Spécial USA

Merci Bramane !
J'essaierai de traduire ça demain...

C'est peut-être la dernière fois que vous me verrez pour un moment.

Je crois qu'il fabule dans le mélodrame à cause des décrets imposés à la big pharma.

Son discours est extrêmement centré sur la réappropriation industrielle américaine notamment dans l'industrie pharmaceutique.

Oublie pas que Trump venait juste de signer un important décret pour l'industrie pharmaceutique. En effet, Donald Trump, a signé jeudi un décret ordonnant à certaines agences fédérales de donner la priorité à l'achat de médicaments et matériels médicaux fabriqués aux États-Unis.

"Le décret exigera que les agences gouvernementales américaines achètent tous les médicaments essentiels dont nous avons besoin auprès de sources américaines", a déclaré Trump lors d'un discours dans une usine de machines à laver dans l'Ohio. «Le décret éliminera également les barrières réglementaires inutiles à la production pharmaceutique nationale et soutiendra des processus de fabrication avancés qui maintiendront les prix de nos médicaments bas et permettront aux entreprises américaines de rivaliser sur la scène mondiale.

Ce décret est le dernier que l'administration Trump a adressé à l'industrie pharmaceutique. Récemment, Trump a signé quatre décrets visant à réduire les prix des médicaments. Et au cours de la semaine dernière, le président a assuré à plusieurs reprises que les dernières annonces de l'industrie pharmaceutique contre lui étaient le résultat de ses efforts récents.

«Chaque fois que vous voyez une publicité négative de Big Pharma contre moi, rappelez-vous, cela signifie que les prix de vos médicaments sont en train de baisser!» Trump a tweeté mercredi.

Lors de son discours dans l'Ohio jeudi, Trump s'est plaint des publicités et a suggéré que ses actions sur le prix et la fabrication des médicaments lui avaient fait de nombreux ennemis.

"Donc, j'ai beaucoup d'ennemis là-bas. C'est peut-être la dernière fois que vous me verrez pour un moment. Beaucoup d'ennemis très, très riches, mais ils ne sont pas satisfaits de ce que je fais. Mais je pense que nous avons une chance de le faire, et aucun autre président ne le fera », a-t-il déclaré.

https://www.cnn.com/2020/08/06/politics/donald-trump-medical-manufacturing-executive-order/index.html

Merci pour le résumé Bramane.

Oui, ne pas perdre de vue ce à quoi sert Trump : nous proposer une "alternative" à l'allégeance devenue un peu trop "visible" des démocrates.
Encore faut-il qu'au final, le "remède" ne soit pas pire que le mal initial. Or ce sera bien évidemment le cas ici vu la marche descendante du cycle !

Trump le porte parole du président kuschner.
Comme les autres il est une marionnette des mêmes marionnettistes. Il fait ce qu’on lui demande et le fait bien, comme les autres marionnettes.

Trump, le diviseur, est incontestablement un produit des illuminés qui fait avancer l'agenda du NWO à grands pas. La destruction de la monnaie américaine comme monnaie étalon universelle et les regroupements continentaux de pays en entité politique et monétaire se déroulent présentement sous nos yeux.

On en parlait justement...

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Trump évacué par les services secrets pendant sa conférence de presse

Le président américain a interrompu sa conférence de presse, lundi soir, avant de revenir expliquer que les services secrets avaient tiré sur une personne à proximité de la Maison-Blanche.

Un vent d’inquiétude a brièvement soufflé lundi sur la conférence de presse quotidienne de Donald Trump, quand le président des Etats-Unis a été prestement escorté loin de son pupitre et mis à l’abri par sa garde rapprochée à la suite d’un incident à l’extérieur de la Maison-Blanche.
« La police a tiré sur quelqu’un », a expliqué Donald Trump à son retour devant les journalistes, après quelques minutes d’interruption. « C’était à l’extérieur » de la barrière de la Maison-Blanche, a-t-il précisé. A la question de savoir si ce suspect était armé, le président a répondu : « D’après ce que je comprends, oui. »

« Le Secret Service peut confirmer qu’un agent a fait usage de son arme à l’angle de la 17e rue et de Pennsylvania Avenue », un croisement tout proche de la Maison-Blanche, a dans un premier temps tweeté cette police d’élite chargée de la protection des hautes personnalités américaines.

Un « homme » et un « agent du Secret Service » ont été transportés vers un hôpital voisin, a ajouté l’agence fédérale, assurant qu’à « aucun moment » le complexe de la Maison-Blanche n’avait été violé.

Une balle dans le torse

Le Secret Service a ensuite raconté en détail la scène dans un communiqué diffusé sur Twitter. Un homme de 51 ans s’est approché d’un officier des services secrets qui se tenait au coin de la 17e rue et de Pennsylvania Avenue, à un pâté de maisons de la Maison-Blanche. Le suspect a dit à l’officier qu’il avait une arme et a couru « agressivement » vers lui, sortant un objet de ses vêtements. Il a ensuite pris une « position de tireur », comme s’il avait l’intention de tirer, et l’officier des services secrets lui a alors tiré une balle dans le torse.

La police a bouclé un vaste périmètre autour de la Maison-Blanche. Des voitures de police étaient stationnées vers les lieux et des policiers armés patrouillaient le parc de Lafayette Square, devant la Maison-Blanche, selon des journalistes de l’AFP.

« Secoué ? […]. Le monde a toujours été un endroit dangereux. Ce n’est pas quelque chose de spécial », a répondu le républicain à une question à son retour. « Cela n’a peut-être rien à voir avec moi », a-t-il d’autre part avancé. « Je me sens en sécurité avec le Secret Service. Ce sont des gens fantastiques, les meilleurs des meilleurs », a-t-il dit de cette agence fédérale assurant la protection rapprochée du dirigeant des Etats-Unis et d’autres personnalités politiques américaines.

Donald Trump a ensuite repris sa conférence de presse centrée sur la pandémie et l’économie américaine."



Source : https://www.nouvelobs.com/monde/20200810.OBS32050/trump-evacue-par-les-services-secrets-pendant-sa-conference-de-presse.html

Voir ce fil au sujet de "l'accord historique" qui vient d'être signé entre Israël et les EAU sous l'égide de Trump :
https://lagrandeparodie.forumactif.com/t1237-accord-historique-eau-israel

Kushner, le président des USA. Lui qui adolescent prêtait son lit à B.nethanyaou pour y dormir lorsqu’il se rendait aux USA.

Trump au chevet de son frère gravement malade


"Le président américain Donald Trump va se rendre vendredi au chevet de son frère cadet Robert, soigné dans un hôpital new-yorkais, a annoncé la Maison Blanche.
Le milliardaire fera ce crochet à New York alors qu'il a prévu de passer ce week-end dans son club de golf de Bedminster, dans l'Etat voisin du New Jersey. Né en 1948, Robert Trump est gravement malade, selon des rapports de presse qui ne rentrent pas dans les détails.

La Maison Blanche n'a pas non plus précisé les raisons de l'hospitalisation du frère cadet du président, qui a occupé de hautes responsabilités dans l'empire immobilier familial, la Trump Organization. Il est par ailleurs un farouche défenseur de son frère aîné.

Robert Trump a récemment tenté, en vain, d'empêcher la sortie d'un livre de la nièce du président sur le clan Trump. L'ouvrage présente Donald Trump comme un menteur pathologique et un personnage narcissique."

Source : https://www.tdg.ch/trump-au-chevet-de-son-frere-gravement-malade-211703936571

Pour info :

Robert Trump, frère cadet de Donald Trump, est mort

Agé de 72 ans, le frère cadet du président américain s’est éteint samedi à New York.

Donald Trump ne cachait pas son inquiétude vendredi, lorsqu'il s'est rendu au chevet de son frère Robert, hospitalisé à New York : « Il vit un moment difficile », avait alors confié le président des Etats-Unis.
Une épreuve, même si aucun détail officiel n'a été livré sur les causes de cette disparition, que Robert Trump n'a pas surmontée, puisqu'il est finalement décédé ce samedi à l'âge de 72, a annoncé Donald Trump dans un communiqué."


Source : https://www.leparisien.fr/international/robert-trump-frere-cadet-de-donald-trump-est-mort-16-08-2020-8368518.php

Evolution à suivre....


Washington activera une procédure à l’ONU pour rétablir les sanctions anti-Iran


"Les États-Unis ont annoncé mercredi qu’ils allaient formellement activer un mécanisme juridiquement controversé dans l’espoir d’imposer au Conseil de sécurité de l’ONU le rétablissement de toutes les sanctions internationales contre l’Iran, ce qui pourrait anéantir définitivement l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien.

Le président Donald Trump a affirmé avoir demandé à son secrétaire d’État Mike Pompeo « de notifier au Conseil de sécurité de l’ONU que les États-Unis entendaient rétablir pratiquement toutes les sanctions des Nations unies contre l’Iran ».

Mike Pompeo a ensuite confirmé qu’il se rendrait jeudi après-midi à New York pour cette « notification », première étape d’une procédure complexe qui risque de durablement diviser les grandes puissances et d’isoler Washington.

Ce faucon anti-Iran menaçait depuis des semaines d’avoir recours au mécanisme surnommé « snapback » si l’embargo sur les armes conventionnelles frappant la République islamique n’était pas prolongé au-delà de son expiration prévue en octobre.


Or la résolution américaine pour reconduire l’embargo a connu un échec retentissant vendredi : seuls deux des quinze membres du Conseil de sécurité ont voté pour.

Partie risquée
C’est une partie risquée que joue l’administration Trump.

Le président républicain a en effet retiré les États-Unis en 2018 de l’accord conclu trois ans plus tôt par son pays et d’autres grandes puissances (Chine, Russie, France, Royaume-Uni et Allemagne) avec l’Iran, pour l’empêcher de se doter de la bombe atomique. Il a redit mercredi qu’il s’agissait d’un compromis « désastreux », accablant son prédécesseur démocrate Barack Obama et son vice-président Joe Biden, qui le défiera en novembre dans la course à la Maison-Blanche.

Son gouvernement entend désormais invoquer son statut de pays « participant » à ce même accord nucléaire, au motif que la résolution de l’ONU qui l’a entériné désigne ainsi tous ses signataires initiaux.

Or, selon cette résolution, les « participants » peuvent dénoncer unilatéralement un « non respect notable » de ses « engagements » par un autre signataire, une procédure inédite censée permettre d’aboutir, au terme de 30 jours, au rétablissement, ou « snapback », des sanctions internationales contre Téhéran qui avaient été levées en échange de sa promesse en matière atomique. Et ce, sans possibilité pour d’autres, comme Moscou ou Pékin, d’opposer leur veto.

Donald Trump a déjà rétabli et même durci les sanctions américaines dans l’espoir de faire plier le régime iranien.

Il veut imposer à la communauté internationale d’en faire autant, et le tempo choisi doit lui permettre de clamer victoire lors de l’Assemblée générale annuelle de l’ONU, fin septembre.

« Trente jours après la notification du secrétaire d’État Pompeo, une série de sanctions de l’ONU seront rétablies, dont l’exigence que l’Iran suspende toutes les activités liées à l’enrichissement » d’uranium, tandis que l’embargo sur les armes sera « prolongé », a assuré le département d’État.

Mike Pompeo a dit s’attendre à ce que « tous les pays du monde respectent leurs obligations ».

L’argutie consistant à se réclamer « participant » d’un accord qu’on a quitté avec fracas ne passe toutefois pas, y compris chez les alliés européens de Washington qui tentent de sauver le texte.

« On ne considère pas que les États-Unis sont fondés juridiquement à activer le snapback », lâche une source diplomatique française, qui prévient que le stratagème s’opposera au refus de la quasi-totalité des membres du Conseil de sécurité.

« Tirer sur la gâchette »
« Ils vont tirer sur la gâchette, et rien ne sortira du fusil », ajoute cette source. Résultat, selon elle : pas de rétablissement des sanctions ni de l’embargo, mais « beaucoup de désordre », « une rupture transatlantique », et « un affaiblissement de l’autorité du Conseil de sécurité ».

« Personne ne nie que cette stratégie est controversée et difficile à mettre en œuvre », dit à l’AFP Behnam Ben Taleblu, du cercle de réflexion Foundation for Defense of Democracies en pointe contre Téhéran, qui fait toutefois porter aux Européens le chapeau d’une éventuelle division. En cas de refus de rétablir les sanctions, « ce serait eux, et non pas l’Amérique, qui s’attaqueraient aux normes et règles du Conseil – et ce serait une honte », lance-t-il.

Si de nombreux observateurs et alliés de Washington reconnaissent qu’il faudrait prolonger l’embargo sur les armes et s’inquiètent de la relance des activités iraniennes d’enrichissement d’uranium en riposte aux sanctions américaines, beaucoup dénoncent les arrière-pensées du milliardaire républicain, en position difficile pour la présidentielle du 3 novembre.

Toute cette procédure est une tentative « du gouvernement Trump de tenter de tuer une bonne fois pour toutes » l’accord sur le nucléaire iranien « et de rendre sa résurrection excessivement difficile » même en cas d’alternance à la Maison-Blanche, estime l’ex-diplomate Wendy Sherman, qui avait négocié le texte sous l’administration Obama."


Source : https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2020-08-19/washington-activera-une-procedure-a-l-onu-pour-retablir-les-sanctions-anti-iran.php

La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont annoncé, jeudi 20 août, ne pas soutenir l’initiative prise devant les Nations unies (ONU) par les Etats-Unis pour réclamer le rétablissement des sanctions internationales contre l’Iran, accusé d’avoir violé l’accord de 2015 sur le nucléaire.

Les Etats-Unis ont déclenché ce mécanisme, dit « snapback », au titre d’un des « participants » à l’accord sur le nucléaire iranien de 2015 (dit « JCPoA »). Or, « la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni notent que les Etats-Unis ont cessé d’être un participant au JCPoA à la suite de leur retrait de l’accord [en 2018] », soulignent leurs chancelleries, qui ne peuvent « pas soutenir cette initiative, incompatible avec nos efforts actuels de soutien au JCPoA ».

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/08/20/paris-berlin-et-londres-rejettent-tout-retour-des-sanctions-contre-l-iran-mike-pompeo-les-accuse-de-s-aligner-sur-les-ayatollahs_6049485_3210.html

Joe Biden : la «  lumière » contre les « ténèbres »


Le candidat démocrate à la présidence a promis de sortir l'Amérique des « ténèbres » et offert un discours solide en clôture de la convention de son parti.

Après trois campagnes présidentielles, près de quarante ans au Sénat et huit ans de vice-présidence, c'était sans doute le discours le plus important de sa carrière. Joe Biden avait trois objectifs très précis, hier soir, devant la convention démocrate. Il devait tout d'abord prouver qu'à 77 ans, il n'incarnait pas la caricature du papy gâteux que Donald Trump et les républicains se sont rapidement plu à diffuser.

Mission accomplie pour Biden : il a rassuré ses électeurs en montrant qu'il avait toute sa tête et était capable de prononcer un long discours cohérent, sans trop trébucher. Au moins temporairement. L'exercice n'était pas facile, s'adressant à une salle vide, dépourvue des applaudissements et des cris habituels des partisans. Surtout, il arrivait après toute une série d'orateurs brillants, dont son ancien patron, Barack Obama, qui a placé la barre très haut.


« Le président actuel a enseveli l'Amérique dans les ténèbres depuis trop longtemps »

Joe Biden se devait ensuite d'offrir une vision optimiste de l'Amérique alors que le pays est dévasté par la pandémie, une énorme crise économique, une explosion des problèmes raciaux…
« Le président actuel a enseveli l'Amérique dans les ténèbres depuis trop longtemps… Trop de colère, trop de peurs, trop de divisions  », a déclaré Biden, avec des accents quasi obamiens. « Je vous le promets, si vous me faites confiance et me confiez la présidence, je ferai ressortir le meilleur de nous, pas le pire. Je serai un allié de la lumière et pas des ténèbres. »

Il devait enfin se livrer à un numéro d'équilibriste, cajoler à la fois l'aile gauche du Parti et lui promettre des réformes sur le réchauffement climatique ou la question raciale sans effaroucher les modérés, y compris les républicains déçus du trumpisme. Il a invoqué Franklin Roosevelt et son New Deal, à la suite de la crise de 1929, au cours de laquelle le président avait mis en place toutes sortes de mesures révolutionnaires pour l'époque, mais il est resté vague sur son programme.

Au final, l'ancien vice-président a prononcé un discours solide, sérieux et très mordant, loin de l'image du Biden souriant et débonnaire qui visait à souligner le contraste avec Donald Trump. Il s'est beaucoup exprimé sur les échecs du président, notamment en matière de coronavirus. C'est sans doute la stratégie qu'il va adopter dans la dernière ligne droite de la campagne. « Notre président actuel a manqué à son devoir le plus basique envers la nation : il a échoué à nous protéger », a-t-il dit. « Il a échoué à protéger l'Amérique et à protéger mes compatriotes. C'est impardonnable. Si je suis élu, je vous fais la promesse de protéger l'Amérique. Je vous défendrai contre toutes les attaques, visibles et invisibles, toujours, sans exception, à chaque fois. »

Un discours salué par… Fox News

Ce discours lui attirera-t-il de nouveaux électeurs ? Depuis des années, les conventions ont de moins en moins d'impact dans la campagne électorale et il reste plus de deux mois avant le scrutin. Mais les commentateurs sur Fox News se sont montrés, une fois n'est pas coutume, très élogieux. C'est un discours « énormément efficace », a dit l'un d'eux, qui « porte un coup » aux tentatives de Donald Trump de présenter son adversaire comme un vieillard sénile."


Source : https://www.lepoint.fr/monde/joe-biden-la-lumiere-contre-les-tenebres-21-08-2020-2388486_24.php

On rajoute un peu d’huile sur le feu ?

***

Couvre-feu et garde nationale à Kenosha, Jacob Blake dans un état critique

« La colère, l'indignation, l'incompréhension grandissent à Kenosha dans le Wisconsin aux Etats-Unis. Un couvre-feu a été décrété à partir de 20h, 125 militaires de la garde nationale ont été mobilisés. Jacob Blake, lui, est toujours dans un état critique après avoir été opéré dans un hôpital de Milwaukee à une quarantaine de kilomètres de là. Les policiers, qui lui ont tiré dessus à 7 ou 8 reprises, et à bout portant, sont suspendus le temps de l'enquête criminelle.

Les images "amateur-es" de ce drame laissent peu de doute : le policier a fait feu alors que Jacob Blake rentrait calmement dans sa voiture où se trouvaient ses trois enfants ...

Le gouverneur démocrate du Wisconsin a qualifié le racisme de crise de santé publique et appelle à agir. En juin dernier, il avait lancé la réforme de la police après les manifestations du mouvement Black Lives Matter et la mort de George Floyd. Hier, Tony Evers a déclaré : "Nous devons entamer le long mais important chemin pour que notre État et notre pays commencent à tenir leurs promesses d'équité et de justice."

Son adjoint, Mandela Barnes, un Afro-américain, a estimé que ce drame "n'était pas un accident", que "ce n'était pas une bavure", mais, je cite, "une violence ordinaire pour beaucoup d'entre nous".

La police de Kenosha a appelé de son côté à ne pas tirer de conclusions hâtives "jusqu'à ce que l'ensemble des faits soient connus".
La colère a également gagné d'autres villes américaines. A Minneapolis, où George Floyd a été tué, des manifestants ont brûlé un drapeau américain.
Environ 200 personnes, certaines le poing levé, ont aussi défilé à New York en criant le nom de Jacob Blake.

Le candidat démocrate à l'élection présidentielle Joe Biden a lui exigé "une enquête immédiate, poussée et transparente et que les policiers répondent de leurs actes".
"Le pays se réveille encore une fois plongé dans la douleur et l'indignation qu'un homme noir américain ait à nouveau été victime d'un abus policier", a regretté Joe Biden, accompagnant son message du mot "Assez" sur fond noir. »

Sources :

https://fr.euronews.com/2020/08/25/couvre-feu-et-garde-nationale-a-kenosha-jacob-blake-dans-un-etat-critique

https://www.ledevoir.com/monde/etats-unis/584699/enquete-ouverte-dans-le-wisconsin-apres-des-tirs-de-la-police-sur-un-homme-noir

L'analyse de PJ Fournier sur l'élection de Trump.

La réélection de Trump sera difficile

https://twitter.com/338Canada/status/1298430971704942594?s=20&fbclid=IwAR1J5ucenUVjSVOhYA9Ib_cAycaKr0QyqRz2CfPp-2dsQvqc9Qw5Ova1y0M

Bramane a écrit:La réélection de Trump sera difficile

J'en viens à me dire que quel que soit le résultat, le chaos s'installera....

Seuls les marionnettistes savent qui sera «  élu « , la voix du peuple importe peu vous le savez.

En prenant un peu de recul, sachant que la grande guerre contre la Chine est inéluctable , il faut imaginer quel scénario peut aboutir à cela.
Pour cela il faut que l’armée US reste forte et avec beaucoup d’alliés.
Ceci étant, une telle armée peut perdurer sans pour autant répondre directement aux USA tels qu’on les connaît.

Du côté de la société américaine, la réélection de Trump entraînerait inévitablement des troubles forts voire à la partition de la fédération. Cela ne va donc pas dans le sens de la possibilité d’une guerre contre la Chine.
L’élection de Biden permettrait de maintenir encore quelques années la fédération car l’électorat de Trump reste blanc et/ou «  civilisé « , ses partisans ne feront rien pour entraîner l’effondrement de la fédération, tandis qu’en cas de réélection    les hordes aux ordres de BLM feront tout pour entraîner la fédération dans le chaos.
C’est pour cette raison que Biden a de fortes chances de l’emporter, et au passage, cela permettra aux services fédéraux de pourchasser et anéantir toute velléité de sécession de la part des ruraux à majorité blanche.

Le but des marionnettistes reste un monde mutli, sous éduqué, gavé aux pains et aux jeux, cela n’est pas possible avec une conscience blanche forte.

Les marionnettistes n’ont jamais voulu aider les peuples du monde à sortir de la misère et leur fournir l’éducation nécessaire , ce n’est pas pour rien. Pour cela le film idiocracie est un excellent exemple de ce qui nous attend.

Au final Biden a de fortes chances d’être élu, et pour cela il faudra manipuler l’opinion mais également truquer les votes.
Ceux qui se révolteront en auront pour leur frais mais cela sera plus facilement gerable  que si c’est Trump qui est réélu auquel cas la guerre civile et raciale arrivera rapidement.
Ce n’est certainement pas le souhait des marionnettistes qui comme en France ne peuvent pas casser leur jouet pour si peu.

Je maintiens et répète, l’objectif étant un monde unifié il faudra casser les pays, seule l’armée américaine aux commandes d’une puissance alliance peut venir à bout de la Chine. Pour cela il ne faut pas que la fédération éclate trop vite , ni que de puissants troublent viennent durablement obérer les capacités militaires des alliés des USA.
Une fois la Chine vaincue et la révolution sociale déclenchée là bas , alors les grandes troubles pourront advenir dans nos contrées occidentales.
Cela nous laisse donc encore entre 10 et 20 ans de souffrance à subir les délires des marionnettistes dans notre pays, entre autre.
Notez que nous subissons leurs délires depuis des siècles et que le peuple n’a jamais eu la conscience collective nécessaire pour se révolter. Et que l’on ne me parle pas de la pseudo révolution de 1789, une grande farce parmis tant d’autres.

Merci Ligeia et l'homme pour vos commentaires.

L'homme, bon texte pertinent !

Si Trump gagne par la peau des dents ou de façon douteuse, il y aura beaucoup de casses dans les grandes villes des états démocrates en provenance des groupes antifa. Le pays sera ingérable. Chaos et chômage feront tomber le dollar. Personne ne sera gagnant et tout le monde sera impacté...y compris la Chine.

Bramane a écrit:Si Trump gagne par la peau des dents ou de façon douteuse, il y aura beaucoup de casses dans les grandes villes des états démocrates en provenance des groupes antifa. Le pays sera ingérable. Chaos et chômage feront tomber le dollar. Personne ne sera gagnant et tout le monde sera impacté...y compris la Chine.

Merci cela me permet la réflexion inverse de la précédente, quel serait l’intérêt pour les marionnettistes de faire gagner Trump.
Il faut un état fort et dictatorial pour envisager une grande guerre.
Pour cela, seul le peuple docile et travailleur peut l’accepter.
Les antifascistes et autres idiots utiles n’étant que des supplétifs jetables, il sera alors aisé pour le gouvernement fédéral d’imposer la loi martiale, faire la chasse aux SJW etc sous couvert de protéger la fédération.
Car en effet, le peuple travailleur et docile, celui qui veaute et permet au système de fonctionner est chauffé à blanc depuis longtemps mais n’a pas envie de se salir lui même les mains. Du reste comme dans nos contrées, les gens sont chauffés à blanc mais on encore trop à perdre pour prendre eux mêmes la tête d’une révolte, qui ne sera jamais tournée vers les marionnettistes mais vers ceux qui remettent en cause le système. Contestataires de tous bords et toutes sensibilités, ennemi intérieur et extérieur de toute natures.
Cette version est tout à fait probante en ce sens que le peuple docile et travailleur au fond de lui même ne demande que l’ordre et la loi pour pouvoir continuer à grignoter les quelques miettes empoissonnées jetées par les marionnettistes.

Je n’ai pas d’opinion arrêtée sur le sujet car les marionnettistes ont des plans qui nous restent opaques pour ne pas écrire masqués.
Seul le peuple docile et travailleur acceptera sans broncher des lois profondément liberticides comme c’est déjà le cas du reste, de ce côté ci de l’Atlantique ou de l’autre.
Aux USA le peuple docile et travailleur reste un peuple armé et agissant, difficile de soutenir ma première vision des choses, le risque de gripper la machine productive est trop fort et dangereux pour les marionnettistes. Sur qui s’appuyeraient ils pour préparer les grandes guerres à venir ? Dès swj et autres BLM et antifa ? Ces gens payés par soros ? Évidemment que non, il faut des têtes pensantes qui ne pensent qu’à leur tâche et rien d’autre pour cela, et seul le peuple docile et travailleur en est capable. Imaginez vous un seul instant les hordes du bal des horreurs qui ravagent les villes américaines fabriquer des bombes, penser de nouvelles armes et surtout, accepter leur utilisation dans une grande guerre ?

L’avenir délivrera sa vérité, les marionnettistes écriront la leur dans les livres d’histoire, mais dans tous les cas des nuages bien sombres s’amoncellent au dessus de nos têtes, de plus en plus.
Et le peuple docile et travailleur des deux côtés de l’atlantique, particulièrement malléable et manipulable acceptera sans broncher la dictature ouverte à venir des deux côtés de l’Atlantique, seule à même de mettre l,Occident en capacité de faire les grandes guerres voulues par les marionnettistes.

Pardonnez ma vulgarité mais dans tous les cas il me semble que nous sommes «  baisés « .

Une possibilité de plus en plus souvent évoquée, est que les marionnettistes, eux même, se rendent compte qu'ils commencent à perdre le contrôle et tentent de précipiter leur "agenda" en agissant un peu dans tous les sens.

Car, il ne sont pas les maîtres du monde (ils se servent de connaissances qu'ils ne maîtrisent pas) et encore moins de eux même et c'est ce dernier paramètre qui les perdra (ils finiront par se dévorer entre eux, comme des animaux enragés).

Mais effectivement, les populations vont souffrir, oui.

les vidéos sont assez parlantes !

https://twitter.com/AnonymeCitoyen/status/1302377349804064768?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1302377349804064768%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2020%2F09%2F06%2Fusa-en-cours-des-centaines-de-membres-de-la-nfac-une-milice-noire-defilent-lourdement-armes-dans-les-rues-de-louisville-dans-le-kentucky%2F

avec en plus les élections, les derniers dérapages des flics médiatisés sur les noirs, le chômage de masse qui approche, les expulsions même si elles sont repoussées tout ça tout ça.....

Le président américain Donald Trump, nominé pour le Prix Nobel de la Paix 2021


La nouvelle a surpris tout le monde ce mercredi 9 septembre : le président américain Donald Trump a été nominé pour le Prix Nobel de la Paix 2021. La candidature du chef de l'État a été proposée par Christian Tybring-Gjedde, président de la délégation norvégienne à l'Assemblée parlementaire de l'OTAN, membre du Parlement norvégien, et partisan des politiques anti-immigration.

Le Norvégien a salué l'engagement du président américain en faveur pour "l'accord de paix historique" conclu entre Israël et les Émirats Arabes Unis le mois dernier. La semaine dernière, Donald Trump était également intervenu lors du sommet Serbie-Kosovo, organisé à la Maison-Blanche. Le président américain s'était alors réjoui d’une possible "grande paix au Moyen-Orient". La Serbie a par la suite annoncé qu'elle allait transférer son ambassade en Israël à Jérusalem.

Barack Obama récompensé en 2009

En pratique, les nominations proposées pour cette distinction doivent être argumentées et détaillées. Tybring-Gjedde estime ainsi que Donald Trump valide les trois critères nécessaires à la nomination d'un Prix Nobel de la Paix : "La première est la fraternité entre les nations et il l'a fait par le biais de négociations", la "réduction des armées permanentes" (notamment suite au retrait de troupes américaines au Moyen-Orient) et la "promotion des congrès de paix".

Plusieurs centaines de propositions sont émises chaque année mais seulement 199 d'entre elles seront retenues. La candidature de Donald Trump sera prise en considération   sont la proposition réalisée par Christian Tybring-Gjedde sera simplement prise en considération par un comité nommé par le parlement norvégien. Le dernier président américain à avoir reçu la distinction n'était nul autre Barack Obama, récompensé en 2009, "pour ses efforts extraordinaires en faveur du renforcement de la diplomatie et de la coopération internationales entre les peuples"."


Source : https://www.ladepeche.fr/2020/09/09/le-president-americain-donald-trump-nomine-pour-le-prix-nobel-de-la-paix-2021-9059392.php

«Rage», ou comment Trump s'est tiré une balle dans le pied

Fred Kaplan — Traduit par Bérengère Viennot — 23 septembre 2020 à 7h0

Dans le dernier livre de Bob Woodward, on assiste au sabordage de Trump par Trump.

Si les livres peuvent encore avoir un impact politique (et c'est un si très spéculatif), alors Rage, dernier profil présidentiel en date signé Bob Woodward, devrait devenir un best-seller susceptible de déterminer l'issue de l'élection. Il ne se contente pas de citer des sources anonymes critiquant les politiques et la personnalité de Donald Trump: il attrape le principal intéressé en flagrant délit de débitage d'âneries accablantes (lors de dix-sept interviews, accordées de janvier à juillet 2020), officielles et enregistrées. Tout le monde attendait que quelqu'un·e fasse fuiter des enregistrements secrets de Trump en train de dire des choses épouvantables. Qui aurait pu prédire qu'il les confierait de lui-même à un des journalistes les plus célèbres du monde, étant enregistré et en le sachant!
Vous avez sans aucun doute lu ou même entendu le plus gros scoop: Trump savait déjà en janvier que le coronavirus était bien plus mortel que la grippe, que sa transmission était aéroportée et qu'il ne tuait pas que les personnes âgées mais aussi les jeunes. Ce qui ne l'a pas empêché d'expliquer au public que tout allait bien et que les microbes allaient bientôt disparaître –aujourd'hui encore, il encourage des milliers de supporters à assister à des meetings bondés à visage découvert, il se moque de Joe Biden parce qu'il porte un masque et il fait pression sur les universités des Big Ten pour qu'elles reprennent leurs matchs de football, et ce pour son divertissement personnel.

La véritable nouvelle ici c'est que contrairement à ce que l'on pensait à l'époque, Trump n'a pas ignoré les scientifiques ou récusé leurs conseils lorsque la pandémie a éclaté. Non, il a très bien compris leurs analyses et leurs prédictions. Il a juste décidé de ne rien faire –et, pire encore, d'encourager les autres à ne pas faire grand-chose non plus. Avant, nous ne pouvions que spéculer que Trump était personnellement responsable de la mort de dizaines de milliers de personnes; maintenant nous le savons. Woodward lui a soutiré d'autres révélations, moins médiatisées mais tout aussi impressionnantes.

La suite :

http://www.slate.fr/story/195155/rage-bob-woodward-sabordage-trump-dictateurs-narcissisme-paranoia-insensibilite-raciale-dangereux

Je ne sais pas si finalement ils organiseront le fameux débat mais si oui, cela risque risque d'être particulièrement "nauséabond" !