Spécial USA

Qui est le président des États-Unis ? Kamala Harris, et non Biden, s’entretient avec des dirigeants étrangers


"Pendant que Joe Biden joue à Mario Kart et se couche tôt, Kamala Harris s’entretient avec les dirigeants du monde entier, ce qui amène à se demander qui est vraiment le président des États-Unis en fait ?

Le New York Post rapporte que Harris s’est longuement entretenue avec le président français Emmanuel Macron cette semaine.
Le bureau de la vice présidente a publié une déclaration indiquant que les deux « se sont mis d’accord sur la nécessité d’une coopération bilatérale et multilatérale étroite pour aborder le Covid-19, le changement climatique, et soutenir la démocratie chez eux et dans le monde entier ».
(...)
Cela vient après que Harris a parlé avec le Premier ministre canadien Trudeau plus tôt dans le mois.
La secrétaire de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a également annoncé mardi qu’il est peu probable que Biden rencontre des dirigeants étrangers avant plusieurs mois.

Est-ce normal ? Le président ne parle pas aux dirigeants étrangers, mais la vice-présidente oui.

La réponse courte est non, ce n’est pas normal.

Le NY Post note que l’ancien vice-président Mike Pence “s’est parfois entretenu directement par téléphone avec des dirigeants étrangers, mais ce rôle a généralement été joué par l’ancien président Donald Trump, surtout l’année dernière”.

“Un examen des avis de presse de la dernière année de mandat de Pence ne révèle aucune lecture d’appels directs avec les dirigeants de nations étrangères”, ajoute le NY Post.

Donc, quand il réalise “où il est bon sang” ( https://twitter.com/DailyCaller/status/1361876589559099392 )  , que fait réellement Biden ?

 https://twitter.com/AndrewSolender/status/1360820677918543875


Source : https://www.aubedigitale.com/qui-est-le-president-des-etats-unis-kamala-harris-et-non-biden-sentretient-avec-des-dirigeants-etrangers/

Moment embarrassant : Le flux en direct de Joe Biden est COUPÉ par le personnel de la Maison Blanche juste après avoir proposé de répondre aux questions

"Le président américain Joe Biden a déclaré qu’il serait «heureux» de répondre aux questions en direct à la fin d’un événement virtuel, mais a été rapidement interrompu lorsque la Maison Blanche a abandonné inexplicablement le flux vidéo, laissant certains téléspectateurs perplexes.

«Je serais heureux de répondre aux questions si c’est ce que je suis censé faire, Nance. Tout ce que tu veux que je fasse, » a déclaré Biden au président de la Chambre Nancy Pelosi.  

https://news-24.fr/regarder-la-maison-blanche-coupe-brusquement-le-flux-en-direct-apres-que-biden-se-soit-dit-heureux-de-repondre-aux-questions-lors-dun-evenement-virtuel/


La vidéo ici :
https://twitter.com/TheFirstonTV/status/1367259255699562504

C'est beaucoup de fric et de dette.

Le Sénat américain approuve le plan de relance économique de Joe Biden

Le plan de relance du président américain Joe Biden a franchi, samedi, l'étape décisive du Sénat. Les parlementaires ont validé ce programme de 1 900 milliards de dollars destiné à aider financièrement les Américains, les États et les collectivités locales mais aussi à lutter contre la pandémie de Covid-19.

Son projet de 1 900 milliards de dollars serait le troisième plan d'aides exceptionnelles approuvé par le Congrès pendant la pandémie.

https://www.france24.com/fr/amériques/20210306-le-sénat-américain-approuve-le-plan-de-relance-économique-de-joe-biden

Ça ne s’arrange pas avec Biden. Mais c’est très pratique pour eux d’avoir un président « sénile », accumulant les gaffes aux yeux du monde... Les "preuves" à posteriori ne manqueront pas.
Un bon fusible susceptible de commettre les pires "erreurs" et d’être évincer ensuite sans que cela choque.


*****
Dans un moment embarrassant Biden oublie comment s’appelle le Pentagone et le nom du secrétaire à la défense


« La santé de Joe Biden semble se détériorer.

Après avoir fait une apparition en public la semaine dernière – à un moment donné en marmonnant “Qu’est-ce que je fais ici ?” tout en oubliant les noms des principaux démocrates, le président des États-Unis ne s’est pas souvenu lundi du nom du Pentagone, ni de celui de son propre secrétaire à la défense, Lloyd Austin – qui s’est exprimé quelques minutes auparavant.
C’est peut-être la raison pour laquelle les responsables de Biden ne le laissent pas répondre aux questions... (voir post un peu plus haut)

Lundi, le Washington Post a noté que la vice-présidente Kamala Harris joue un “rôle inhabituellement important” dans l’élaboration de la politique étrangère de M. Biden – elle s’est entretenue avec six dirigeants mondiaux indépendamment de M. Biden, et a participé “de manière très active aux délibérations sur la façon de répondre aux attaques des milices soutenues par l’Iran contre les forces américaines en Irak, ainsi que sur l’opportunité de sanctionner le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman pour le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi”, selon la Maison Blanche.

Bien sûr, Biden et Harris ont tous deux fait référence à l'”administration Harris” à plus d’une reprise lors des élections de 2020.

Fin février, des dizaines de démocrates de la Chambre des représentants ont demandé à M. Biden de renoncer à la seule autorisation d’utiliser des armes nucléaires, car “les militaires sont obligés d’exécuter l’ordre s’ils estiment qu’il est légal en vertu des lois de la guerre”.
Deux semaines plus tard, un groupe de sénateurs bipartisans a présenté un projet de loi qui priverait Biden de la possibilité de lancer des opérations militaires sans demander au préalable l’approbation du Congrès après que Biden a bombardé la Syrie.

L'ancien conseiller de Bill Clinton, Dick Morris, a prédit que les démocrates invoqueraient le 25e amendement sur Joe Biden : « Je pense que ces deux éléments indiquent que les démocrates ont dans le fond, et de plus en plus en tête, l’intention d’évincer Biden en vertu du 25e amendement. »


Sources :
https://www.aubedigitale.com/dans-un-moment-embarrassant-biden-oublie-comment-sappelle-le-pentagone-et-le-nom-du-secretaire-a-la-defense/

Et : https://www.oann.com/former-bill-clinton-adviser-says-democrats-moving-to-oust-biden/

Je pense que nous sommes beaucoup à avoir prévu qu'il n'irai pas loin. Bientôt sa deuxième injection..?

Je crois que cela prendra peut-être plutôt la forme d'une éviction/destitution pour cause de troubles mentaux. Il y a toujours l'histoire de cette loi que les démocrates avaient faite passer juste avant les élections...

Et encore...


"Pour la troisième fois en autant de jours, les responsables du président Biden ont brusquement paniqué à l’idée qu’il réponde à une question de la presse.

La débâcle d’aujourd’hui a lieu dans une quincaillerie de Washington, alors qu’un Biden avec deux masques fixe avec des yeux de poisson le propriétaire du magasin du regard pendant son introduction polie, puis se laisse distraire par les gens qui se trouvent à l’étage supérieur du magasin.



Alors que la propriétaire tente de s’adresser à nouveau à Biden, les agents de Biden s’agitent soudainement et on entend sans cesse dire : “Allez la presse, on y va, on se barre”. “Allez les gars, on y va, on y va”, répète-t-elle alors que l’un des journalistes tente d’interroger Biden sur “la crise à la frontière”.

Voir la vidéo ici :
https://twitter.com/tomselliott/status/1369342932512366598


De quoi les responsables ont-ils si peur ?

Les gaffes de Biden – ou plus gentiment, ses “moments de gloire” – se multiplient et le monde commence à s’en apercevoir.

Cela fait 48 jours que le président Biden est entré en fonction et il n’a toujours pas tenu de conférence de presse officielle. Comme le rapporte Sara Carter, même les journalistes partisans les plus libéraux de la Maison Blanche s’agitent de plus en plus.

L’attachée de presse de la Maison Blanche Jen Psaki a déclaré la semaine dernière que Biden tiendra une conférence de presse “avant la fin du mois”, mais un article du Washington Post demande que Biden tienne une conférence de presse dès que possible.

“Le mois dernier aurait été meilleur, et cette semaine serait meilleure que la semaine prochaine”, a écrit la rédaction du Washington Post dimanche.

“Éviter les conférences de presse ne doit pas devenir une habitude pour Biden”, a averti la rédaction. “Il est le président, et les Américains sont en droit d’attendre qu’il se soumette régulièrement à des questionnements substantiels”.
Chacun des 15 derniers prédécesseurs de Biden – dont l’ancien président Donald Trump – a tenu une conférence de presse complète au cours de ses 33 premiers jours de mandat.

L’échange de questions des journalistes par Biden à la fin d’un événement ne remplace pas une conférence de presse formelle, a déclaré Erik Wemple, critique des médias pour le Washington Post.

• “Ces échanges souvent superficiels ne remplacent pas les conférences de presse formelles et solitaires au cours desquelles les journalistes peuvent poser des questions complémentaires”, a déclaré M. Wemple.
  “Les réponses sont censées être plus longues que quelques mots, et les réflexions du président sur un large éventail de questions peuvent être exploitées”.
  

Un nouveau sondage réalisé par le rapport Rasmussen a révélé que 50 % des Américains s’interrogent sur la santé physique et mentale du président Joe Biden.
Lorsqu’on leur demande “[dans quelle mesure] êtes-vous sûr que Joe Biden est physiquement et mentalement apte à assumer la fonction de président des États-Unis ? 50 % ont répondu qu’ils n’étaient “pas confiants”, tandis que 48 % ont dit qu’ils étaient “confiants” ou “très confiants”.

Selon Rasmussen, le refus de Joe Biden d’organiser une conférence de presse a contribué à alimenter les inquiétudes quant à son aptitude à exercer ses fonctions, beaucoup estimant qu’il se cache de la presse."


Source : https://www.aubedigitale.com/un-week-end-chez-biden-ses-agents-mettent-fin-a-une-nouvelle-seance-de-questions-reponses-apres-une-apparition-publique/

Difficile à dire s’il sera tassé rapidement ou tué ou terrassé par une maladie soudaine. Harris a certainement un rôle majeur à jouer. La machine médiatique la présente toujours positivement. Le conditionnement bat déjà son plein. Ça veut tout dire en quelque sorte. Selon moi elle va prendre le contrôle du parti et sera présidente.

Biden est sénile, il ne sait plus ce qu'il dit, il présente de graves confusions mentales. C'est pour cela que les membres du gouvernement américain ont peur de le laisser parler devant les médias.

Ce président est à l'image de cette Humanité vieillissante, décatie et sénile du Kali-Yuga.

Elle incarne l'extrême gauche avec toutes ces dérives. C'est pourquoi elle a été choisie dès le départ. Le sénile n'était là que pour les guignols qui croient encore en la démocratie. Remarquer que je parle déjà de lui au passé.

Les illuminés utilisent, bien sûr, les médias pour contrôler la matrice mentale.

La plupart des publicités des multinationales mettent de l'avant le métissage, symbole puissant de l'unification des races et la destruction des états nations. Tout cela cadre avec la vision d'un gouvernement mondial.

Harris, femme métissée et épouse d'un juif est la candidate idéale des illuminés pour représenter ce monde.

La grande arnaque des illuminés sera de catapulter notre planète dans un nouveau paradigme économique.

Pour cette raison, je pense que Biden a ou aura un rôle dans la destruction de la monnaie américaine. Son plan de 1900 milliards de dollars n'aide en rien la dette et la cause américaine.Biden sera-t-il l’agneau sacrificiel qui fera tomber, bien malgré lui, le dollar américain ? Il est fort possible.
.

https://www.fdesouche.com/2021/03/12/etats-unis-dans-les-ecoles-pour-elites-des-parents-terrorises-sorganisent-face-a-la-domination-dune-ideologie-antiraciste-devenu-folle/

Très instructif

Le chemin de croix de Biden continue :
https://twitter.com/CalebJHull/status/1372937314477953027?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1372937314477953027%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.parlons-basket.com%2F2021%2F03%2F19%2Fnba-joe-biden-chute-en-public-les-fans-nba-sortent-les-memes%2F

Trump inspirait la haine chez beaucoup d'américains, Biden va leur inspirer beaucoup de pitié si cela dure 4 ans...

On a trouvé l'explication !

https://twitter.com/DonaldJTrumpJr/status/1372982815109840898

Ça va surtout bientôt tirer à balles réelles si cette marionnette périmée continue de provoquer les Russes et les Chinois...
Pendant ce temps Angela est obligée de s'abaisser et s'humilier en pleine pénurie de vaccin à mendier l'antidote russe. l'Europe est le dindon de la farce et ce n'est qu'un début...

Il semble aussi qu'ils aient largement prévu cette option... :

Kamala Harris déjà présidente ? Eh bien c’est ainsi qu’en parle Biden : « La Présidente Harris et moi… »

"Seules 1000 personnes ont écouté le discours de Biden sur les vaccins alors que la “Présidente Harris” se tapissait dans l’ombre.

Ce n’est pas surprenant, étant donné que Harris, qui est toujours à l’affût, agit en tant que président et est appelée présidente pendant que Biden fait la sieste.
Joe Biden a parlé pendant dix minutes des vaccinations jeudi, avec son omniprésente manipulatrice Kamala Harris qui se cachait derrière lui. À un moment donné, il l’a même appelée “Présidente Harris”.

Seules quelque 1000 personnes ont pris la peine de regarder en direct via la chaîne YouTube de la Maison Blanche :



Au milieu de la lecture du téléprompteur, il a déclaré : “Lorsque la présidente Harris et moi-même avons fait une visite virtuelle d’un centre de vaccination en Arizona il n’y a pas si longtemps, l’une des infirmières de ce centre, qui faisait des injections, des vaccinations, a dit que chaque injection était comme une dose d’espoir”.

Bien sûr, ce n’est pas la première fois qu’il fait cela, et ce ne sera pas la dernière."

La vidéo : https://twitter.com/disclosetv/status/1372637122671353860


Source : https://www.aubedigitale.com/video-seules-1000-personnes-ont-ecoute-le-discours-de-biden-sur-les-vaccins-alors-que-la-presidente-harris-se-tapissait-dans-lombre/

Alfihar a écrit:Le chemin de croix de Biden continue :
https://twitter.com/CalebJHull/status/1372937314477953027?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1372937314477953027%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.parlons-basket.com%2F2021%2F03%2F19%2Fnba-joe-biden-chute-en-public-les-fans-nba-sortent-les-memes%2F

Trump inspirait la haine chez beaucoup d'américains, Biden va leur inspirer beaucoup de pitié si cela dure 4 ans...

Étonnant quand même ces «  chutes «  à répétition, alors qu’à contrario il se rattrape avec de sacrés bons réflexes. De même que son salut militaire parfaitement robotisé comme aiment à le faire les américains.
Une marionnette sans aucun doute, mais une marionnette qui joue parfaitement la,comédie ainsi qu’on lui demande de le faire. Je ne le croit absolument pas sénile.
Dans la vidéo il « trébuche «  en montant les marches deux à deux à un moment...
Tout cela me parait joué.

@Un homme : En effet, c'est envisageable d'autant que la loi est prête et les mentalités aussi avec tout le battage sur les "bourdes" de Biden...
Et on lit aussi ceci :


"Joe Biden dit que la vice-présidente Kamala Harris est "plus intelligente"' que lui - et elle est d'accord"

"Je m'appelle Joe Biden et je suis le candidat à la vice-présidence de Kamala", s'est présenté le candidat démocrate à la présidentielle, bien qu'en plaisantant, aux partisans d'Atlanta juste avant le scrutin présidentiel de 2020. Mais ses glissades occasionnelles de langue et ses références à Kamala Harris en tant que «président» soulèvent la question - est-il vraiment en train de plaisanter?

Le président américain Joe Biden a déclaré que Kamala Harris était «plus intelligente» que lui en s'adressant aux employés des Centers for Disease Control à Atlanta, et la vice-présidente n'était pas en désaccord avec son patron.

À la fin de son  long discours , Biden a rappelé une histoire sur sa rencontre avec Xi Jinping, alors vice-président de la Chine, qui lui a demandé quel «un mot» définissait l'Amérique. Biden a révélé que pour lui, c'était des «possibilités».

«C'est ce en quoi vous croyez: des possibilités basées sur la science et des données concrètes», a conclu le président avant de remercier les travailleurs.
Mais Biden a ensuite reconnu qu'il était déjà temps pour Harris de parler.
«Et je n'aurais pas dû faire ça parce que je voulais céder à mon vice-président, qui est plus intelligent que moi», a-t-il déclaré.
Harris a brièvement répondu: «Eh bien, il n'y a pas grand-chose à ajouter à cela, Monsieur le Président», provoquant les rires de l'auditoire.

Jeudi seulement, Biden a qualifié son vice-président de «président Harris» lors d'un point de presse sur le programme de vaccination américain.
Biden ne s'est pas corrigé et beaucoup ont plaisanté en disant qu'il disait «la partie calme à voix haute», comme il l'a fait avant lorsqu'il a qualifié  Harris  de «président élu» après avoir reçu son vaccin COVID en décembre. Il s'est également surnommé son «colistier» lorsqu'il s'est adressé aux électeurs d'Atlanta en octobre (il a ensuite bizarrement ajouté «Vous pensez tous que je plaisante, n'est-ce pas.»).

C'est devenu une sorte de blague aux États-Unis que Harris soit vraiment le responsable de la Maison Blanche, compte tenu de l'âge de Joe Biden et des dérapages occasionnels (à la fois verbaux et physiques, comme l'a montré le récent trébuchement de la triple Air Force ).

En décembre, Biden a laissé entendre qu'il pouvait y avoir une part de vérité dans toutes les blagues. Alors qu'il s'adressait à CNN peu de temps avant que le collège électoral ne le confirme comme président, Biden a déclaré que s'il était en désaccord avec Harris «sur un principe moral», il développerait une maladie mystérieuse et démissionnerait.

Ainsi, son récent commentaire sur le fait que Kamala Harris était «plus intelligent» n'a pas surpris beaucoup de gens sur les réseaux sociaux.
Un utilisateur a en fait noté : "Je ne pense pas que quiconque aura du mal à croire cela."


Source : https://sputniknews.com/us/202103211082410252-no-trouble-believing-this-joe-biden-says-vp-kamala-harris-is-smarter-than-him--and-she-agrees/

Fais ce que je dis, ne fais pas ce que je fais


"Une nouvelle a créé un certain buzz la semaine dernière, qui a laissé le grand public pantois : les importations de pétrole russe par les Etats-Unis ont battu leur record historique. Comment ?! Alors que l'empire tente par tous les moyens d'empêcher ses vassaux européens d'accéder à l'énergie russe et de torpiller le Nord Stream, il se permet lui-même de consommer sans modération le naphte de Poutine ?

L'apparent paradoxe laissait MSN et médias alternatifs dans la plus grande perplexité. La première tentait vaguement de comprendre pourquoi Washington ne réagissait pas, l'expliquant laborieusement par le manque de sanctions et la disparition du brut vénézuélien sur le marché.

Les seconds étaient tout aussi gênés, se lâchant en imprécations contre la perfidie (bien réelle) de l'oncle Sam mais peinant visiblement à élucider le mystère. De guerre lasse, ils terminaient leur analyse par une pirouette désabusée - "de toute façon, les Américains veulent garder tout le pétrole pour eux". Ah d'accord, si vous le dites...

Nous avons parlé plus haut de paradoxe apparent car, en réalité, la situation n'est pas faite pour nous surprendre. L'habitué(e) de nos Chroniques sait pertinemment que les guerres énergétiques US ne concernent pas, n'ont jamais concerné la consommation même de cette énergie :

Depuis une trentaine d'années, la cause est entendue chez les candides détracteurs de l'impérialisme américain : c'est le pétrole, ma bonne dame ! Quelques présidents texans, une pincée d'Halliburton voire, pour les plus cultivés, quelques gouttes de sauce aux Sept sœurs et vous avez la recette des guerres états-uniennes. Qui, c'est bien connu, ont invariablement lieu dans des pays producteurs aux réserves légendaires : Vietnam, Corée, Kosovo, Afghanistan, Syrie etc.

Un peu gênés, nos guérilleros de comptoir ont toutefois une dernière carte en main : le lobby pétrolier. Ah, le mot est lâché. Ce fameux lobby qui ourdit dans l'ombre les futures invasions US et tient dans sa main le Congrès, la Maison blanche, le Pentagone et - pourquoi pas après tout ? - la CIA. Plus on est de fous...

Si je force un peu le trait de manière caustique, il faut bien avouer que l'on retrouve cette légende urbaine dans une flopée de publications dites alternatives. Le fidèle lecteur sait, lui, que l'empire est au-dessus de ces enfantillages et qu'il s'agit avant tout de contrôle. Comme votre serviteur l'explique dans le livre :

• L’arme énergétique est une pièce maîtresse du Grand jeu. Les Américains ne sont pas de simples voleurs de poules ; il s’agit ici de haute stratégie, bien plus cynique et géniale. En contrôlant les routes des hydrocarbures, les Etats-Unis tentent de conserver leur statut de première puissance mondiale, de plus en plus mis à mal.
  
  Pour dresser une comparaison quelque peu triviale, imaginez quatre ou cinq colocataires dans une maison ne disposant que d’un seul réfrigérateur, fermé au cadenas. Celui qui posséderait la clé obtiendrait soudain un pouvoir considérable sur les autres, obligés de lui demander la permission de manger. De même, Washington fait tout pour conserver la clé de la nourriture énergétique mondiale afin de garder "alliés" et concurrents dans un état de dépendance.
  

Ce que le vénérable Henry Kissinger résumait d'un laconique « Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations ».

Sous cet éclairage, l'apparente bizarrerie s'explique parfaitement. L'empire n'a aucun problème à consommer directement l'or noir de son adversaire. Ce qu'il veut éviter à tout prix, c'est que celui-ci établisse des ponts énergétiques avec les autres parties du Rimland, ponts qui échapperaient à son contrôle. Importer des quantités record d'hydrocarbures russes tout en empêchant les euronouilles, éternels dindons de la farce, de le faire : pour les stratèges américains, il n'y a aucune contradiction là-dedans.

C'est tellement vrai que, sur les vingt dernières années, depuis que Poutine est au pouvoir à Moscou, la courbe des importations de pétrole russe est en augmentation quasi constante. Celle des sanctions et des tentatives d'endiguement énergétique contre le Heartland également...




Source : https://www.chroniquesdugrandjeu.com/2021/03/fais-ce-que-je-dis-ne-fais-pas-ce-que-je-fais.html

Je ne sais pas si cela ne concerne QUE les "puces pour voitures" ou s'ils anticipent d'autres besoins...

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"Discussion à la Maison blanche sur la pénurie de puces, Intel va aider l'automobile

Le président américain Joe Biden s'est entretenu lundi avec les dirigeants de grandes entreprises sur la pénurie mondiale de semi-conducteurs qui affecte sévèrement les constructeurs automobiles américains, tandis qu'Intel a annoncé un projet de fabrication de puces pour voitures sous six à neuf mois.

Au cours de la réunion, Joe Biden a dit disposer d'un soutien bipartite au Congrès en vue d'un projet de loi destiné à aider financièrement l'industrie des semi-conducteurs. "

Source : https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/discussion-a-la-maison-blanche-sur-la-penurie-de-puces-intel-va-aider-l-automobile_153416

Prochain arrêt, l'apocalypse? La prétention à la renommée de l'administration Biden est peut-être relancée par la troisième guerre mondiale


Depuis l'arrivée au pouvoir peu propice de Biden, le monde est devenu parsemé de points chauds, de l'Ukraine à la Chine, où un conflit majeur pourrait éclater à tout moment. L'État profond américain est-il désespéré de rattraper quatre années sans guerre?
Coïncidence ou autre, le monde se sent comme un endroit beaucoup plus dangereux depuis que Joe Biden est officiellement entré à la Maison Blanche le 20 janvier. une balade remplie de dangereux affrontements et même d'hostilités à part entière qui pourraient déclencher la mère de toutes les incendies. L'un des arrêts les plus dangereux le long de cette autoroute vers l'oubli possible se déroule actuellement aux portes de la Russie.

Pour le consommateur moyen de malbouffe des médias occidentaux, le bras de fer frémissant entre l'Ukraine et la Russie a été réduit à des bouchées de la taille d'une collation, généralement vendues à des consommateurs peu méfiants sous le nom d '«agression russe». Jetez le sac graisseux, cependant, et l'acheteur plus averti découvrira que Moscou a en fait soutenu fermement les conditions de la paix dans le Donbass, où une guerre civile fait rage depuis sept ans entre les forces pro-russes et Kiev. Pendant ce temps, c'est le président ukrainien Volodymyr Zelensky qui a abandonné le protocole de Minsk, le traité de paix de 2014, en signant le 24 mars un décret qui place pratiquement l'Ukraine sur le pied de guerre avec la Russie.

Et ce ne sont pas les seules vérités gênantes que les médias occidentaux préfèrent ignorer.

Le 6 avril, quelques jours à peine après que Zelensky ait eu une longue conversation téléphonique avec le président américain Joe Biden, au cours de laquelle le dirigeant américain a promis le « soutien sans faille » de l'Amérique , Zelensky a lancé un appel au secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, dans lequel il a exprimé le désir de Kiev de devenir un membre porteur de carte du bloc militaire dirigé par les États-Unis. Juste une coïncidence, non?

«L' OTAN est le seul moyen de mettre fin à la guerre dans le Donbass » , a déclaré Zelensky, qui a peut-être été le one-line le plus drôle que l'ancien acteur-comédien ait jamais prononcé dans sa carrière.

Ce que Zelensky ne parvient pas à comprendre, c'est que Kiev est jouée comme un pion dans l'éternel «Grand Jeu» entre les États-Unis et la Russie. La bataille actuelle ne porte pas sur la conquête géographique, mais plutôt sur l'accès au secteur énergétique lucratif de l'Europe. Washington refuse de rester les bras croisés alors que Moscou et Berlin apportent la touche finale au gazoduc Nord Stream 2, qui, s'il est rempli, verra les approvisionnements en gaz naturel de la Russie vers l'Allemagne - sans l'intermédiaire ukrainien hautement imprévisible - à travers la mer Baltique.

La détermination de Washington à jouer le spoiler a été clairement exprimée le mois dernier lorsque le secrétaire d'État américain Antony Blinken a déclaré en marge d'une réunion avec Stoltenberg de l'OTAN que le pipeline « est en contradiction avec les objectifs de sécurité de l'UE ». Il est intéressant de voir comment Washington comprend les « objectifs de sécurité » de l'UE encore mieux que Bruxelles. Et de peur que l'Allemagne n'ait pas compris l'allusion, Blinken a averti Berlin de « sanctions possibles » si le projet passait à la joyeuse phase d'inauguration. En d'autres termes, les «marchés libres» n'ont été conçus que principalement en pensant aux entreprises américaines; tous les autres prétendants, en particulier la Russie, ne doivent pas postuler.

Non seulement Nord Stream 2 empêcherait-il la nécessité d'importer du gaz naturel liquéfié (GNL) américain coûteux par l'UE, mais cela ferait de Bruxelles et de Moscou le pire cauchemar de Washington, c'est-à-dire des partenaires de bonne foi avec une réelle incitation à rester. bons termes. Une telle tournure géopolitique des événements a tout le potentiel pour finalement rendre l'OTAN obsolète. Ainsi, nous trouvons Zelensky faire le travail sale et extrêmement dangereux de Washington, militariser le Donbass tout en faisant des ouvertures agressives à Moscou.

La stratégie est évidente - les médias occidentaux prépareront consciencieusement le décor d'une guerre potentielle entre l'Ukraine `` pacifique '' et la Russie `` agressive '', un faux récit qui pourrait s'avérer suffisamment dommageable pour annuler Nord Stream 2, tout en maintenant les dépenses militaires parmi les sujets de l'OTAN. à un niveau record. Ce que l'intrigue révèle, c'est la volonté de Washington de risquer le déclenchement d'un conflit majeur, voire d'une guerre mondiale, afin de maintenir son hégémonie économique et politique sur les capitales européennes.

La Russie, cependant, n'est pas la seule superpuissance militaire que les États-Unis ont décidé de contrarier. Le mois dernier, lors de la première réunion de haut niveau de l'administration Biden avec des responsables chinois, le secrétaire d'État Blinken, sans ironie, a accusé Pékin de « menacer l'ordre fondé sur des règles qui maintient la stabilité mondiale ».

Blinken faisait référence aux relations longues et tumultueuses de la Chine avec Taiwan, que Pékin considère comme faisant partie intégrante du continent. Quelle que soit la manière dont on peut considérer cette impasse, c'était une démonstration incroyablement incompétente de la diplomatie américaine, notamment parce que les relations entre Washington et Moscou sont à leur pire depuis des décennies. Washington a-t-il vraiment besoin de deux adversaires dotés d'armes nucléaires en même temps? Il semble que quelqu'un dans l'administration Biden ait besoin de rafraîchir son Sun Tzu.

Un problème évident avec l'Amérique qui fait la leçon à d'autres pays sur leurs affaires intérieures est l'hypocrisie à couper le souffle. Les diplomates chinois offensés n'ont pas hésité à rappeler à leurs homologues américains les manifestations de Black Lives Matter, par exemple, et les incursions militaires américaines illicites à l'étranger. En fait, moins de trois semaines après l'inauguration verrouillée de Biden, où les soldats étaient plus nombreux que les invités par une marge démodée pour un spectacle démocratique, l'USS McCain, un destroyer à missiles guidés, s'est aventuré à travers le détroit de Taiwan pour une mission épris de liberté, et malgré les affirmations de la Chine sur le territoire.

Presque comme une horloge, la décision imprudente de l'administration Biden a forcé une réaction de la part de Pékin, qui a commencé à naviguer sur des navires de guerre près des Philippines. Bien que la nation de l'archipel du Pacifique soit un allié de longue date des États-Unis, ses allégeances sont tombées en doute sous le président Rodrigo Duterte, qui compte sur la Chine et la Russie pour son équipement militaire au lieu des États-Unis. Pourtant, Washington ignore largement les manifestations de Duterte, s'en remettant à ses propres intérêts impériaux.

« Une attaque armée contre les forces armées, les navires publics ou les aéronefs des Philippines dans le Pacifique, y compris dans la mer de Chine méridionale, déclenchera nos obligations en vertu du traité de défense mutuelle américano-philippin » , a déclaré à la presse le porte-parole du département d'État, Ned Price.

Ce commentaire reflète la facilité avec laquelle ces impasses mondiales extrêmement dangereuses pourraient devenir incontrôlables.

Le monde est-il vraiment un endroit plus sûr avec les États-Unis, la «nation indispensable» autoproclamée, qui se mêle des affaires des États étrangers comme un super flic? Lorsqu'on considère combien d'ingérence est faite au nom de son propre avantage stratégique, l'argument ne tient pas beaucoup. Plus inquiétante est la réaction de Washington lorsqu'un destroyer chinois ou russe se présente dans la mer des Caraïbes un matin ensoleillé, au milieu d'appels à défendre la cause d'un groupe de victimes déclaré en Amérique ou au-delà. C'est alors que l'hypocrisie américaine aura vraiment bouclé la boucle."


Source : https://www.rt.com/op-ed/520832-apocalypse-biden-administration-china-russia/

Les États-Unis pourraient-ils bientôt être impliqués simultanément dans des guerres à Taiwan, en Ukraine et au Moyen-Orient ?


Les bellicistes contrôlent désormais fermement Washington et ils nous poussent un peu plus vers la guerre chaque jour. Un conflit militaire avec la Russie, la Chine ou l'Iran serait un scénario cauchemardesque, mais il y a aussi une possibilité que nous puissions finir par les combattre tous les trois simultanément. Un tel résultat aurait été impensable sous l'administration Trump, mais les temps ont changé. Les responsables de l'administration Biden ont déclaré avec audace que «l'Amérique est de retour», et ils ont essayé d'exercer agressivement l'influence américaine dans le monde entier. Malheureusement, le reste du monde n'est pas aussi intimidé par l'armée américaine qu'il l'était autrefois.

Les tensions avec la Chine augmentent depuis un certain temps et Taiwan est devenue le point central de la controverse.

Taiwan continue de se rapprocher de la déclaration d'indépendance formelle, et les Chinois insistent sur le fait qu'il s'agit d'une ligne rouge qui ne doit jamais, jamais être franchie.

Ces dernières semaines, les Chinois ont tenté d'envoyer un message en envoyant à plusieurs reprises des avions militaires dans l'espace aérien de Taïwan, et lundi nous avons assisté à l'incursion la plus alarmante à ce jour ...

• L'Armée populaire de libération de la Chine a fait voler 25 avions de combat dans la zone d'identification de défense aérienne de Taiwan (ADIZ) lundi, sa plus grande incursion à ce jour alors que la tension dans le détroit de Taiwan continue de s'intensifier.
  Selon le ministère de la Défense de Taïwan, les avions de combat de l'APL - 14 avions de combat Jian-16, quatre Jian-10, quatre bombardiers H-6K, deux avions de guerre anti-sous-marins Y-8 et un avion de détection et de contrôle aéroporté KJ-500 - sont entrés. la zone sud-ouest de l'île lundi.
  

La Chine a mené des exercices militaires extrêmement détaillés qui simulent une invasion de Taiwan, et les plans militaires pour une telle invasion sont déjà élaborés.

Tout est prêt à partir lorsque la commande est enfin passée.

La seule chose qui arrête les Chinois, c'est l'armée américaine, et dimanche, le secrétaire d'État Antony Blinken a de nouveau confirmé  que les États-Unis soutiendraient Taiwan …

• «Ce que nous avons vu, et ce qui nous préoccupe vraiment, ce sont les actions de plus en plus agressives du gouvernement de Pékin contre Taiwan, augmentant les tensions dans le détroit. Et nous avons un engagement envers Taiwan en vertu du Taiwan Relations Act, un engagement bipartisan qui existe depuis de très nombreuses années, pour nous assurer que Taiwan a la capacité de se défendre et de garantir que nous maintenons la paix et la sécurité dans le pays. Pacifique Ouest. Nous respectons ces engagements. Et tout ce que je peux vous dire, c'est que ce serait une grave erreur pour quiconque d'essayer de changer le statu quo existant par la force », a déclaré Blinken dimanche lors d'une interview avec Meet the Press de NBC News.
  

La Chine comprend qu'une invasion de Taiwan signifierait une guerre avec les États-Unis, et donc les Chinois vont probablement tenir le coup pour le moment.

Ils attendront une opportunité, et cela pourrait arriver lorsque nous serons confrontés à un conflit militaire majeur à l'autre bout du monde.

En parlant de cela, la cyberattaque israélienne contre l'installation nucléaire de Natanz est un autre signe que la «guerre de l'ombre» entre Israël et l'Iran se rapproche dangereusement d'une guerre de tir.

Israël n'a pas officiellement assumé la responsabilité de l'attaque, mais même les médias israéliens reconnaissent ce que tout le monde sait déjà …

• L'Iran a blâmé Israël lundi pour une attaque contre son installation nucléaire souterraine de Natanz qui a endommagé ses centrifugeuses - un sabotage qui met en péril les négociations en cours sur l'accord nucléaire en lambeaux de Téhéran et met en lumière une guerre de l'ombre entre les deux pays.
  Israël n'a pas revendiqué la responsabilité de l'attaque, mais les médias israéliens ont largement rapporté que le pays avait orchestré une cyberattaque dévastatrice qui a provoqué une panne de courant dans l'installation nucléaire. Les responsables israéliens reconnaissent rarement les opérations menées par les unités militaires secrètes du pays ou son agence de renseignement du Mossad.
  

Au lendemain de l'attaque, les responsables iraniens se sont engagés à «se venger» d'Israël…

• "Les sionistes veulent se venger du peuple iranien pour son succès dans la levée des sanctions oppressives, mais nous ne le permettrons pas et nous nous vengerons des sionistes eux-mêmes", a déclaré Zarif dans des commentaires diffusés par l'agence de presse officielle iranienne IRNA.
  

Si une guerre majeure éclate et que des missiles commencent à voler entre Israël et l'Iran, les États-Unis entreront dans le conflit aux côtés d'Israël.

Le programme nucléaire iranien est un problème apparemment insoluble depuis plusieurs années, et je pense que les dirigeants israéliens commencent à se rendre compte qu’il n’y aura tout simplement pas de solution diplomatique.

Pendant ce temps, la Russie et l'Ukraine continuent de se rapprocher d'un conflit militaire majeur. En fait, l'un des présentateurs de nouvelles les plus populaires en Russie vient de déclarer que les Russes  pourraient être forcés de «dénazifier» l'Ukraine par la force …

• La Russie est `` à un pas de la guerre '' avec l'Ukraine, a averti la télévision publique lors du dernier combat de bruits de sabre entre Moscou et Kiev qui a fait trembler les nerfs à travers l'Europe.
  Dmitri Kannedov, un présentateur de nouvelles russe qui a été qualifié de `` propagandiste de Poutine '' dans le passé, a émis cet avertissement dimanche lors d'une émission aux heures de grande écoute en Russie.
  Il a qualifié l'Ukraine d'État `` nazi '', affirmant que la Russie pourrait être forcée de la `` dénazifier '' par la force - un processus qui, selon lui, entraînerait son `` effondrement économique et militaire ''.
  

Et un haut responsable russe vient de faire la une des journaux du monde entier en suggérant qu'un conflit militaire à part entière «serait le début de la fin de l'Ukraine» …

• Le chef adjoint de l'administration présidentielle russe, Dmitri Kozak: «Je soutiens l'évaluation selon laquelle le début d'une action militaire - ce serait le début de la fin de l'Ukraine.»
  

Bien sûr, les choses ne seraient jamais arrivées à ce point si l'administration Biden n'avait pas décidé d'utiliser l'Ukraine comme un outil pour faire pression sur la Russie.

Je ne pense pas que la Russie ait l'intention d'envahir l'Ukraine maintenant. Mais lorsque les Russes ont appris ce que l'administration Biden et le président ukrainien Volodymyr Zelensky prévoyaient, ils ont rapidement massé des forces en Crimée et dans l'est de l'Ukraine.

Les Russes vont maintenir ces forces dans la région dans un avenir prévisible, et cela va maintenir les tensions élevées.

Espérons que cette démonstration de force convaincra les responsables de l'administration Biden qu'ils ne devraient pas essayer de pousser les choses plus loin. Parce que les Russes sont tout à fait disposés à frapper en premier s'ils pensent qu'une action de l'autre côté est imminente.

Et une fois que les Russes commenceront à franchir la ligne de séparation, les États-Unis et la Russie seront en état de guerre, et c'est quelque chose que personne ne devrait vouloir voir .

Bien sûr, les États-Unis ne peuvent pas vraiment se permettre de nouvelles guerres à ce stade, car nous nous noyons absolument dans la dette.

Si vous pouvez le croire, notre déficit budgétaire pour le mois de mars était de 660 milliards de dollars …

• Le déficit budgétaire fédéral américain s'est creusé de 454% en mars par rapport à l'année précédente, le gouvernement ayant émis une troisième série de chèques de relance pour aider les Américains à surmonter les retombées économiques de la pandémie de Covid-19.
  
  Le déficit budgétaire est passé à 660 milliards de dollars en mars, a déclaré lundi le département du Trésor, contre 119 milliards de dollars le même mois l'année dernière. Les revenus ont augmenté de 13% pour atteindre 268 milliards de dollars en mars, tandis que les dépenses ont augmenté de 161% pour atteindre 927 milliards de dollars.
  

Un déficit budgétaire de 660 milliards de dollars pour une année entière serait déjà assez grave.
Atteindre ce niveau en un mois seulement est catastrophique.
Inutile de dire que même une guerre aggraverait notre situation budgétaire et que de multiples conflits nous briseraient probablement financièrement.
Bien sûr, si une guerre mondiale éclate, les problèmes financiers ne seront pas exactement parmi nos plus grandes préoccupations à ce stade."


Source : http://theeconomiccollapseblog.com/could-the-u-s-could-soon-be-involved-in-wars-in-taiwan-ukraine-and-the-middle-east-simultaneously/

Président démocrate=guerre majeure
Wilson=1ere guerre mondiale
Roosevelt=2e guerre mondiale
Johnson/Kennedy=guerre du Vietnam
Seuls les Bush entourés par des neocons ont été des exceptions notables : 2 guerres d'Irak et d'Afghanistan

Je maintiens, hélas, qu'un conflit majeur est sans doute la seule issue pour nous sortir de ce plan démoniaque mis en place en Europe et partout dans le monde pour soumettre les peuples.

"que la Volonté de Dieu soit faite" et qu'Il prenne soin de vous tous.

D'accord avec toi dans le sens où ce qui doit être sera, et la fin de ce monde tel que nous le connaissons, ne peut plus se faire en l'état actuel que dans la douleur.

Que Dieu te garde aussi Zul...