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Spécial USA
par Ligeia Mar 30 Oct - 17:11
Après avoir analysé l'état de la société américaine, des chercheurs sont arrivés à une conclusion préoccupante: le pays se trouverait au bord de la guerre civile.
L'élection présidentielle de 2020 pourrait provoquer la scission définitive de la société américaine et le début de la guerre civile, estime Niall Ferguson, professeur d'histoire à l'université Harvard dans un article publié par le quotidien The Sunday Times.
Dans son article, l'enseignant note que des contradictions et un «conflit culturel» ont commencé, au cours des dernières années, à déchirer la société, ce qui est démontré par le segment américain de l'internet.
«En plus, les informations publiées la semaine dernière sur l'envoi par poste d'engins explosifs artisanaux à une demi-douzaine de critiques les plus connus de Donald Trump, dont Hillary Clinton, Joe Biden, le milliardaire George Soros et l'acteur Robert De Niro ouvrent la porte aux nouvelles prophéties au sujet de la Seconde guerre civile aux USA», souligne Niall Ferguson.
Une autre chercheuse, Emily Whalen, professeur d'histoire à l'université du Texas, est également préoccupée par la situation aux États-Unis.
Reprenant les critères de Jonathan Randal, correspondant du quotidien The Washington Post, qui avait prédit le début de la guerre civile au Liban en 1975, la chercheuse a constaté dans un article publié par le site Task&Purpose une similitude de situations aux États-Unis et au Liban.
Selon elle, malgré une énorme différence entre les deux pays, il y a des points similaires.
«Tout comme le Liban de 1975, les États-Unis ont un goujat comme Président, des alliés qui sont préoccupés par leur propres intérêts et un gouvernement inefficace. Le Parti démocrate tout comme les partis progressistes du Liban de l'époque, est «décentralisé et désorganisé», note l'historienne américaine.
Une quinzaine de colis piégés a été interceptée à la fin de la semaine dernière aux USA. Dix d'entre eux étaient adressés à des personnalités démocrates, notamment l'ancien Président Barack Obama, l'ex-secrétaire d'État Hillary Clinton, l'ancien vice-Président démocrate Joe Biden, le financier George Soros, l'acteur Robert De Niro, l'ex-ministre de la Justice de Barack Obama Eric Holder, l'élue démocrate de Californie Maxine Waters, ainsi qu'à la chaîne CNN.
Source : https://fr.sputniknews.com/international/201810301038704195-usa-guerre-civile/
L'élection présidentielle de 2020 pourrait provoquer la scission définitive de la société américaine et le début de la guerre civile, estime Niall Ferguson, professeur d'histoire à l'université Harvard dans un article publié par le quotidien The Sunday Times.
Dans son article, l'enseignant note que des contradictions et un «conflit culturel» ont commencé, au cours des dernières années, à déchirer la société, ce qui est démontré par le segment américain de l'internet.
«En plus, les informations publiées la semaine dernière sur l'envoi par poste d'engins explosifs artisanaux à une demi-douzaine de critiques les plus connus de Donald Trump, dont Hillary Clinton, Joe Biden, le milliardaire George Soros et l'acteur Robert De Niro ouvrent la porte aux nouvelles prophéties au sujet de la Seconde guerre civile aux USA», souligne Niall Ferguson.
Une autre chercheuse, Emily Whalen, professeur d'histoire à l'université du Texas, est également préoccupée par la situation aux États-Unis.
Reprenant les critères de Jonathan Randal, correspondant du quotidien The Washington Post, qui avait prédit le début de la guerre civile au Liban en 1975, la chercheuse a constaté dans un article publié par le site Task&Purpose une similitude de situations aux États-Unis et au Liban.
Selon elle, malgré une énorme différence entre les deux pays, il y a des points similaires.
«Tout comme le Liban de 1975, les États-Unis ont un goujat comme Président, des alliés qui sont préoccupés par leur propres intérêts et un gouvernement inefficace. Le Parti démocrate tout comme les partis progressistes du Liban de l'époque, est «décentralisé et désorganisé», note l'historienne américaine.
Une quinzaine de colis piégés a été interceptée à la fin de la semaine dernière aux USA. Dix d'entre eux étaient adressés à des personnalités démocrates, notamment l'ancien Président Barack Obama, l'ex-secrétaire d'État Hillary Clinton, l'ancien vice-Président démocrate Joe Biden, le financier George Soros, l'acteur Robert De Niro, l'ex-ministre de la Justice de Barack Obama Eric Holder, l'élue démocrate de Californie Maxine Waters, ainsi qu'à la chaîne CNN.
Source : https://fr.sputniknews.com/international/201810301038704195-usa-guerre-civile/
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par ThibaultErikson Mar 30 Oct - 17:24
Au passage concernant l'affaire des colis piégés, c'est mon opinion mais ce canular est fait de manière à ce que tout le monde sache qu'il s'agit d'un faux. Le but ici est de renforcer Donald Trump en tant qu’ennemi du système. Comme ces histoires de viol sur le juge Kavanaugh.
Si l'état profond voulait vraiment lui faire du mal, il n'aurait pas engagé de femmes incapables de donner plus de détails sur les viols en question. C'est du cinéma comme « regarde, ils font tout ce qu'ils peuvent pour faire tomber Trump ».
Si l'état profond voulait vraiment lui faire du mal, il n'aurait pas engagé de femmes incapables de donner plus de détails sur les viols en question. C'est du cinéma comme « regarde, ils font tout ce qu'ils peuvent pour faire tomber Trump ».
ThibaultErikson- Date d'inscription : 22/10/2018
Localisation : La Manche, Basse-Normandie -
Deal du siècle...
par Ligeia Lun 26 Nov - 16:13
Voir aussi cet article en lien avec le sujet : https://lagrandeparodie.forumactif.com/t263-laxe-de-la-terreur-et-jared-kushner
**********************
Contre-proposition russe au « Deal du siècle » :
"S'adressant à Rome aux participants du « Mediterranean dialogue 2018 », le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré qu’il est impossible de parvenir à la paix en Iraq et en Libye tant que l’on n’aura pas réglé le problème palestinien.
L’analyse historique selon laquelle l’ensemble des conflits actuels du Proche-Orient sont impactés par le plus ancien de tous, les conditions d’établissement de l’État d’Israël, faisait jadis consensus, y compris en Israël. Cependant les dirigeants israéliens se réclamant de Vladimir Jabotinsky, notamment le Premier ministre Benjamin Netanyahu, la refusent et s’évertuent à segmenter les problèmes régionaux ; une rhétorique désormais relayée par les États-Unis.
Le président états-unien Donald Trump espère parvenir à rétablir la paix au Proche-Orient avant la fin de son mandat. Il a confié à son conseiller spécial Jared Kushner le soin d’élaborer un plan de règlement du conflit (le « Deal du siècle »). Celui-ci est arrivé à deux conclusions. D’abord que l’ensemble des dirigeants israéliens et palestiniens sont plus attachés à leur position personnelle qu’au service de leur peuple. Puis que les Palestiniens, injustement chassés de leur terre en 1948, n’ont toujours pas accepté d’avoir perdu plusieurs guerres depuis et en refusent les conséquences. Il a donc élaboré un projet dans l’intérêt des peuples qui contredit les discours des dirigeants et viole les mythes des uns et des autres. Toutefois l’annonce de ce projet est sans cesse différé.
La Russie se propose de doubler les États-Unis et d’organiser à Moscou, sous les auspices de l’Onu et avec la participation de la Ligue arabe, de nouvelles négociations israélo-palestiniennes.
Dans la pratique, toutes les négociations précédentes, depuis 70 ans, ont échoué parce qu’un protagoniste ou un autre était tenu à l’écart. Or, le projet US est pensé contre la Russie et le projet russe contre les USA. La seule conférence qui ait obtenu un résultat est celle de Madrid (1991), parce qu’elle était coorganisée par Washington et Moscou. Le processus alors mis en œuvre fut interrompu par la fin du mandat de George Bush père aux USA et l’élection de Bill Clinton."
Source : http://www.voltairenet.org/article204083.html
**********************
Contre-proposition russe au « Deal du siècle » :
"S'adressant à Rome aux participants du « Mediterranean dialogue 2018 », le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré qu’il est impossible de parvenir à la paix en Iraq et en Libye tant que l’on n’aura pas réglé le problème palestinien.
L’analyse historique selon laquelle l’ensemble des conflits actuels du Proche-Orient sont impactés par le plus ancien de tous, les conditions d’établissement de l’État d’Israël, faisait jadis consensus, y compris en Israël. Cependant les dirigeants israéliens se réclamant de Vladimir Jabotinsky, notamment le Premier ministre Benjamin Netanyahu, la refusent et s’évertuent à segmenter les problèmes régionaux ; une rhétorique désormais relayée par les États-Unis.
Le président états-unien Donald Trump espère parvenir à rétablir la paix au Proche-Orient avant la fin de son mandat. Il a confié à son conseiller spécial Jared Kushner le soin d’élaborer un plan de règlement du conflit (le « Deal du siècle »). Celui-ci est arrivé à deux conclusions. D’abord que l’ensemble des dirigeants israéliens et palestiniens sont plus attachés à leur position personnelle qu’au service de leur peuple. Puis que les Palestiniens, injustement chassés de leur terre en 1948, n’ont toujours pas accepté d’avoir perdu plusieurs guerres depuis et en refusent les conséquences. Il a donc élaboré un projet dans l’intérêt des peuples qui contredit les discours des dirigeants et viole les mythes des uns et des autres. Toutefois l’annonce de ce projet est sans cesse différé.
La Russie se propose de doubler les États-Unis et d’organiser à Moscou, sous les auspices de l’Onu et avec la participation de la Ligue arabe, de nouvelles négociations israélo-palestiniennes.
Dans la pratique, toutes les négociations précédentes, depuis 70 ans, ont échoué parce qu’un protagoniste ou un autre était tenu à l’écart. Or, le projet US est pensé contre la Russie et le projet russe contre les USA. La seule conférence qui ait obtenu un résultat est celle de Madrid (1991), parce qu’elle était coorganisée par Washington et Moscou. Le processus alors mis en œuvre fut interrompu par la fin du mandat de George Bush père aux USA et l’élection de Bill Clinton."
Source : http://www.voltairenet.org/article204083.html
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Mar 27 Nov - 20:36
"L'administration de Donald Trump a indiqué à Israël qu'elle présenterait son plan de paix pour le Proche-Orient au début de l'année prochaine, a indiqué mardi l'ambassadeur israélien à l'ONU, Danny Danon.
"Nous ne connaissons pas les détails du plan mais nous savons qu'il est achevé", a dit M. Danon lors d'une rencontre avec des journalistes, précisant que le gouvernement américain avait discuté avec Israël de la période à laquelle il serait rendu public.
"Pour ce que j'en sais, (les Américains) ont parlé avec nous de début 2019, ce qui est bientôt", a-t-il dit. Cela permettra à Donald Trump de "le présenter sans interférer avec notre débat politique en Israël", où des élections sont prévues plusieurs mois après, a indiqué Danny Danon.
Il a dit s'attendre à une opposition des Palestiniens, dont les relations sont gelées avec les Etats-Unis depuis la décision il y a un an de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël et d'y installer l'ambassade américaine, jusque-là à Tel Aviv.
En 2018, les Etats-Unis ont diminué de plus de 500 millions de dollars leur aide aux Palestiniens.
En septembre, le président américain avait indiqué vouloir dévoiler avant la fin de l'année le plan américain pour le Proche-Orient, préparé par son gendre Jared Kushner et un avocat, Jason Greenblatt, laissant entendre qu'il permettait de créer un Etat palestinien.
En octobre, Jason Greenblatt avait indiqué au Times of Israel que le plan "serait fortement focalisé sur les besoins de sécurité d'Israël" tout en étant "équitable pour les Palestiniens"."
Source : https://www.romandie.com/news/974608.rom
"Nous ne connaissons pas les détails du plan mais nous savons qu'il est achevé", a dit M. Danon lors d'une rencontre avec des journalistes, précisant que le gouvernement américain avait discuté avec Israël de la période à laquelle il serait rendu public.
"Pour ce que j'en sais, (les Américains) ont parlé avec nous de début 2019, ce qui est bientôt", a-t-il dit. Cela permettra à Donald Trump de "le présenter sans interférer avec notre débat politique en Israël", où des élections sont prévues plusieurs mois après, a indiqué Danny Danon.
Il a dit s'attendre à une opposition des Palestiniens, dont les relations sont gelées avec les Etats-Unis depuis la décision il y a un an de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël et d'y installer l'ambassade américaine, jusque-là à Tel Aviv.
En 2018, les Etats-Unis ont diminué de plus de 500 millions de dollars leur aide aux Palestiniens.
En septembre, le président américain avait indiqué vouloir dévoiler avant la fin de l'année le plan américain pour le Proche-Orient, préparé par son gendre Jared Kushner et un avocat, Jason Greenblatt, laissant entendre qu'il permettait de créer un Etat palestinien.
En octobre, Jason Greenblatt avait indiqué au Times of Israel que le plan "serait fortement focalisé sur les besoins de sécurité d'Israël" tout en étant "équitable pour les Palestiniens"."
Source : https://www.romandie.com/news/974608.rom
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Mer 28 Nov - 8:38
"La loi sur la conscription des haredim va-t-elle faire tomber le gouvernement ?"
Le Conseil des Sages de la Torah, instance décisionnaire des factions ultra-orthodoxes se réunira pour décider s'ils doivent rester au gouvernement malgré l'adoption de la loi.
"Le Conseil déterminera, pendant cette réunion, si les élus d’Agudath Yisrael, que sont Yaakov Litzman, Meir Porush, Yisrael Eichler et Menachem Eliezer Mozes, doivent quitter la coalition en cas d’adoption de la loi par la Knesset dans sa forme actuelle. Ces départs pourraient causer des élections anticipées.
https://fr.timesofisrael.com/la-loi-sur-la-conscription-des-haredim-va-t-elle-faire-tomber-le-gouvernement/
Selon la même source il semblerait qu'il y ait un désaccord entre Trump et ses conseillers sur l'opportunité de dévoiler le "Deal du siècle" , vu la crise politique actuelle en Israël :
"Le 18 novembre, la Dixième chaîne d’information a d’abord rendu compte de la réunion, citant des responsables américains qui ont déclaré que M. Trump souhaitait que le plan soit mis en œuvre d’ici février, mais que ses conseillers préféraient adopter une approche plus prudente, compte tenu de la crise politique qui sévissait en Israël."
https://fr.timesofisrael.com/lambassadeur-americain-dement-que-la-maison-blanche-retarde-son-plan-de-paix/
Le Conseil des Sages de la Torah, instance décisionnaire des factions ultra-orthodoxes se réunira pour décider s'ils doivent rester au gouvernement malgré l'adoption de la loi.
"Le Conseil déterminera, pendant cette réunion, si les élus d’Agudath Yisrael, que sont Yaakov Litzman, Meir Porush, Yisrael Eichler et Menachem Eliezer Mozes, doivent quitter la coalition en cas d’adoption de la loi par la Knesset dans sa forme actuelle. Ces départs pourraient causer des élections anticipées.
https://fr.timesofisrael.com/la-loi-sur-la-conscription-des-haredim-va-t-elle-faire-tomber-le-gouvernement/
Selon la même source il semblerait qu'il y ait un désaccord entre Trump et ses conseillers sur l'opportunité de dévoiler le "Deal du siècle" , vu la crise politique actuelle en Israël :
"Le 18 novembre, la Dixième chaîne d’information a d’abord rendu compte de la réunion, citant des responsables américains qui ont déclaré que M. Trump souhaitait que le plan soit mis en œuvre d’ici février, mais que ses conseillers préféraient adopter une approche plus prudente, compte tenu de la crise politique qui sévissait en Israël."
https://fr.timesofisrael.com/lambassadeur-americain-dement-que-la-maison-blanche-retarde-son-plan-de-paix/
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
USA - Trump
par Ligeia Mer 12 Déc - 10:48
"Donald Trump a admis que l'impeachment était une «possibilité réelle», mais est certain que les choses «n'iront pas jusque-là». C'est ce qu'a rapporté la chaîne CNN se référant à une source proche du dirigeant américain.
Selon une source de la chaîne CNN, Donald Trump a exprimé des inquiétudes quant à la possibilité d'un impeachment contre lui lors de conversations avec ses conseillers, écrit le site d'information Gazeta.ru. Le Président américain pense que cela pourrait se produire après le passage de la Chambre des représentants du Congrès sous le contrôle des démocrates, ses opposants politiques.
Selon une autre source, les conseillers du leader américain supposent qu'une procédure de destitution pourrait être lancée à cause des infractions financières commises pendant la campagne électorale en lien avec les paiements versés par l'ex-avocat du président Michael Cohen aux «maîtresses du Président».
La Maison-Blanche semble pourtant persuadée que l'enquête sur le lien supposé entre Donald Trump et le Kremlin ne conduirait pas à un impeachment. De son côté, le locataire de la Maison-Blanche a balayé toutes les accusations le visant concernant les versements à l'actrice pornographique Stormy Daniels et au mannequin Karen McDougal. Il a également nié les contacts des membres de son QG de campagne avec les autorités russes.
CNN a également annoncé que près de 16 personnes de l'entourage de Donald Trump auraient pu entretenir des contacts avec des Russes."
Lire la suite sur : https://fr.sputniknews.com/presse/201812111039260622-trump-impeachment-ingerence-russe-star-porno/
En complément :
Etrange la tactique de défense adoptée par l'avocat....
"Donald Trump a assuré dans une interview accordée mardi à Reuters dans le bureau Ovale de la Maison-Blanche ne pas craindre d'être destitué. Selon lui, les paiements effectués avant l'élection présidentielle par son ancien avocat, Michael Cohen, afin de réduire au silence deux femmes disant avoir eu une liaison avec lui, ne violent pas les lois sur le financement des campagnes électorales.
«Il est difficile de destituer quelqu'un qui n'a rien fait de mal et qui a créé la plus grande économie de l'histoire de notre pays», a-t-il poursuivi. «Je ne suis pas inquiet. Je pense que les gens se révolteraient si cela venait à arriver.»
Alors que les Démocrates ont estimé que Trump pourrait faire face à une procédure d'«impeachment» (destitution) si les transactions étaient jugées en violation avec les lois sur le financement des campagnes électorales, Trump a répondu que ces paiements ne constituaient pas «une donation de campagne» et qu'il comptait sur M.Cohen qui devait «savoir quoi faire».
«Michael Cohen est un avocat. Il est supposé savoir ce qu'il faut faire», a dit le Président américain
Il a également ajouté que «si c'est le cas, c'est seulement du civil, et même dans ce cas-là nous n'avons pas commis de violation».
Michael Cohen avait déjà plaidé coupable d'avoir violé les lois sur le financement de campagne. Il a admis qu'il était un médiateur dans les paiements que Trump avait effectués en faveur de l'actrice de films X Stormy Daniels (de son vrai nom Steffani Clifford) pour acheter son silence. En outre, M.Cohen a plaidé coupable d'évasion fiscale. La semaine prochaine, une condamnation serait prononcée à l'encontre de M.Cohen à New York."
La suite sur : https://fr.sputniknews.com/international/201812121039272119-trump-destitution-cohen-usa-president/
Selon une source de la chaîne CNN, Donald Trump a exprimé des inquiétudes quant à la possibilité d'un impeachment contre lui lors de conversations avec ses conseillers, écrit le site d'information Gazeta.ru. Le Président américain pense que cela pourrait se produire après le passage de la Chambre des représentants du Congrès sous le contrôle des démocrates, ses opposants politiques.
Selon une autre source, les conseillers du leader américain supposent qu'une procédure de destitution pourrait être lancée à cause des infractions financières commises pendant la campagne électorale en lien avec les paiements versés par l'ex-avocat du président Michael Cohen aux «maîtresses du Président».
La Maison-Blanche semble pourtant persuadée que l'enquête sur le lien supposé entre Donald Trump et le Kremlin ne conduirait pas à un impeachment. De son côté, le locataire de la Maison-Blanche a balayé toutes les accusations le visant concernant les versements à l'actrice pornographique Stormy Daniels et au mannequin Karen McDougal. Il a également nié les contacts des membres de son QG de campagne avec les autorités russes.
CNN a également annoncé que près de 16 personnes de l'entourage de Donald Trump auraient pu entretenir des contacts avec des Russes."
Lire la suite sur : https://fr.sputniknews.com/presse/201812111039260622-trump-impeachment-ingerence-russe-star-porno/
En complément :
Etrange la tactique de défense adoptée par l'avocat....
"Donald Trump a assuré dans une interview accordée mardi à Reuters dans le bureau Ovale de la Maison-Blanche ne pas craindre d'être destitué. Selon lui, les paiements effectués avant l'élection présidentielle par son ancien avocat, Michael Cohen, afin de réduire au silence deux femmes disant avoir eu une liaison avec lui, ne violent pas les lois sur le financement des campagnes électorales.
«Il est difficile de destituer quelqu'un qui n'a rien fait de mal et qui a créé la plus grande économie de l'histoire de notre pays», a-t-il poursuivi. «Je ne suis pas inquiet. Je pense que les gens se révolteraient si cela venait à arriver.»
Alors que les Démocrates ont estimé que Trump pourrait faire face à une procédure d'«impeachment» (destitution) si les transactions étaient jugées en violation avec les lois sur le financement des campagnes électorales, Trump a répondu que ces paiements ne constituaient pas «une donation de campagne» et qu'il comptait sur M.Cohen qui devait «savoir quoi faire».
«Michael Cohen est un avocat. Il est supposé savoir ce qu'il faut faire», a dit le Président américain
Il a également ajouté que «si c'est le cas, c'est seulement du civil, et même dans ce cas-là nous n'avons pas commis de violation».
Michael Cohen avait déjà plaidé coupable d'avoir violé les lois sur le financement de campagne. Il a admis qu'il était un médiateur dans les paiements que Trump avait effectués en faveur de l'actrice de films X Stormy Daniels (de son vrai nom Steffani Clifford) pour acheter son silence. En outre, M.Cohen a plaidé coupable d'évasion fiscale. La semaine prochaine, une condamnation serait prononcée à l'encontre de M.Cohen à New York."
La suite sur : https://fr.sputniknews.com/international/201812121039272119-trump-destitution-cohen-usa-president/
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Trump crée le commandement des Forces spatiales américaines
par Ligeia Mar 18 Déc - 21:01
"Donald Trump a ordonné mardi la création du commandement militaire pour l’espace (Space command), nouvelle structure au sein du Pentagone, qui contrôlera les opérations spatiales militaires.
L'ordre de créer le commandement militaire de l'espace a été donné aujourd'hui par le Président américain.
«J'ordonne la création, conformément à la législation des États-Unis, d'un commandement américain de l'espace», a indiqué Donald Trump dans un message adressé au Secrétaire à la Défense Jim Mattis et diffusé par la Maison-Blanche.
Le Président a aussi ordonné au Pentagone de recommander la nomination d'un officier de haut rang pour superviser ce nouveau «Commandement militaire de l'espace », qui sera chargé de superviser toutes les activités militaires spatiales du pays. Cette nomination devra être confirmée par le Congrès, selon l'AFP."
Source : https://fr.sputniknews.com/international/201812181039354486-donald-trump-commandement-force-spatiale-usa/
(merci à Témoin pour son illustration ! ^^)
L'ordre de créer le commandement militaire de l'espace a été donné aujourd'hui par le Président américain.
«J'ordonne la création, conformément à la législation des États-Unis, d'un commandement américain de l'espace», a indiqué Donald Trump dans un message adressé au Secrétaire à la Défense Jim Mattis et diffusé par la Maison-Blanche.
Le Président a aussi ordonné au Pentagone de recommander la nomination d'un officier de haut rang pour superviser ce nouveau «Commandement militaire de l'espace », qui sera chargé de superviser toutes les activités militaires spatiales du pays. Cette nomination devra être confirmée par le Congrès, selon l'AFP."
Source : https://fr.sputniknews.com/international/201812181039354486-donald-trump-commandement-force-spatiale-usa/
(merci à Témoin pour son illustration ! ^^)
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par ToOtof Jeu 20 Déc - 19:15
La Chine met en garde Trump contre "l'armement" de l'espace
La Chine s'est déclarée mercredi opposée à "l'armement" de l'espace, après l'annonce la veille par Donald Trump de la création d'un commandement militaire américain pour l'espace, destiné à y assurer la suprématie des États-Unis.
L'initiative prise mardi par le président américain apparaît comme un pas vers la mise en place de la nouvelle branche de l'armée américaine qu'il veut créer -- la Force de l'espace.
"La Chine a toujours plaidé pour une utilisation pacifique de l'espace. Elle est opposée à l'armement de l'espace et à toute course aux armements dans l'espace", a déclaré Hua Chunying, une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
"Et nous sommes encore plus opposés à ce que l'espace devienne un nouveau champ de bataille", a-t-elle martelé lors d'une conférence de presse régulière.
Le vice-président américain Mike Pence a précisé que le nouveau commandement, qui devrait rapidement être connu sous le nom de Spacecom, serait le 11e commandement militaire du Pentagone. Il sera notamment chargé de superviser toutes les activités militaires spatiales des États-Unis.
M. Trump avait annoncé en juin qu'il souhaitait créer une "Force de l'espace" qui deviendrait une sixième branche de l'armée américaine -- aux côtés de l'armée de Terre, l'US Navy, l'US Air Force, le corps des Marines et celui des garde-côtes.
Le président américain l'estime indispensable pour assurer la suprématie militaire de son pays dans l'espace, notamment face à la Chine et à la Russie. Mais le ministre de la Défense Jim Mattis a fait savoir qu'il la jugeait onéreuse et inutile.
En outre, le projet risque de se heurter à l'opposition du Congrès américain qui doit approuver son financement.
La Chine n'a officiellement pas l'ambition de placer des armements dans l'espace. Elle mène cependant de nombreux programmes spatiaux civils afin de rivaliser avec les États-Unis, la Russie, l'Union européenne, l'Inde ou le Japon.
Elle a par exemple lancé dans l'espace début décembre un module d'exploration qui devrait alunir sur la face cachée de la Lune autour du 1er janvier.
https://www.lorientlejour.com/article/1149100/la-chine-met-en-garde-trump-contre-larmement-de-lespace.html
La Chine s'est déclarée mercredi opposée à "l'armement" de l'espace, après l'annonce la veille par Donald Trump de la création d'un commandement militaire américain pour l'espace, destiné à y assurer la suprématie des États-Unis.
L'initiative prise mardi par le président américain apparaît comme un pas vers la mise en place de la nouvelle branche de l'armée américaine qu'il veut créer -- la Force de l'espace.
"La Chine a toujours plaidé pour une utilisation pacifique de l'espace. Elle est opposée à l'armement de l'espace et à toute course aux armements dans l'espace", a déclaré Hua Chunying, une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
"Et nous sommes encore plus opposés à ce que l'espace devienne un nouveau champ de bataille", a-t-elle martelé lors d'une conférence de presse régulière.
Le vice-président américain Mike Pence a précisé que le nouveau commandement, qui devrait rapidement être connu sous le nom de Spacecom, serait le 11e commandement militaire du Pentagone. Il sera notamment chargé de superviser toutes les activités militaires spatiales des États-Unis.
M. Trump avait annoncé en juin qu'il souhaitait créer une "Force de l'espace" qui deviendrait une sixième branche de l'armée américaine -- aux côtés de l'armée de Terre, l'US Navy, l'US Air Force, le corps des Marines et celui des garde-côtes.
Le président américain l'estime indispensable pour assurer la suprématie militaire de son pays dans l'espace, notamment face à la Chine et à la Russie. Mais le ministre de la Défense Jim Mattis a fait savoir qu'il la jugeait onéreuse et inutile.
En outre, le projet risque de se heurter à l'opposition du Congrès américain qui doit approuver son financement.
La Chine n'a officiellement pas l'ambition de placer des armements dans l'espace. Elle mène cependant de nombreux programmes spatiaux civils afin de rivaliser avec les États-Unis, la Russie, l'Union européenne, l'Inde ou le Japon.
Elle a par exemple lancé dans l'espace début décembre un module d'exploration qui devrait alunir sur la face cachée de la Lune autour du 1er janvier.
https://www.lorientlejour.com/article/1149100/la-chine-met-en-garde-trump-contre-larmement-de-lespace.html
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Tensions Corée du Nord / Etats-Unis
par ToOtof Jeu 20 Déc - 19:35
Les tensions militaires entre le Corée du Nord et les Etats-Unis pourraient resurgir en 2019: rapport
Les tensions militaires entre la Corée du Nord et les Etats-Unis pourraient augmenter temporairement si l'impasse des négociations sur la dénucléarisation se poursuivait jusqu'en août prochain, selon un rapport d'un groupe de réflexion publié mercredi.
Le président américain Donald Trump pourrait reprendre les exercices militaires conjoints entre la Corée du Sud et les États-Unis si les pourparlers sur la dénucléarisation se bloquaient au premier semestre de l'année prochaine, ce qui pourrait amener Pyongyang à effectuer un test de missile à longue portée, selon la recherche du Asan Institute for Policy Studies intitulée "Le choix de la Corée."
"Les Etats-Unis risquent fort de retarder les exercices de Key Resolve prévus en mars, en dépit de l'impasse des négociations sur la dénucléarisation, car la dynamique actuelle du dialogue avec le Nord fonctionne en faveur de Trump", a écrit Shin Beom-chul, haut responsable. à AIPS.
Trump a suspendu les exercices militaires conjoints des alliés en guise de geste de bonne volonté à la suite de son sommet du 12 juin à Singapour avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, qui avait promis de travailler à la «dénucléarisation complète» en échange de garanties de sécurité fournies par les États-Unis.
Mais si l'impasse actuelle se poursuit jusqu'en juin ou en juillet de l'année prochaine, a déclaré Shin, Trump pourrait reprendre Ulchi Freedom Guardian, un exercice militaire annuel à grande échelle entre la Corée du Sud et les États-Unis tenu en août.
"(La reprise) sera une bonne occasion pour la Corée du Nord de prouver si elle a maîtrisé la technologie de rentrée de missile grâce à un test de missile à longue portée (pour obtenir un effet de levier dans les négociations avec les États-Unis)", a-t-il déclaré. perspectives des affaires pour 2019.
Selon le rapport, on devrait s'attendre à ce que l'impasse entre Pyongyang et Washington se poursuive l'année prochaine, sans rupture du dialogue ni progrès significatif dans les négociations sur la dénucléarisation.
Une telle impasse prolongée pourrait forcer Séoul dans un "moment de choix", dans la mesure où elle pourrait faire l’objet de pressions pour prendre parti entre Washington et Pyongyang, a ajouté le journal.
La Corée du Nord demandera probablement à la Corée du Sud d'accélérer sa coopération intercoréenne et d'exiger des sanctions de la part des États-Unis, tandis que les États-Unis devraient renforcer les sanctions à l'encontre de la Corée du Nord et pousser la Corée du Sud à rejoindre sa campagne de pression et à contrôler le rythme de la course intercoréenne développements, selon le rapport.
Les négociations en cours entre la Corée du Sud et les États-Unis sur l'accord de mesures spéciales, qui stipule comment les alliés doivent partager les coûts du stationnement de 28 000 soldats américains en Corée du Sud, pourraient davantage mettre à l'épreuve l'alliance.
"Si les négociations en cours ne sont pas terminées d'ici mars ou avril, nous ne pouvons pas exclure la possibilité d'une réduction partielle des troupes américaines en Corée du Sud", a déclaré James Kim, directeur de l'AIPS à Washington.
«La possibilité est faible, mais le président Trump en a parlé et c'est une question importante pour sa base de soutien. En outre, si un retrait partiel des troupes pouvait servir de monnaie d'échange lors des négociations avec la Corée du Nord, il pourrait faire d'une pierre deux coups. »
La Corée du Sud et les États-Unis cherchaient à conclure un accord cette année, mais n'ont pas abouti à la date prévue. Séoul doit payer un écart considérable par rapport au montant total. Trump aurait demandé à la Corée du Sud de payer le double du montant actuel - environ 960 milliards de wons (849 millions de dollars) - par an.
Dans le contexte d'une concurrence stratégique persistante entre les Etats-Unis et la Chine pour une influence en Asie du Nord-Est, les deux superpuissances pourraient également utiliser le problème nucléaire nord-coréen pour se renforcer mutuellement dans leurs négociations, selon le rapport.
http://m.koreaherald.com/view.php?ud=20181219000629#cb
Les tensions militaires entre la Corée du Nord et les Etats-Unis pourraient augmenter temporairement si l'impasse des négociations sur la dénucléarisation se poursuivait jusqu'en août prochain, selon un rapport d'un groupe de réflexion publié mercredi.
Le président américain Donald Trump pourrait reprendre les exercices militaires conjoints entre la Corée du Sud et les États-Unis si les pourparlers sur la dénucléarisation se bloquaient au premier semestre de l'année prochaine, ce qui pourrait amener Pyongyang à effectuer un test de missile à longue portée, selon la recherche du Asan Institute for Policy Studies intitulée "Le choix de la Corée."
"Les Etats-Unis risquent fort de retarder les exercices de Key Resolve prévus en mars, en dépit de l'impasse des négociations sur la dénucléarisation, car la dynamique actuelle du dialogue avec le Nord fonctionne en faveur de Trump", a écrit Shin Beom-chul, haut responsable. à AIPS.
Trump a suspendu les exercices militaires conjoints des alliés en guise de geste de bonne volonté à la suite de son sommet du 12 juin à Singapour avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, qui avait promis de travailler à la «dénucléarisation complète» en échange de garanties de sécurité fournies par les États-Unis.
Mais si l'impasse actuelle se poursuit jusqu'en juin ou en juillet de l'année prochaine, a déclaré Shin, Trump pourrait reprendre Ulchi Freedom Guardian, un exercice militaire annuel à grande échelle entre la Corée du Sud et les États-Unis tenu en août.
"(La reprise) sera une bonne occasion pour la Corée du Nord de prouver si elle a maîtrisé la technologie de rentrée de missile grâce à un test de missile à longue portée (pour obtenir un effet de levier dans les négociations avec les États-Unis)", a-t-il déclaré. perspectives des affaires pour 2019.
Selon le rapport, on devrait s'attendre à ce que l'impasse entre Pyongyang et Washington se poursuive l'année prochaine, sans rupture du dialogue ni progrès significatif dans les négociations sur la dénucléarisation.
Une telle impasse prolongée pourrait forcer Séoul dans un "moment de choix", dans la mesure où elle pourrait faire l’objet de pressions pour prendre parti entre Washington et Pyongyang, a ajouté le journal.
La Corée du Nord demandera probablement à la Corée du Sud d'accélérer sa coopération intercoréenne et d'exiger des sanctions de la part des États-Unis, tandis que les États-Unis devraient renforcer les sanctions à l'encontre de la Corée du Nord et pousser la Corée du Sud à rejoindre sa campagne de pression et à contrôler le rythme de la course intercoréenne développements, selon le rapport.
Les négociations en cours entre la Corée du Sud et les États-Unis sur l'accord de mesures spéciales, qui stipule comment les alliés doivent partager les coûts du stationnement de 28 000 soldats américains en Corée du Sud, pourraient davantage mettre à l'épreuve l'alliance.
"Si les négociations en cours ne sont pas terminées d'ici mars ou avril, nous ne pouvons pas exclure la possibilité d'une réduction partielle des troupes américaines en Corée du Sud", a déclaré James Kim, directeur de l'AIPS à Washington.
«La possibilité est faible, mais le président Trump en a parlé et c'est une question importante pour sa base de soutien. En outre, si un retrait partiel des troupes pouvait servir de monnaie d'échange lors des négociations avec la Corée du Nord, il pourrait faire d'une pierre deux coups. »
La Corée du Sud et les États-Unis cherchaient à conclure un accord cette année, mais n'ont pas abouti à la date prévue. Séoul doit payer un écart considérable par rapport au montant total. Trump aurait demandé à la Corée du Sud de payer le double du montant actuel - environ 960 milliards de wons (849 millions de dollars) - par an.
Dans le contexte d'une concurrence stratégique persistante entre les Etats-Unis et la Chine pour une influence en Asie du Nord-Est, les deux superpuissances pourraient également utiliser le problème nucléaire nord-coréen pour se renforcer mutuellement dans leurs négociations, selon le rapport.
http://m.koreaherald.com/view.php?ud=20181219000629#cb
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Re: Spécial USA
par Ligeia Jeu 20 Déc - 20:17
Merci ! 
En même temps si la Chine postule pour être la première à explorer la face cachée de la lune c'est peut-être pas pour rien....
Voir ici aussi : https://lagrandeparodie.forumactif.com/t314-la-chine-sur-la-face-cachee-de-la-lune
Edit :
Ça m'a rappelé cette info aussi.... Ils veulent tous un refuge dans l'espace ?
"Le 22 septembre dernier, l’entreprise japonaise Obayashi Corp a envoyé en orbite le premier dispositif de test d’ascenseur spatial. Une première mondiale.
Le dispositif STARS-Me, destiné à tester la viabilité d’un ascenseur reliant la Terre à l’espace, est arrivé à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) d’où il doit être déployé. Une mission importante pour la firme japonaise qui, depuis 2012, ne cache pas son ambition de se lancer dans le tourisme spatial."
https://www.nationalgeographic.fr/espace/2018/09/le-japon-mis-en-orbite-le-premier-ascenseur-de-lespace
En même temps si la Chine postule pour être la première à explorer la face cachée de la lune c'est peut-être pas pour rien....
Voir ici aussi : https://lagrandeparodie.forumactif.com/t314-la-chine-sur-la-face-cachee-de-la-lune
Edit :
Ça m'a rappelé cette info aussi.... Ils veulent tous un refuge dans l'espace ?
"Le 22 septembre dernier, l’entreprise japonaise Obayashi Corp a envoyé en orbite le premier dispositif de test d’ascenseur spatial. Une première mondiale.
Le dispositif STARS-Me, destiné à tester la viabilité d’un ascenseur reliant la Terre à l’espace, est arrivé à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS) d’où il doit être déployé. Une mission importante pour la firme japonaise qui, depuis 2012, ne cache pas son ambition de se lancer dans le tourisme spatial."
https://www.nationalgeographic.fr/espace/2018/09/le-japon-mis-en-orbite-le-premier-ascenseur-de-lespace
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Dim 6 Jan - 10:27
Un aspect passé sous silence du "deal du siècle" :
"Avant l’accord de paix de Trump, Israël a évalué le montant des biens juifs volés dans les pays arabes :
« Pour la 1ere fois, Israel a présenté une estimation officielle de la valeur des biens juifs volés dans ces deux pays arabes : la Tunisie et la Libye.
Une enquête estime le montant est supérieur à 50 milliards de dollars.
Au cours des 18 derniers mois, un examen secret de la valeur des biens juifs perdus a été mené au Maroc, en Iraq, en Syrie, en Egypte, en Iran, au Yémen. On estime que le montant total dans tous les pays s’élèvera à plus de 250 milliards de dollars.
L’estimation a été faite dans le cadre des préparatifs du plan de paix américain et de l’intention d’Israël de demander une indemnisation pour les biens juifs laissés dans les pays arabes.
Le ministre Gamliel a déclaré aux médias :
« le temps est venu de corriger l’injustice historique des pogroms dans les pays arabes et en Iran et de faire revenir les centaines de milliers de biens qu’ont perdu les Juifs dans ces pays... Vous ne pouvez pas parler du Moyen-Orient sans prendre en compte les droits des Juifs forcés de quitter leurs communautés – Et reconnaître tous les crimes commis contre les communautés juives.». "
Source : https://infos-israel.news/avant-laccord-de-paix-de-trump-israel-a-evalue-le-montant-des-biens-juifs-voles-dans-les-pays-arabes/
"Avant l’accord de paix de Trump, Israël a évalué le montant des biens juifs volés dans les pays arabes :
« Pour la 1ere fois, Israel a présenté une estimation officielle de la valeur des biens juifs volés dans ces deux pays arabes : la Tunisie et la Libye.
Une enquête estime le montant est supérieur à 50 milliards de dollars.
Au cours des 18 derniers mois, un examen secret de la valeur des biens juifs perdus a été mené au Maroc, en Iraq, en Syrie, en Egypte, en Iran, au Yémen. On estime que le montant total dans tous les pays s’élèvera à plus de 250 milliards de dollars.
L’estimation a été faite dans le cadre des préparatifs du plan de paix américain et de l’intention d’Israël de demander une indemnisation pour les biens juifs laissés dans les pays arabes.
Le ministre Gamliel a déclaré aux médias :
« le temps est venu de corriger l’injustice historique des pogroms dans les pays arabes et en Iran et de faire revenir les centaines de milliers de biens qu’ont perdu les Juifs dans ces pays... Vous ne pouvez pas parler du Moyen-Orient sans prendre en compte les droits des Juifs forcés de quitter leurs communautés – Et reconnaître tous les crimes commis contre les communautés juives.». "
Source : https://infos-israel.news/avant-laccord-de-paix-de-trump-israel-a-evalue-le-montant-des-biens-juifs-voles-dans-les-pays-arabes/
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
La Corée du Nord ne donnera jamais son arsenal nucléaire déclare un ancien du renseignement Us !
par ToOtof Dim 6 Jan - 20:43
La Corée du Nord ne donnera jamais son arsenal nucléaire déclare un ancien du renseignement Us !
WASHINGTON, 4 janvier (Yonhap) - La Corée du Nord n'abandonnera jamais son arsenal nucléaire et cherche à être reconnue comme une puissance nucléaire tout en manipulant le président américain Donald Trump, a déclaré vendredi l'ancien directeur du renseignement américain, James Clapper.
Dans son discours du Nouvel An, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a déclaré qu'il s'était engagé à mener à bien la dénucléarisation et à se rendre à tout moment à la rencontre de Trump pour un deuxième sommet.
Trump a déclaré aux journalistes mercredi qu'il se réjouissait de la rencontre, qui se tiendra dans un "avenir pas trop éloigné".
"Kim Jong-un est ici dans le siège du conducteur", a déclaré Clapper à CNN. "Il a compris comment faire appel au président Trump, principalement par le biais de l'ego, en lui écrivant une lettre d'amour occasionnelle et en acceptant les sommets de la séance de photos.
"Et dans l'intervalle, de facto - chaque jour passe, la Corée du Nord est une puissance nucléaire et c'est ce qu'ils veulent être reconnus", a ajouté l'ancien chef des services de renseignement américains.
"Et je pense que cela a beaucoup à voir avec le comportement tempéré de ces derniers temps, ce qui est une bonne chose."
La Corée du Nord n’a testé aucune arme nucléaire ni aucun missile balistique l’année dernière alors que Kim a tenu une série de sommets historiques avec Trump - à Singapour en juin - et avec le président sud-coréen Moon Jae-in et le président chinois Xi Jinping.
Lors du sommet de Singapour, Trump et Kim ont convenu de "travailler à" la dénucléarisation complète de la péninsule coréenne en échange de garanties de sécurité de la part des États-Unis.
Peu de progrès tangibles ont été réalisés dans la mise en œuvre de l'accord.
Selon Clapper, un deuxième sommet ne servira "probablement à rien", mais il pourrait "renforcer dans l'esprit du président qu'il s'entend bien avec Kim Jong-un, ce qui rend difficile, je pense, d'être très strict avec et coercitif avec les Nord-Coréens ".
"Ils n'ont rien fait pour la dénucléarisation et c'est ce que je crois - une croyance ancienne - ils ne le feront jamais", a-t-il déclaré. "Et pourquoi devraient-ils se dénucléariser et abandonner tout l’effet de levier qu’ils ont - le peu qu’ils ont?"
https://en.yna.co.kr/view/AEN20190105000300315?input=tw
WASHINGTON, 4 janvier (Yonhap) - La Corée du Nord n'abandonnera jamais son arsenal nucléaire et cherche à être reconnue comme une puissance nucléaire tout en manipulant le président américain Donald Trump, a déclaré vendredi l'ancien directeur du renseignement américain, James Clapper.
Dans son discours du Nouvel An, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a déclaré qu'il s'était engagé à mener à bien la dénucléarisation et à se rendre à tout moment à la rencontre de Trump pour un deuxième sommet.
Trump a déclaré aux journalistes mercredi qu'il se réjouissait de la rencontre, qui se tiendra dans un "avenir pas trop éloigné".
"Kim Jong-un est ici dans le siège du conducteur", a déclaré Clapper à CNN. "Il a compris comment faire appel au président Trump, principalement par le biais de l'ego, en lui écrivant une lettre d'amour occasionnelle et en acceptant les sommets de la séance de photos.
"Et dans l'intervalle, de facto - chaque jour passe, la Corée du Nord est une puissance nucléaire et c'est ce qu'ils veulent être reconnus", a ajouté l'ancien chef des services de renseignement américains.
"Et je pense que cela a beaucoup à voir avec le comportement tempéré de ces derniers temps, ce qui est une bonne chose."
La Corée du Nord n’a testé aucune arme nucléaire ni aucun missile balistique l’année dernière alors que Kim a tenu une série de sommets historiques avec Trump - à Singapour en juin - et avec le président sud-coréen Moon Jae-in et le président chinois Xi Jinping.
Lors du sommet de Singapour, Trump et Kim ont convenu de "travailler à" la dénucléarisation complète de la péninsule coréenne en échange de garanties de sécurité de la part des États-Unis.
Peu de progrès tangibles ont été réalisés dans la mise en œuvre de l'accord.
Selon Clapper, un deuxième sommet ne servira "probablement à rien", mais il pourrait "renforcer dans l'esprit du président qu'il s'entend bien avec Kim Jong-un, ce qui rend difficile, je pense, d'être très strict avec et coercitif avec les Nord-Coréens ".
"Ils n'ont rien fait pour la dénucléarisation et c'est ce que je crois - une croyance ancienne - ils ne le feront jamais", a-t-il déclaré. "Et pourquoi devraient-ils se dénucléariser et abandonner tout l’effet de levier qu’ils ont - le peu qu’ils ont?"
https://en.yna.co.kr/view/AEN20190105000300315?input=tw
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Re: Spécial USA
par ToOtof Lun 7 Jan - 8:53
Comment les Etats-Unis attaqueraient la Corée du Nord?
Bienvenue dans la troisième guerre mondiale.
Comment les Etats-Unis attaqueraient la Corée du Nord
Aucun autre pays ne peut rivaliser avec les États-Unis en matière de projection de puissance. Si Washington décidait de lancer une frappe militaire, même limitée, contre la Corée du Nord, les conséquences immédiates seraient dévastatrices pour Pyongyang. Toutefois, lorsqu’on envisage une action militaire, il est important de reconnaître les variables et les lacunes en matière de renseignement qui compliquent inévitablement la prise de décision politique et militaire. Même avec l'avantage des États-Unis en matière de formation, de coordination et d'équipement, les facteurs compliqués et l'incertitude quant à l'emplacement exact et à la cession des actifs nord-coréens font que la réussite de la mission est loin d'être assurée.
Il est important de prendre en compte les paramètres de toute opération. dans ce cas, nous basons nos hypothèses sur un scénario dans lequel les États-Unis mènent une attaque furtive limitée en utilisant un petit nombre de plates-formes et de systèmes d'armes spécialisés. Les États-Unis disposent d’énormes capacités de projection de force et de frappe en profondeur. Dans un scénario d’attaque surprise, les principaux outils de cette tâche seraient les avions furtifs et les missiles de croisière lancés à partir de navires et de sous-marins.
Les Nord-Coréens ont un réseau de défense aérienne dense et interconnecté, mais cette force est obsolète et en grande partie incapable de se défendre adéquatement ou même de détecter les avions furtifs à spectre complet tels que le bombardier américain B-2 et le chasseur tactique F-22.. En raison de leurs propriétés uniques, ces plates-formes chères et furtives constitueraient l’épine dorsale de toute opération anti-nucléaire. Avec suffisamment de temps, les États-Unis pourraient rassembler plus de 10 bombardiers B-2 pour une mission de frappe profonde en Corée du Nord. Le rayon de combat plus court du F-22 limiterait le nombre d’aéronefs disponibles pour cette tâche, ce qui nécessiterait le déploiement du chasseur sur des aérodromes régionaux. Cela pourrait à son tour alerter Pyongyang des opérations offensives à venir. Utilisant des aérodromes situés au Japon et en Corée du Sud et opérant dans un environnement de sécurité opérationnelle extrêmement restrictif, l’US Air Force pourrait probablement déployer 24 avions F-22 pour la mission, tout en restant assez confiant que des soupçons indus n’aient pas été soulevés au cours du processus.
Chaque F-22 peut être équipé de deux bombes JDAM GBU-32 GBU-32 de 450 kilogrammes (1 000 livres). Le F-22 peut en réalité transporter un plus grand nombre de bombes de petit diamètre au lieu de la plus grosse GBU-32, mais la nature de la mission appelle un poids plus explosif. Contrairement au F-22 polyvalent, le B-2 Spirit est un bombardier désigné et peut transporter un poids beaucoup plus explosif par avion. Chaque B-2 se déploierait avec 16 JDAM GBU-31 de 900 kilogrammes ou une paire d'énormes pénétrateurs de munitions GBU-57 de 13 600 kilogrammes pour atteindre de profonds soutes souterrains.
Le kit JDAM (Joint Direct Attack Munition) transforme des bombes non guidées pesant jusqu'à 900 kilogrammes en munitions intelligentes. Un système de guidage inertiel utilise le GPS à des fins de ciblage, tandis qu'une section de queue contrôle le vol.
En plus des bombes guidées larguées par les avions furtifs américains, les États-Unis peuvent s’appuyer sur un grand nombre de vénérables missiles de croisière BGM-109 Tomahawk pour voler sur les talons des avions furtifs et frapper les cibles restantes. Pour la mission, l'US Navy (avec suffisamment de temps pour se préparer) peut stationner subrepticement deux de ses quatre sous-marins de missile de croisière de classe Ohio au large de la côte nord-coréenne. Ensemble, ces sous-marins peuvent déployer plus de 300 missiles BGM-109. Combinés aux destroyers et aux croiseurs de la 7e flotte déjà présents dans la région, les États-Unis pourraient utiliser plus de 600 missiles de croisière pour cette mission.
La grève
Avec une force de 10 pénétrateurs de munitions de masse et de 80 JDAM GBU-31 de 900 kilogrammes, les bombardiers américains B-2 suffisent amplement à démanteler ou au moins endommager gravement l'infrastructure de production nucléaire connue de la Corée du Nord, ainsi que le stockage d'armes nucléaires associé. des sites.
L'efficacité de la première vague B-2 permettrait aux 24 chasseurs F-22 - et à la vague de quelque 600 missiles de croisière se partageant le ciel - de se concentrer sur la destruction des véhicules de livraison de la Corée du Nord. Un seul coup réussi provenant d'un missile de croisière ou d'un missile de croisière est suffisant pour assommer la branche naissante de la triade défensive nord-coréenne. Le martèlement des bases aériennes d'Uiju et de Changjin-up, où sont basés les bombardiers nord-coréens H-5, réduirait encore plus la force de livraison aérienne la plus probable de Pyongyang pour une arme nucléaire.
L’objectif le plus difficile à éliminer en matière de véhicules de livraison est la force des missiles. La Corée du Nord possède une flotte d'environ 200 lanceurs-monteurs de transporteurs (TEL) de tailles et de types variés, répartis dans tout le pays. Le portrait du renseignement devrait donc être très précis. Avec suffisamment d'informations, toutefois, les États-Unis disposent toujours d'une puissance de feu plus que suffisante en une seule frappe pour réduire considérablement les stocks de TEL en Corée du Nord.
Complications
Dans un monde d'intelligence parfaite, les États-Unis disposent des outils nécessaires pour démanteler le programme nucléaire nord-coréen, ainsi que les composants associés, en une seule et massive frappe surprise.
Deux énormes inconnues empêchent toutefois une évaluation vraiment exacte de la probabilité d’une grève. Premièrement, nous n’avons tout simplement pas une image complète et précise du programme nucléaire nord-coréen, en particulier en ce qui concerne le nombre d’armes et de véhicules de livraison - nous ne savons pas avec certitude où ils se trouvent ni dans quelle mesure ils sont protégés. Deuxièmement, nous n'avons aucun moyen de savoir à quel point le renseignement américain est bon en ce qui concerne le programme nucléaire nord-coréen. Il est difficile de prévoir la probabilité d’une frappe américaine lorsque la décision de procéder à une attaque dépend fortement du degré de confiance que les États-Unis accordent à leurs renseignements.
Même avec une image de renseignement sévèrement restreinte, nous pouvons toujours faire des observations pertinentes. Le plus significatif est que, contrairement au programme nucléaire iranien, les Nord-Coréens dans cette évaluation sont déjà connus pour posséder des armes nucléaires ou du moins des dispositifs dotés d'une arme. La destruction de l'infrastructure nucléaire nord-coréenne est à peine suffisante pour éliminer la dissuasion. Par conséquent, bien que les États-Unis puissent être raisonnablement certains de leur capacité à détruire l' infrastructure nucléaire en une seule frappe, il faudrait un renseignement extrêmement précis, bien au-delà de ce qui est probable, pour que Washington soit raisonnablement certain d'avoir frappé et détruit toutes les armes et tous les véhicules de livraison disponibles. Plus le programme nord-coréen évolue longtemps, plus cela devient une réalité. De manière réaliste, en l'absence d'utilisation d'armes nucléaires ou de l'invasion et de l'occupation de la Corée du Nord, les États-Unis et leurs alliés sont déjà sur le point de ne pas pouvoir garantir l'élimination totale de la menace d'une attaque nucléaire nord-coréenne.
Note de l'éditeur
Ceci est la troisième tranche d'une série de cinq articles qui a été initialement publiée en mai 2016 et qui examinait les mesures qui pourraient être prises pour inhiber le programme d'armement nucléaire de la Corée du Nord . Le but de cette série n’est pas d’examiner la rhétorique politique ni les moyens de contrainte non invasifs, tels que les sanctions. Nous explorons plutôt les options militaires, même les plus reculées, ouvertes aux États-Unis et à leurs alliés, ainsi que la réponse attendue des représailles de Pyongyang. La quatrième partie peut être trouvée ici .
Dans le prochain épisode de cette série, nous explorerons la réaction anticipée de Pyongyang à une grève américaine.
Partie 1: Évaluer le danger nord-coréen
Partie 2: Dérogation d'un programme nucléaire par la force
Partie 3: Ce que les États-Unis utiliseraient pour frapper la Corée du Nord
Partie 4: Comment la Corée du Nord pourrait exercer des représailles
Partie 5: Le coût de l'intervention
Ce que les États-Unis utiliseraient pour frapper la Corée du Nord est republié avec l’autorisation de Stratfor Worldview , une entreprise de renseignement et de conseil géopolitique.
https://www.yahoo.com/news/united-states-attack-north-korea-070000534.html?.tsrc=fauxdal
Bienvenue dans la troisième guerre mondiale.
Comment les Etats-Unis attaqueraient la Corée du Nord
Aucun autre pays ne peut rivaliser avec les États-Unis en matière de projection de puissance. Si Washington décidait de lancer une frappe militaire, même limitée, contre la Corée du Nord, les conséquences immédiates seraient dévastatrices pour Pyongyang. Toutefois, lorsqu’on envisage une action militaire, il est important de reconnaître les variables et les lacunes en matière de renseignement qui compliquent inévitablement la prise de décision politique et militaire. Même avec l'avantage des États-Unis en matière de formation, de coordination et d'équipement, les facteurs compliqués et l'incertitude quant à l'emplacement exact et à la cession des actifs nord-coréens font que la réussite de la mission est loin d'être assurée.
Il est important de prendre en compte les paramètres de toute opération. dans ce cas, nous basons nos hypothèses sur un scénario dans lequel les États-Unis mènent une attaque furtive limitée en utilisant un petit nombre de plates-formes et de systèmes d'armes spécialisés. Les États-Unis disposent d’énormes capacités de projection de force et de frappe en profondeur. Dans un scénario d’attaque surprise, les principaux outils de cette tâche seraient les avions furtifs et les missiles de croisière lancés à partir de navires et de sous-marins.
Les Nord-Coréens ont un réseau de défense aérienne dense et interconnecté, mais cette force est obsolète et en grande partie incapable de se défendre adéquatement ou même de détecter les avions furtifs à spectre complet tels que le bombardier américain B-2 et le chasseur tactique F-22.. En raison de leurs propriétés uniques, ces plates-formes chères et furtives constitueraient l’épine dorsale de toute opération anti-nucléaire. Avec suffisamment de temps, les États-Unis pourraient rassembler plus de 10 bombardiers B-2 pour une mission de frappe profonde en Corée du Nord. Le rayon de combat plus court du F-22 limiterait le nombre d’aéronefs disponibles pour cette tâche, ce qui nécessiterait le déploiement du chasseur sur des aérodromes régionaux. Cela pourrait à son tour alerter Pyongyang des opérations offensives à venir. Utilisant des aérodromes situés au Japon et en Corée du Sud et opérant dans un environnement de sécurité opérationnelle extrêmement restrictif, l’US Air Force pourrait probablement déployer 24 avions F-22 pour la mission, tout en restant assez confiant que des soupçons indus n’aient pas été soulevés au cours du processus.
Chaque F-22 peut être équipé de deux bombes JDAM GBU-32 GBU-32 de 450 kilogrammes (1 000 livres). Le F-22 peut en réalité transporter un plus grand nombre de bombes de petit diamètre au lieu de la plus grosse GBU-32, mais la nature de la mission appelle un poids plus explosif. Contrairement au F-22 polyvalent, le B-2 Spirit est un bombardier désigné et peut transporter un poids beaucoup plus explosif par avion. Chaque B-2 se déploierait avec 16 JDAM GBU-31 de 900 kilogrammes ou une paire d'énormes pénétrateurs de munitions GBU-57 de 13 600 kilogrammes pour atteindre de profonds soutes souterrains.
Le kit JDAM (Joint Direct Attack Munition) transforme des bombes non guidées pesant jusqu'à 900 kilogrammes en munitions intelligentes. Un système de guidage inertiel utilise le GPS à des fins de ciblage, tandis qu'une section de queue contrôle le vol.
En plus des bombes guidées larguées par les avions furtifs américains, les États-Unis peuvent s’appuyer sur un grand nombre de vénérables missiles de croisière BGM-109 Tomahawk pour voler sur les talons des avions furtifs et frapper les cibles restantes. Pour la mission, l'US Navy (avec suffisamment de temps pour se préparer) peut stationner subrepticement deux de ses quatre sous-marins de missile de croisière de classe Ohio au large de la côte nord-coréenne. Ensemble, ces sous-marins peuvent déployer plus de 300 missiles BGM-109. Combinés aux destroyers et aux croiseurs de la 7e flotte déjà présents dans la région, les États-Unis pourraient utiliser plus de 600 missiles de croisière pour cette mission.
La grève
Avec une force de 10 pénétrateurs de munitions de masse et de 80 JDAM GBU-31 de 900 kilogrammes, les bombardiers américains B-2 suffisent amplement à démanteler ou au moins endommager gravement l'infrastructure de production nucléaire connue de la Corée du Nord, ainsi que le stockage d'armes nucléaires associé. des sites.
L'efficacité de la première vague B-2 permettrait aux 24 chasseurs F-22 - et à la vague de quelque 600 missiles de croisière se partageant le ciel - de se concentrer sur la destruction des véhicules de livraison de la Corée du Nord. Un seul coup réussi provenant d'un missile de croisière ou d'un missile de croisière est suffisant pour assommer la branche naissante de la triade défensive nord-coréenne. Le martèlement des bases aériennes d'Uiju et de Changjin-up, où sont basés les bombardiers nord-coréens H-5, réduirait encore plus la force de livraison aérienne la plus probable de Pyongyang pour une arme nucléaire.
L’objectif le plus difficile à éliminer en matière de véhicules de livraison est la force des missiles. La Corée du Nord possède une flotte d'environ 200 lanceurs-monteurs de transporteurs (TEL) de tailles et de types variés, répartis dans tout le pays. Le portrait du renseignement devrait donc être très précis. Avec suffisamment d'informations, toutefois, les États-Unis disposent toujours d'une puissance de feu plus que suffisante en une seule frappe pour réduire considérablement les stocks de TEL en Corée du Nord.
Complications
Dans un monde d'intelligence parfaite, les États-Unis disposent des outils nécessaires pour démanteler le programme nucléaire nord-coréen, ainsi que les composants associés, en une seule et massive frappe surprise.
Deux énormes inconnues empêchent toutefois une évaluation vraiment exacte de la probabilité d’une grève. Premièrement, nous n’avons tout simplement pas une image complète et précise du programme nucléaire nord-coréen, en particulier en ce qui concerne le nombre d’armes et de véhicules de livraison - nous ne savons pas avec certitude où ils se trouvent ni dans quelle mesure ils sont protégés. Deuxièmement, nous n'avons aucun moyen de savoir à quel point le renseignement américain est bon en ce qui concerne le programme nucléaire nord-coréen. Il est difficile de prévoir la probabilité d’une frappe américaine lorsque la décision de procéder à une attaque dépend fortement du degré de confiance que les États-Unis accordent à leurs renseignements.
Même avec une image de renseignement sévèrement restreinte, nous pouvons toujours faire des observations pertinentes. Le plus significatif est que, contrairement au programme nucléaire iranien, les Nord-Coréens dans cette évaluation sont déjà connus pour posséder des armes nucléaires ou du moins des dispositifs dotés d'une arme. La destruction de l'infrastructure nucléaire nord-coréenne est à peine suffisante pour éliminer la dissuasion. Par conséquent, bien que les États-Unis puissent être raisonnablement certains de leur capacité à détruire l' infrastructure nucléaire en une seule frappe, il faudrait un renseignement extrêmement précis, bien au-delà de ce qui est probable, pour que Washington soit raisonnablement certain d'avoir frappé et détruit toutes les armes et tous les véhicules de livraison disponibles. Plus le programme nord-coréen évolue longtemps, plus cela devient une réalité. De manière réaliste, en l'absence d'utilisation d'armes nucléaires ou de l'invasion et de l'occupation de la Corée du Nord, les États-Unis et leurs alliés sont déjà sur le point de ne pas pouvoir garantir l'élimination totale de la menace d'une attaque nucléaire nord-coréenne.
Note de l'éditeur
Ceci est la troisième tranche d'une série de cinq articles qui a été initialement publiée en mai 2016 et qui examinait les mesures qui pourraient être prises pour inhiber le programme d'armement nucléaire de la Corée du Nord . Le but de cette série n’est pas d’examiner la rhétorique politique ni les moyens de contrainte non invasifs, tels que les sanctions. Nous explorons plutôt les options militaires, même les plus reculées, ouvertes aux États-Unis et à leurs alliés, ainsi que la réponse attendue des représailles de Pyongyang. La quatrième partie peut être trouvée ici .
Dans le prochain épisode de cette série, nous explorerons la réaction anticipée de Pyongyang à une grève américaine.
Partie 1: Évaluer le danger nord-coréen
Partie 2: Dérogation d'un programme nucléaire par la force
Partie 3: Ce que les États-Unis utiliseraient pour frapper la Corée du Nord
Partie 4: Comment la Corée du Nord pourrait exercer des représailles
Partie 5: Le coût de l'intervention
Ce que les États-Unis utiliseraient pour frapper la Corée du Nord est republié avec l’autorisation de Stratfor Worldview , une entreprise de renseignement et de conseil géopolitique.
https://www.yahoo.com/news/united-states-attack-north-korea-070000534.html?.tsrc=fauxdal
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Tensions Etats-Unis / Chine
par ToOtof Dim 13 Jan - 8:59
Un officier de la marine américaine en pourparlers en Chine pour apaiser les tensions
L'amiral John Richardson rencontrera son homologue chinois, le vice-amiral Shen Jinlong, dans le but de lutter contre l'escalade des frictions dans la mer de Chine méridionale
Sera-ce une rencontre des esprits? Dimanche, l'officier supérieur de la marine américaine se rendra en Chine alors que les tensions augmentent dans la mer de Chine méridionale.
Le chef des opérations navales, l'amiral John Richardson, rencontrera son homologue, le vice-amiral Shen Jinlong, ainsi que les dirigeants de la Commission militaire centrale de Chine lors de sa visite à Beijing et dans la ville de Nanjing, dans l'est du pays, selon la marine américaine.
La deuxième mission de Richardson en tant que chef des opérations est de «poursuivre un dialogue axé sur les résultats et axé sur la réduction des risques» entre les deux armées, a confirmé la US Navy dans un rapport de l'Associated Press .
"Un échange de vues de routine est essentiel, en particulier en période de friction, pour réduire les risques et éviter les erreurs de calcul", a déclaré M. Richardson dans son communiqué . «Un dialogue honnête et franc peut améliorer les relations de manière constructive, nous aider à explorer les domaines dans lesquels nous partageons des intérêts communs et à réduire les risques tout en résolvant nos différences.»
Richardson et Shen se sont déjà rencontrés. Ils ont tous deux participé au Symposium international Seapower de 2018 aux États-Unis et ont tenu trois discussions par vidéoconférence, a indiqué le communiqué.
La Chine a clairement indiqué qu'elle s'opposait à la présence navale américaine dans ce qu'elle considère être sa sphère d'influence.
Pékin considère cela comme une stratégie visant à contenir sa puissance économique et militaire croissante.
http://www.atimes.com/article/top-us-navy-officer-to-hold-talks-in-china-to-ease-tensions/
L'amiral John Richardson rencontrera son homologue chinois, le vice-amiral Shen Jinlong, dans le but de lutter contre l'escalade des frictions dans la mer de Chine méridionale
Sera-ce une rencontre des esprits? Dimanche, l'officier supérieur de la marine américaine se rendra en Chine alors que les tensions augmentent dans la mer de Chine méridionale.
Le chef des opérations navales, l'amiral John Richardson, rencontrera son homologue, le vice-amiral Shen Jinlong, ainsi que les dirigeants de la Commission militaire centrale de Chine lors de sa visite à Beijing et dans la ville de Nanjing, dans l'est du pays, selon la marine américaine.
La deuxième mission de Richardson en tant que chef des opérations est de «poursuivre un dialogue axé sur les résultats et axé sur la réduction des risques» entre les deux armées, a confirmé la US Navy dans un rapport de l'Associated Press .
"Un échange de vues de routine est essentiel, en particulier en période de friction, pour réduire les risques et éviter les erreurs de calcul", a déclaré M. Richardson dans son communiqué . «Un dialogue honnête et franc peut améliorer les relations de manière constructive, nous aider à explorer les domaines dans lesquels nous partageons des intérêts communs et à réduire les risques tout en résolvant nos différences.»
Richardson et Shen se sont déjà rencontrés. Ils ont tous deux participé au Symposium international Seapower de 2018 aux États-Unis et ont tenu trois discussions par vidéoconférence, a indiqué le communiqué.
La Chine a clairement indiqué qu'elle s'opposait à la présence navale américaine dans ce qu'elle considère être sa sphère d'influence.
Pékin considère cela comme une stratégie visant à contenir sa puissance économique et militaire croissante.
http://www.atimes.com/article/top-us-navy-officer-to-hold-talks-in-china-to-ease-tensions/
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Re: Spécial USA
par ToOtof Dim 13 Jan - 9:02
Le Président américain Donald Trump a proposé la tenue des pourparlers deuxième sommet avec le leader nord-coréen Kim Jong-un à la mi-février et a suggéré le Vietnam comme le lieu, un rapport à l'étranger a déclaré dimanche.
Lisez entièrement l’article: https://en.yna.co.kr/view/AEN20190113001100315
Lisez entièrement l’article: https://en.yna.co.kr/view/AEN20190113001100315
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Re: Spécial USA
par ToOtof Mer 16 Jan - 23:58
ToOtof a écrit:Prophétie du Shalom ?
Le ministre des Affaires étrangères, Kang Kyung-wha, a évoqué la fin de la guerre de Corée, l'établissement d'un canal de communication entre la Corée du Nord et les États-Unis, ainsi que l'aide humanitaire comme mesures possibles que Washington pourrait proposer à Pyongyang pour prendre des mesures de dénucléarisation.
"Différentes options sont en cours de discussion en tant que mesures correspondantes", a déclaré Kang aux journalistes lors d'un point de presse au ministère des Affaires étrangères, mercredi.
Toutefois, lors de la reprise des opérations au complexe industriel de Gaeseong (GIC) ou de visites du mont Geumgang, qui avaient attiré l’attention sur des mesures réciproques possibles, M. Kang a déclaré que celles-ci "n’étaient pas en cours d’examen".
Alors que le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a évoqué la question dans son discours du Nouvel An et que le président Moon Jae-in a répondu positivement, plusieurs sanctions du Conseil de sécurité des Nations Unies interdisent la réouverture du gouverneur en conseil.
Il y avait eu des spéculations qu'une réunion d'un groupe de travail entre des responsables sud-coréens et américains pourrait discuter de ces questions lors d'une réunion cette semaine, mais un responsable du ministère des Affaires étrangères a déclaré mardi qu'il n'y avait pas de tels plans.
"Cette fois, la vidéoconférence ne portera pas sur des pourparlers de dénucléarisation entre la Corée du Nord et les Etats-Unis", a-t-il déclaré. Les deux parties sont prêtes à discuter de l'aide humanitaire au nord, des réunions vidéo entre membres de familles séparées dans le sud et le nord, et le relèvement de la guerre reste.
http://m.koreatimes.co.kr/pages/article.asp?newsIdx=262166
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Re: Spécial USA
par Ligeia Jeu 17 Jan - 9:49
@ToOtof :
je ne peux pas vraiment étayer mais cette prédiction concerne plutôt les pays du Moyen Orient selon moi... Sans garantie !
je ne peux pas vraiment étayer mais cette prédiction concerne plutôt les pays du Moyen Orient selon moi... Sans garantie !
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par Ligeia Jeu 17 Jan - 9:51
Vu chez Ror (tweeter) :
"Le plan de paix de Trump propose un Etat palestinien sur 90% de la Cisjordanie :
JERUSALEM (Reuters) - Le plan de paix pour le Proche-Orient que Donald Trump s'apprête à proposer prévoit la création d'un Etat palestinien sur 90% de la Cisjordanie et sur une partie de Jérusalem-Est, rapporte mercredi la chaîne de télévision israélienne Reshet 13 TV.
La partie de Jérusalem qui serait dévolue à l'Etat palestinien ne comprendrait pas les lieux saints qu'abrite la ville.
Selon la chaîne de télévision, l'annexion de territoires actuellement occupés par des colonies israélienne est prévue dans ce plan. Il est toutefois prévu que certaines implantations soient évacuées.
Donald Trump a promis dans la foulée de son élection qu'il réglerait le problème israélo-palestinien, mais le plan de paix qu'il a évoqué à plusieurs reprises n'a jamais été détaillé par la Maison blanche.
Ses propositions risquent en tout état de cause de se heurter à l'hostilité des Palestiniens qui n'acceptent pas que le président américain ait décidé de transférer de Tel Aviv à Jérusalem l'ambassade des Etats-Unis.
L'hypothèse d'une division de Jérusalem en deux parties pourrait également recevoir un écho défavorable en Israël où la ville est qualifiée de capitale "éternelle et indivisible".
Le plan de paix évoqué par Reshet 13 TV n'évoque pas le sort des réfugiés palestiniens ni n'aborde le droit au retour que nombre d'entre eux entendent faire valoir.
Aucun responsable palestinien ou israélien n'a commenté les informations de Reshet 13 TV tandis qu'un responsable de la Maison blanche l'a qualifié "d'inexact"."
Source : https://www.challenges.fr/monde/le-plan-de-paix-de-trump-propose-un-etat-palestinien-sur-90-de-la-cisjordanie_636949
"Le plan de paix de Trump propose un Etat palestinien sur 90% de la Cisjordanie :
JERUSALEM (Reuters) - Le plan de paix pour le Proche-Orient que Donald Trump s'apprête à proposer prévoit la création d'un Etat palestinien sur 90% de la Cisjordanie et sur une partie de Jérusalem-Est, rapporte mercredi la chaîne de télévision israélienne Reshet 13 TV.
La partie de Jérusalem qui serait dévolue à l'Etat palestinien ne comprendrait pas les lieux saints qu'abrite la ville.
Selon la chaîne de télévision, l'annexion de territoires actuellement occupés par des colonies israélienne est prévue dans ce plan. Il est toutefois prévu que certaines implantations soient évacuées.
Donald Trump a promis dans la foulée de son élection qu'il réglerait le problème israélo-palestinien, mais le plan de paix qu'il a évoqué à plusieurs reprises n'a jamais été détaillé par la Maison blanche.
Ses propositions risquent en tout état de cause de se heurter à l'hostilité des Palestiniens qui n'acceptent pas que le président américain ait décidé de transférer de Tel Aviv à Jérusalem l'ambassade des Etats-Unis.
L'hypothèse d'une division de Jérusalem en deux parties pourrait également recevoir un écho défavorable en Israël où la ville est qualifiée de capitale "éternelle et indivisible".
Le plan de paix évoqué par Reshet 13 TV n'évoque pas le sort des réfugiés palestiniens ni n'aborde le droit au retour que nombre d'entre eux entendent faire valoir.
Aucun responsable palestinien ou israélien n'a commenté les informations de Reshet 13 TV tandis qu'un responsable de la Maison blanche l'a qualifié "d'inexact"."
Source : https://www.challenges.fr/monde/le-plan-de-paix-de-trump-propose-un-etat-palestinien-sur-90-de-la-cisjordanie_636949
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Jeu 24 Jan - 10:00
Précision : les élections auront lieu le 9 avril....
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Pompeo : les négociations de paix commenceront immédiatement après les élections
Le secrétaire d'Etat américain a déclaré qu'une fois les bases du plan de paix posées, "Israéliens et Palestiniens devront parvenir à un accord"
Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a déclaré mardi que les Etats-Unis « travailleront » sur le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens « immédiatement après les élections israéliennes ».
S’exprimant par vidéo-conférence au Forum économique mondial de Davos au sujet du plan de paix de l’administration Trump, Pompeo a déclaré que « nous travaillons dessus depuis un long moment. M. [Jared] Kushner et Jason Greenblatt ont pris les commandes du développement de notre programme. Nous avons commencé à en partager des éléments dans la région. Ce ne sera pas un processus géré par les Etats-Unis. Les Israéliens et les Palestiniens devront parvenir à un accord. Mais nous pensons que les bases que nous avons posées et le travail que nous ferons immédiatement après les élections israéliennes seront les conditions pour permettre des échanges constructifs. »
« Ce problème perturbe la région depuis des dizaines et des dizaines d’années. Il me semble que nous sommes arrivés à un point où il est possible de résoudre les différences primaires entre Israéliens et Palestiniens et de les encourager à se rapprocher dans ce but et afin de parvenir à une solution à ce conflit, qui tourmente le monde entier depuis bien trop longtemps », a-t-il ajouté."
Source : https://fr.timesofisrael.com/pompeo-les-negociations-de-paix-commenceront-immediatement-apres-les-elections/
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Pompeo : les négociations de paix commenceront immédiatement après les élections
Le secrétaire d'Etat américain a déclaré qu'une fois les bases du plan de paix posées, "Israéliens et Palestiniens devront parvenir à un accord"
Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a déclaré mardi que les Etats-Unis « travailleront » sur le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens « immédiatement après les élections israéliennes ».
S’exprimant par vidéo-conférence au Forum économique mondial de Davos au sujet du plan de paix de l’administration Trump, Pompeo a déclaré que « nous travaillons dessus depuis un long moment. M. [Jared] Kushner et Jason Greenblatt ont pris les commandes du développement de notre programme. Nous avons commencé à en partager des éléments dans la région. Ce ne sera pas un processus géré par les Etats-Unis. Les Israéliens et les Palestiniens devront parvenir à un accord. Mais nous pensons que les bases que nous avons posées et le travail que nous ferons immédiatement après les élections israéliennes seront les conditions pour permettre des échanges constructifs. »
« Ce problème perturbe la région depuis des dizaines et des dizaines d’années. Il me semble que nous sommes arrivés à un point où il est possible de résoudre les différences primaires entre Israéliens et Palestiniens et de les encourager à se rapprocher dans ce but et afin de parvenir à une solution à ce conflit, qui tourmente le monde entier depuis bien trop longtemps », a-t-il ajouté."
Source : https://fr.timesofisrael.com/pompeo-les-negociations-de-paix-commenceront-immediatement-apres-les-elections/
Ligeia- Admin
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Re: Spécial USA
par Ligeia Lun 28 Jan - 9:07
Cela ne 'étonnerait pas du tout ! 
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"Nasrallah : «Ben Salmane promeut l’accord du siècle contre 50 ans de trône»
Le secrétaire général du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a accusé le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane de chercher à «vendre» la soi-disant affaire du siècle pour assurer le soutien américain afin de rester sur le trône.
Hassan Nasrallah a indiqué, samedi dans une interview à la chaîne Mayadeen, que «personne ne peut dire que l’accord du siècle a pris fin», ajoutant que Mohammed Ben Salmane est la plus importante cheville ouvrière de ce sombre projet.
Le secrétaire général du Hezbollah a soutenu en outre que l’objectif de Ben Salmane «est de vendre l’affaire du siècle en contrepartie de 50 ans de pouvoir». Pour y parvenir, ajoute Hassan Nasrallah, Ben Salmane compte sur l’appui des Etats-Unis.
Le secrétaire général du Hezbollah a cependant indiqué que le prince héritier saoudien «ne peut plus rien faire pour l’affaire du siècle», expliquant qu’«il n’y a pas d’organisation palestinienne qui pourrait accepter l’accord».
Le président américain Donald Trump a annoncé dès son arrivée au pouvoir en 2017 que son Administration travaillait à mettre en œuvre une initiative appelée «siècle affaire» pour résoudre le conflit en cours depuis plus de 70 ans entre Palestiniens et Israéliens. Cette initiative qui prive les Palestiniens d’Al-Qods a été unanimement dénoncée au niveau international."
Source : https://www.algeriepatriotique.com/2019/01/27/nasrallah-ben-salmane-promeut-laccord-du-siecle-contre-50-ans-de-trone/
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"Nasrallah : «Ben Salmane promeut l’accord du siècle contre 50 ans de trône»
Le secrétaire général du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a accusé le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane de chercher à «vendre» la soi-disant affaire du siècle pour assurer le soutien américain afin de rester sur le trône.
Hassan Nasrallah a indiqué, samedi dans une interview à la chaîne Mayadeen, que «personne ne peut dire que l’accord du siècle a pris fin», ajoutant que Mohammed Ben Salmane est la plus importante cheville ouvrière de ce sombre projet.
Le secrétaire général du Hezbollah a soutenu en outre que l’objectif de Ben Salmane «est de vendre l’affaire du siècle en contrepartie de 50 ans de pouvoir». Pour y parvenir, ajoute Hassan Nasrallah, Ben Salmane compte sur l’appui des Etats-Unis.
Le secrétaire général du Hezbollah a cependant indiqué que le prince héritier saoudien «ne peut plus rien faire pour l’affaire du siècle», expliquant qu’«il n’y a pas d’organisation palestinienne qui pourrait accepter l’accord».
Le président américain Donald Trump a annoncé dès son arrivée au pouvoir en 2017 que son Administration travaillait à mettre en œuvre une initiative appelée «siècle affaire» pour résoudre le conflit en cours depuis plus de 70 ans entre Palestiniens et Israéliens. Cette initiative qui prive les Palestiniens d’Al-Qods a été unanimement dénoncée au niveau international."
Source : https://www.algeriepatriotique.com/2019/01/27/nasrallah-ben-salmane-promeut-laccord-du-siecle-contre-50-ans-de-trone/
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par ToOtof Mer 30 Jan - 11:42
La Corée du Nord renouvelle sa demande d'allégement des sanctions avant le deuxième sommet avec les États-Unis
Le principal journal de la Corée du Nord a appelé mercredi à un allégement des sanctions avant le deuxième sommet entre le dirigeant Kim Jong-un et le président américain Donald Trump, affirmant que les relations bilatérales ne peuvent pas s'améliorer sans des efforts de renforcement de la confiance.
"L'amélioration des relations et des sanctions ne peut aller de pair", a déclaré dans un commentaire le Rodong Sinmun, l'organe du parti au pouvoir au nord du pays.
Si l’amélioration des relations repose sur le respect et la confiance, on peut alors affirmer que l’hostilité et la confrontation sont à la base des sanctions ", at-il ajouté.
Le journal a blâmé l'adhésion de Washington à sa politique d'allégement des sanctions jusqu'à la dénucléarisation du Nord, qui a provoqué une impasse de presque six mois dans les négociations entre les deux pays, affirmant que les sanctions ne produiraient pas les résultats escomptés, quelle que soit la durée de leur séjour.
"Sans le soutien extérieur et l'aide de quiconque, notre pays peut aller de l'avant avec notre propre puissance et nos propres efforts", a déclaré le journal.
https://m-en.yna.co.kr/view/AEN20190130008200325
Le principal journal de la Corée du Nord a appelé mercredi à un allégement des sanctions avant le deuxième sommet entre le dirigeant Kim Jong-un et le président américain Donald Trump, affirmant que les relations bilatérales ne peuvent pas s'améliorer sans des efforts de renforcement de la confiance.
"L'amélioration des relations et des sanctions ne peut aller de pair", a déclaré dans un commentaire le Rodong Sinmun, l'organe du parti au pouvoir au nord du pays.
Si l’amélioration des relations repose sur le respect et la confiance, on peut alors affirmer que l’hostilité et la confrontation sont à la base des sanctions ", at-il ajouté.
Le journal a blâmé l'adhésion de Washington à sa politique d'allégement des sanctions jusqu'à la dénucléarisation du Nord, qui a provoqué une impasse de presque six mois dans les négociations entre les deux pays, affirmant que les sanctions ne produiraient pas les résultats escomptés, quelle que soit la durée de leur séjour.
"Sans le soutien extérieur et l'aide de quiconque, notre pays peut aller de l'avant avec notre propre puissance et nos propres efforts", a déclaré le journal.
https://m-en.yna.co.kr/view/AEN20190130008200325
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Re: Spécial USA
par ToOtof Mer 30 Jan - 11:48
Il est peu probable que la Corée du Nord abandonne toutes ses armes nucléaires: US intel chu3f
"Nous continuons d'évaluer qu'il est peu probable que la Corée du Nord renonce à toutes ses armes nucléaires et à ses capacités de production, alors même qu'elle cherche à négocier des
mesures de dénucléarisation partielles pour obtenir des concessions clés aux Etats-Unis et dans le monde", a déclaré Coats dans un rapport sur les menaces. aux États Unis .
"La Corée du Nord poursuivra ses efforts pour atténuer les effets de la campagne de pression menée par les Etats-Unis, notamment par un engagement diplomatique, une contre-pression contre le régime de sanctions et une évasion directe des sanctions", a déclaré Coats dans son rapport.
https://timesofindia.indiatimes.com/world/us/north-korea-unlikely-to-give-up-all-nuclear-weapons-us-intel-chief/articleshow/67744208.cms?
"Nous continuons d'évaluer qu'il est peu probable que la Corée du Nord renonce à toutes ses armes nucléaires et à ses capacités de production, alors même qu'elle cherche à négocier des
mesures de dénucléarisation partielles pour obtenir des concessions clés aux Etats-Unis et dans le monde", a déclaré Coats dans un rapport sur les menaces. aux États Unis .
"La Corée du Nord poursuivra ses efforts pour atténuer les effets de la campagne de pression menée par les Etats-Unis, notamment par un engagement diplomatique, une contre-pression contre le régime de sanctions et une évasion directe des sanctions", a déclaré Coats dans son rapport.
https://timesofindia.indiatimes.com/world/us/north-korea-unlikely-to-give-up-all-nuclear-weapons-us-intel-chief/articleshow/67744208.cms?
ToOtof- Date d'inscription : 24/10/2018
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
Re: Spécial USA
par LionBlanc Ven 1 Fév - 19:40
Le grand totem s'est effondré :
https://reseauinternational.net/apocalypse-pour-les-etats-unis-le-grand-totem-sest-effondre/
Sauf que l'on ne sait pas quelle info ils (Russie et Chine) détiennent exactement, au sujet de l'alunissage US.
https://reseauinternational.net/apocalypse-pour-les-etats-unis-le-grand-totem-sest-effondre/
Sauf que l'on ne sait pas quelle info ils (Russie et Chine) détiennent exactement, au sujet de l'alunissage US.
LionBlanc- Date d'inscription : 23/10/2018
Localisation : Pyrénées Orientales/Espagne
Re: Spécial USA
par Ligeia Ven 1 Fév - 20:23
Pas compris exactement non plus de quoi il s'agissait.... Me méfie un peu quand ils jouent sur le "suspense" car souvent c'est pour accoucher d'une souris !
A suivre.... et j'ai relayé sur Patreon... merci pour cette info !
A suivre.... et j'ai relayé sur Patreon... merci pour cette info !
Ligeia- Admin
- Date d'inscription : 20/10/2018
Localisation : Pays basque -
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