rêve fait de non-violence, un rêve qui procure sécurité à toutes les âmes. Je vous envoie de l’amour depuis le Capitole. » ( http://peoplenews.eklablog.fr/lady-gaga-au-capitole-la-chanteuse-envoie-un-message-fort-a-ses-compat-a205158966 )
Un montage de ces trois colombes-vipérines :
C’est toute la clique qui porte le masque de l’hypocrisie : on voit Lady Gaga, J. Lopez, Katty Perry, toutes de blanc vêtues... On dirait une répétition pour les courtisanes qui aduleront le futur AC.
Ajoutez à cela des paroles fausses et trompeuses :
En légende Lady Gaga (photo du milieu) indique : « Je prie pour que demain soit un jour de paix pour tous les Américains. Une journée pour l’amour et non pour la haine. Une journée pour l’acceptation et non pour la peur. Une journée pour rêver à notre joie future en tant que nation. Un rêve fait de non-violence, un rêve qui procure sécurité à toutes les âmes. Je vous envoie de l’amour depuis le Capitole. » ( http://peoplenews.eklablog.fr/lady-gaga-au-capitole-la-chanteuse-envoie-un-message-fort-a-ses-compat-a205158966 )
Un montage de ces trois colombes-vipérines :
- "Je vis, avec leurs terribles conséquences, les mesures que les propagateurs des lumières prenaient, partout où ils arrivaient au pouvoir et à l’influence, pour abolir le culte divin ainsi que toutes les pratiques et les exercices de piété, ou pour en faire quelque chose d’aussi vain que l’étaient les grands mots de "lumière", de "charité", "d’esprit", sous lesquels ils cherchaient à cacher à eux-mêmes et aux autres le vide désolant de leurs entreprises où Dieu n’était pour rien.
Ces "éclairés" je les vois toujours dans un certain rapport avec la venue de l'Antéchrist, car eux aussi, par leurs menées, coopèrent l'accomplissement du mystère d'iniquité." AK Emmerick
Ligeia- Admin
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Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Sam 23 Jan - 12:46
"Le gouvernement devient Dieu"': la couverture satirique de Jacobin idolâtrant littéralement Biden frappe les nerfs
"Le numéro du magazine Jacobin couvrant l'inauguration présente une icône simulée, avec un halo autour de la tête de Biden, des Clinton ressemblant à des séraphins et des drones tueurs angéliques dans le ciel. Certains ne semblent pas réaliser que c'est de la satire.
La couverture de l'édition d'hiver de Jacobin, qui a été présentée quelques heures après que Joe Biden a prêté serment en tant que 46e président américain, se moque sans pitié de l'habitude des États-Unis de traiter ses politiciens comme des célébrités. Prenant la prochaine étape logique, il réinvente le nouveau président en tant que messie, empruntant des images à l'iconographie chrétienne traditionnelle.
La silhouette plus grande que nature de Biden, torse nu, est représentée entourée par des "esprits saints"' de Twitter et des "saints''. Ces derniers incluent des dirigeants démocrates agenouillés au Congrès américain, le Dr Anthony Fauci, des journalistes adorables et des dévots de la classe des cadres consommant avec empressement les «saintes écritures» de ce qui est probablement le dernier mémoire de Barack Obama. L'ancien président lui-même est représenté comme un séraphin à six ailes encadré par Hillary et Bill Clinton, également angéliques, le trio regardant du ciel avec bienveillance. Une foule de laïcs de banlieue portant des masques sur Terre célèbrent l'ascension de Biden. Une paire de drones Reaper complète l'image, fournissant un indice clair pour les douteux que l'image doit être prise avec un grain de sel.
Cela n'a cependant pas suffi à certains commentateurs, qui semblent le considérer comme une véritable idolâtrie plutôt que comme un commentaire politique.
Décrire les partisans de Trump comme une secte est devenu un trope parmi ses critiques démocrates. Ce qui semble ironique, compte tenu de la façon dont la même foule au cours des quatre dernières années a eu tendance à investir émotionnellement dans celui qu'elle espérait mettre fin à la présidence de Trump. L'avocat spécial Robert Muller a probablement reçu la part du lion des prières, bien que des personnalités comme l'ancien directeur du FBI James Comey ou même le fixateur devenu critique de Trump, Michael Cohen, aient été sous les feux de la rampe.
L'hagiographie de Biden a atteint un point culminant lors de la semaine d'inauguration. Un animateur de CNN a eu une vision des bras du président élu embrassant l'Amérique sous l'éclairage du mémorial de Lincoln, tandis qu'un éditeur du New York Times a avoué avoir eu des frissons lors de l'atterrissage de Biden à Joint Base Andrews. On pourrait être excusé de considérer ces récits comme quasi religieux."
Source : https://www.rt.com/usa/513205-biden-icon-jacobin-magazine/
Lire aussi :
"Culte : Le gouvernement est-il désormais la nouvelle religion ?"
https://www.aubedigitale.com/culte-le-gouvernement-est-il-desormais-la-nouvelle-religion/
L'image :
"Le numéro du magazine Jacobin couvrant l'inauguration présente une icône simulée, avec un halo autour de la tête de Biden, des Clinton ressemblant à des séraphins et des drones tueurs angéliques dans le ciel. Certains ne semblent pas réaliser que c'est de la satire.
La couverture de l'édition d'hiver de Jacobin, qui a été présentée quelques heures après que Joe Biden a prêté serment en tant que 46e président américain, se moque sans pitié de l'habitude des États-Unis de traiter ses politiciens comme des célébrités. Prenant la prochaine étape logique, il réinvente le nouveau président en tant que messie, empruntant des images à l'iconographie chrétienne traditionnelle.
La silhouette plus grande que nature de Biden, torse nu, est représentée entourée par des "esprits saints"' de Twitter et des "saints''. Ces derniers incluent des dirigeants démocrates agenouillés au Congrès américain, le Dr Anthony Fauci, des journalistes adorables et des dévots de la classe des cadres consommant avec empressement les «saintes écritures» de ce qui est probablement le dernier mémoire de Barack Obama. L'ancien président lui-même est représenté comme un séraphin à six ailes encadré par Hillary et Bill Clinton, également angéliques, le trio regardant du ciel avec bienveillance. Une foule de laïcs de banlieue portant des masques sur Terre célèbrent l'ascension de Biden. Une paire de drones Reaper complète l'image, fournissant un indice clair pour les douteux que l'image doit être prise avec un grain de sel.
Cela n'a cependant pas suffi à certains commentateurs, qui semblent le considérer comme une véritable idolâtrie plutôt que comme un commentaire politique.
Décrire les partisans de Trump comme une secte est devenu un trope parmi ses critiques démocrates. Ce qui semble ironique, compte tenu de la façon dont la même foule au cours des quatre dernières années a eu tendance à investir émotionnellement dans celui qu'elle espérait mettre fin à la présidence de Trump. L'avocat spécial Robert Muller a probablement reçu la part du lion des prières, bien que des personnalités comme l'ancien directeur du FBI James Comey ou même le fixateur devenu critique de Trump, Michael Cohen, aient été sous les feux de la rampe.
L'hagiographie de Biden a atteint un point culminant lors de la semaine d'inauguration. Un animateur de CNN a eu une vision des bras du président élu embrassant l'Amérique sous l'éclairage du mémorial de Lincoln, tandis qu'un éditeur du New York Times a avoué avoir eu des frissons lors de l'atterrissage de Biden à Joint Base Andrews. On pourrait être excusé de considérer ces récits comme quasi religieux."
Source : https://www.rt.com/usa/513205-biden-icon-jacobin-magazine/
Lire aussi :
"Culte : Le gouvernement est-il désormais la nouvelle religion ?"
https://www.aubedigitale.com/culte-le-gouvernement-est-il-desormais-la-nouvelle-religion/
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