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Le statut de la femme et son pouvoir dans la tradition islamique

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Le statut de la femme et son pouvoir dans la tradition islamique Empty Le statut de la femme et son pouvoir dans la tradition islamique

Message par Ligeia Mar 11 Fév - 9:14

Des réalités que beaucoup ont oubliées ou pervertissent sciemment...

L’incompréhension règne (quand ce n’est pas carrément de la subversion) chez beaucoup de nos « savants religieux », quelle que soit la religion dont ils sont les représentants.
Il ne faut pas confondre les dogmes humains et la Foi véritable qui doit nous conduire à retrouver l’Unité principielle au-delà des formes par lesquelles elle s'est manifestée.
Ceci n'impliquant bien évidemment pas de se croire dispensé d'un rattachement à une forme traditionnelle !


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Premier texte :

Charles-André Gilis : Le pouvoir de la femme

Extrait du livre "Aperçus sur la doctrine akbarienne des Jinns", chapitre 13, disponible ici : https://www.leturbannoir.com/produit/apercus-sur-la-doctrine-akbarienne-des-jinns-suivi-de-lhomme-fut-serpent-autrefois/


Le statut de la femme et son pouvoir dans la tradition islamique Femme%2BIslam%2B1


Les hommes sont plus forts que les jinns, car l’eau est l’élément qui prédomine en eux. A ce propos, Ibn Arabî esquisse brièvement une autre comparaison en suggérant que les femmes sont plus fortes que les démons, et en précisant que leurs stratagèmes sont « redoutables » alors que ceux des démons sont « faibles ». La « force de l’eau » est présente en elles, non seulement parce qu’elles font partie de l’espèce humaine, mais aussi pour une raison qui leur est propre.

Dans la partie du chapitre 198 des Futûhât qui traite de la manifestation des degrés cosmiques depuis l’intellect premier jusqu’à l’homme, chaque degré est mis en correspondance avec un nom divin qui le concerne en propre ; c’est notamment le cas pour ceux qui font l’objet de la présente étude : les anges sont régis par le nom al-Qawî (le Fort), les jinns par le nom al-Latîf (le Subtil) et les hommes par le nom al- Jâmi’ (Celui qui rassemble le tout).
La manifestation cosmique de la force divine est traditionnellement liée à celle des anges par référence à un verset de la 66ème sourate : si elles se liguent contre lui, en vérité Allâh est Lui son Protecteur, et Jibrîl et l’Intègre des croyants (sâlih al-mu’minîn); et, après cela les anges apporteront leur aide.

Les deux femmes dont il est question ici sont deux épouses du Prophète : Aïchâ, fille d’Abû Bakr et Hafsa, fille de Omar.
Elles s’étaient liguées contre lui pour qu’il renonce à prendre à l’avenir d’autres épouses. C’est pourquoi la sourate débute par le verset : "O Prophète, pourquoi interdis-tu (tuharrimu) ce qu’Allâh t’a permis (ahalla), en vue de rechercher la satisfaction de tes épouses" (Cor.66.1) ; c’est pourquoi aussi le chapitre 318 des Futûhât qui traite de la demeure relative à cette sourate est intitulée : « De l’abrogation de la Loi sacrée, muhammadienne, ou autre que muhammadienne pour des motifs d’ordre individuel (nafsiyya) - qu’Allah nous en préserve tous !- »

Les termes coraniques utilisés ont une portée juridique précise. Ils indiquent qu’il ne s’agit pas simplement ici d’une faveur divine accordée au Prophète, mais bien d’un statut légal établissant un privilège à son avantage. Ibn Arabî souligne cet aspect avec force :


  • « Le Très-Haut a dit à Son Prophète – sur lui la Grâce et la Paix ! - : Légifère parmi les hommes selon ce qu’Allâh t’a fait voir (Cor.4.105) ; il ne lui a pas dit : "Selon ta propre manière de voir". Le fait de rechercher la satisfaction de ses épouses procédait uniquement de sa vision propre. Cet exemple confirme que l’inspiration (coranique : wahy) était ce qu’Allâh faisait voir au Prophète, non ce qu’il voyait par lui -même, bien que sa vision propre fût supérieure à celle de tout autre (créature) ».


Cet exemple confirme la gravité de l’enjeu. Ce qui est en cause n’est rien moins que le caractère sacré et inviolable de la législation divine. Que deux épouses de Muhammad aient failli lui porter atteinte illustre le pouvoir dont les femmes disposent. Pour les empêcher de réussir, il faudra l’intervention conjointe des plus puissants protecteurs : le Très-Haut Lui-même, unique détenteur de toute force ; sayyidnâ Jibrîl qui apparaît dans ce verset en tant qu’Esprit Saint ; l’Elite initiatique des croyants ; enfin les anges issus de la force divine et qui la représentent en mode déterminé.
L’« Elite initiatique des croyants » est une traduction de la mystérieuse expression coranique « sâlih al-mu’minîn », littéralement : l’ « Intègre des croyants », qu’Ibn Arabî définit à cette occasion comme étant une désignation des initiés qui détiennent le « fi’l bi-l-himma », c’est-à-dire, selon l’expression de Michel Vâlsan, "le pouvoir de produire par l’énergie spirituelle des effets qui ordinairement exigent une activité corporelle."
C’est à cette notion que se rattache l’expression évangélique de la « foi qui déplace les montagnes » ; on peut dire aussi : « al-fi’l bi-s-sidq » : le pouvoir d’agir par la conviction sincère et intense. L’ensemble de l’énumération coranique évoque une force opérative et, de manière indirecte, la puissance invincible du Centre suprême.

D’où les femmes tiennent-elles ce pouvoir immense ; celui qui fit défaut à Sayyidnâ Lût lorsqu’il se plaignit : « Si seulement j’avais pu m’opposer à vous par la force ou par un soutien solide » (Cor.11.80) ?

Selon le Cheikhal-Akbar :


  • « Il n’y a, dans tout le monde créé, aucune force plus intense que celle qui procède de la femme ; et cela à cause d’un secret que connaissent uniquement ceux qui savent en quoi le monde a été existencié et par quel « mouvement » (66) Dieu l’a existencié. Il est le produit d’un couple de prémisses (67). Celui qui recherche l’union (nâkih) est demandeur (tâlib) et le demandeur est dépendant ; ce qui est recherché pour l’union (mankûh) est demandé (matlûb), et ce qui est demandé détient la force (‘izza) à l’égard de ce qui a besoin de lui. Le désir ardent (de celui qui demande) est irrésistible.
    Telle est la situation de la femme au sein de l’existence ; telle est la dignité divine qui la concerne en propre ; telle est la cause de la force qu’elle détient. »


Il est significatif que cet enseignement intervienne à propos du « secret présent dans la force de l’eau », car celle-ci est un symbole de la manifestation universelle. Sa force réside dans sa nécessité, en ce sens que la perfection divine implique l’existenciation de tous les êtres manifestables. Dans un commentaire ésotérique du verset : « J’ai créé les jinns et les hommes uniquement pour qu’ils M’adorent (ou Me servent) » (68).

Ibn Arabî note que la servitude requise procède du modèle divin. Bien que le Très-Haut soit « indépendant à l’égard des mondes » (Cor.3.97. et 29.6), Il apparaît, en mode contingent, comme« dépendant » à l’égard de la manifestation.
Le Cheikh emploie à cet égard une formule très forte : « al-îjâd ‘ibâda » (l’acte existenciateur est une servitude divine).
De son côté, René Guénon écrit :
« Toute chose contingente n’est est pas moins nécessaire, en ce sens qu’elle est nécessitée par sa raison suffisante » ; et encore : « Principe et raison suffisante sont au fond la même chose, mais il est particulièrement important de considérer le principe sous cet aspect de raison suffisante lorsqu’on veut comprendre dans son sens métaphysique la notion de contingence » (69).

En doctrine akbarienne, l’idée de raison suffisante est rendue par le terme hikma : c’est la sagesse divine universellement présente dans les choses. La raison d’être de la manifestation contingente est la réalisation de la perfection d’al-wujûd (70) qui se rapporte au nom divin ar-Rahmân ; la raison d’être de l’état humain est la réalisation de la Forme divine du Prophète qui se rapporte au nom ar-Rahîm.

La période d’obscuration traditionnelle qui précède la fin du cycle est celle du triomphe apparent de l’action démoniaque ; mais les démons ne peuvent rien contre cette « force intense qui procède de la femme », selon l’enseignement eschatologique de toutes les traditions.

Connue dans le tasawwuf sous le nom de sakîna, elle manifeste sa présence victorieuse et pacificatrice dans le cœur des vrais croyants.

(66) Haraka : on pourrait traduire aussi par « moteur ».
(67) Le cheikh utilise le symbolisme, habituel chez lui, du syllogisme. Le point important est que la conclusion est le produit d’un couple.
(68) Cf. Futûhât, chap. 470.
(69) Les Etats multiples de l’Etre, chap.XVII.
(70) Sur ce point, cf. Les sept Etendards du Califat, chap.II. (Charles-André Gilis, Aperçus sur la doctrine akbarienne des jinns ,chap. 13 : Le pouvoir de la femme.)


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Message par Ligeia Jeu 13 Fév - 8:07

Second texte :
Issu du livre "La petite fille de neuf ans", disponible ici : https://www.leturbannoir.com/produit/la-petite-fille-de-neuf-ans/

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Le statut de la femme et son pouvoir dans la tradition islamique Femme%2BIslam%2B2


Charles-André GILIS : Le statut islamique de la femme.


Le rétablissement de la Religion pure et du Droit sacré véritable sera opéré par le Mahdî de telle façon qu’ « il n’aura d’ennemi plus acharné que les juristes qui chercheront à le mettre à mort ». Dans l’ordre des applications contingentes, cette œuvre annoncée comporte un enseignement qui concerne le statut islamique de la femme.

Nous terminerons notre étude par une présentation de la doctrine akbarienne sur ce point très actuel et controversé. Rappelons tout d’abord que, selon Ibn Arabî, le statut ontologique de la femme est supérieur à celui de l’homme.
Ceci ne remet pas en cause les données traditionnelles courantes : les femmes qui atteignent le degré de perfection sont peu nombreuses ; leur constitution est inférieure à celle de l’homme, car elle est dérivée de la sienne et plus éloignée de la substance primordiale : c’est pourquoi dans l’état de sacralisation prescrit pour le pèlerinage, la femme continue à porter des vêtements cousus, à la différence de l’homme ; enfin, leur statut juridique est également inférieur puisqu’il faut recourir au témoignage de deux femmes là où celui d’un homme suffirait.

La supériorité de la femme ne tient ni à sa constitution ni à son statut juridique ; mais plutôt à la façon dont la réalisation spirituelle est envisagée dans l’islâm, qui est « servitude parfaite ». Même lorsque les attributs divins, y compris ceux qui relèvent de la « seigneurie », sont revêtus par le serviteur, ils ne lui appartiennent jamais en propre ; ce qu’illustre, a contrario, le cas de Pharaon.
Selon le Cheikh al-Akbar, « l’homme est avide est ambitieux de voir toutes les choses en son pouvoir ; et cela pour manifester l’autorité temporelle de la forme selon laquelle il a été créée et qui exige que toutes choses lui soient soumises, au point que certains prétendent étendre l’empire de leur jalousie au-delà de toute convenance et se montrent jaloux d’Allâh, alors qu’ils n’ont été créés et soumis à l’obligation légale que pour être jaloux de ce qui revient à Allâh, non jaloux de Lui ! » (1). Cette jalousie blâmable est attribuée symboliquement à l’homme plutôt qu’à la femme, car l’homme a tendance à se poser en « rival » d’Allâh du fait de sa supériorité dans la hiérarchie des degrés essentiels.

Au contraire, la dépendance de la femme reflète la « soumission ontologique » des possibilités principielles à l’Essence suprême, possibilités qui représentent la « perfection passive ». Comme le pèlerinage symbolise un retour vers le centre originel, la femme trouve dans cette circonstance la pureté et la liberté (2) de sa condition première. C’est pourquoi, selon un hadîth prophétique : « Il n’y a de sacralisation à charge de la femme que dans son visage » ; ce qui veut dire, non pas qu’elle doit le voiler, mais, au contraire, qu’elle a l’obligation de le dévoiler pour accomplir ce rite.
Le fondement métaphysique de cette règle réside dans une doctrine ésotérique analogue à celle qui est enseignée dans le tantrisme au sujet de Mâyâ, qui n’est autre que la Shaktî suprême (3) ; Ibn Arabî écrit :

« (Ce dévoilement exprime) un retour à l’origine car, à l’origine, il n’y a ni écran, ni voile. L’origine, c’est l’aspect immuable d’une possibilité particulière, non son existenciation… Elle demeure prête à entendre le Verbe existenciateur, prête à accepter l’existence, empressée à se soumettre à l’ordre de l’Adoré… Elle vient à l’état manifesté sans être l’objet d’aucune restriction, dans la forme requise par son Existenciateur, humble et soumise en dépit de l’élévation de sa contemplation. Elle ignore ce qu’est le voile, et ne le connaît pas ».

Au point de vue de la wahdat alwujûd, l’existence d’un voile est impossible car ce qui apparaît comme « voile » n’est autre qu’Allâh, et ce que le voile est censé cacher n’est lui-même rien d’autre. Le voile véritable naît de la jalousie et de la prétention de l’homme à une indépendance illusoire au sein du Royaume divin. René Guénon écrit dans le même sens mais en employant un autre langage, que le « voile de Mâyâ » cache le Principe uniquement lorsque « la manifestation apparaît comme "extérieure" par rapport à lui ».


C’est cette vérité métaphysique qui est symbolisée par l’obligation de la femme de dévoiler son visage lorsqu’elle accomplit le pèlerinage. Le Cheikh al-Akbar tire de cette règle une conclusion inattendue, à savoir que le verset instaurant le voile (4) ne faisait pas partie de la révélation originelle car elle fut provoquée par une passion, en l’occurrence la jalousie des hommes :
« Le verset sur le voile et d’autres ne furent pas révélés en vertu d’une initiative (divine) ; ils furent rendus nécessaires uniquement à cause de certaines créatures, c’est-à-dire pour faire face à des défauts inhérents au milieu ethnique qui fut le support de la révélation, notamment une jalousie excessive au sujet des femmes » (5).

Il fait à ce propos la mise au point suivante : « De nombreuses prescriptions légales furent édictées uniquement pour des raisons relatives aux créatures (asbâb kawniyya).
Sans ses causes, Allâh n’aurait pas inclus ces règles au sein de la révélation. C’est pourquoi les initiés (ahl Allâh) font la différence entre les prescriptions d’initiative divine et celles qui furent provoquées par certains serviteurs d’Allâh, qui fut l’unique cause pour laquelle Dieu "fit descendre" ces contraintes.

L’homme de réalisation ne se soumet pas à elles de la même manière qu’il se soumet aux prescriptions d’initiative divine ». Cependant, il recommande à « ceux qui veulent faire partie des croyants » (6) d’ « accueillir avec empressement et de bon cœur la décision divine, quelle que soit son origine », tout en fustigeant ceux qui, soit du temps de l’Envoyé d’Allâh, soit après sa mort, ont contribué à la multiplication des interdictions (7), par exemple en refusant aux femmes l’accès des mosquées.

Il conclut en rapportant une anecdote qui, de manière significative, mentionne Aïchâ, l’épouse bien-aimée :
« Un des compagnons du Prophète – sur lui la Grâce unitive et la Paix ! – l’invita à un repas. Celui-ci répondit : « Moi et aussi celle-ci », en mentionnant Aïchâ. « Non ! » répondit l’homme, qui refusa (tout d’abord) de répondre à la demande du Prophète, mais qui finit par lui accorder qu’elle puisse l’accompagner. Ils se rendirent alors à son invitation, le Prophète et Aïchâ, en se poussant (affectueusement) jusqu’à ce qu’ils parviennent à la demeure de cet homme ».
Et le Cheikh ajoute : « Allâh a dit : "Il y a en vérité pour vous dans l’Envoyé d’Allâh un modèle excellent" (8 ). Dans quel état est ta foi ? Si tu voyais les dignitaires d’aujourd’hui, les juges, les faiseurs de prône, les ministres, les sultans imiter l’exemple (prophétique), serais-tu d’avis qu’ils agiraient mal ? L’Envoyé d’Allâh n’a-t-il pas été envoyé uniquement pour parfaire les bonnes façons d’agir (9) ? Si ses manières avec Aïchâ n’en faisaient pas partie, assurément il s’en serait abstenu ! ».

Tels sont les enseignements qu'il nous a paru utile de transmettre à propos de la théophanie singulière de la « petite fille de neuf ans », présente dans le tantrisme, dans l'ésotérisme chrétien du moyen âge et en islâm.

(1) Sur tout ceci, cf. Futûhât, le commentaire sur les hadîths relatifs au pèlerinage, qui figure à la fin du chapître 72 ; La Doctrine initiatique du Pèterinage, chap.VIII : Les sept Etendards du Califat, chap. XXXI et XXXII.
(2) Le terme doit être compris ici par opposition à « interdit ».
(3) Cf. Propos sur le Tantra, p.47.
(4) Cf. Cor.33.53. Nous ne disons pas le « port du voile », car à l’origine ce voile était un rideau destiné à séparer l’endroit où se trouvaient les femmes de celui où se trouvaient les hommes.
(5) Il s’agit évidemment des arabes dont la constitution ethnique comporte certains éléments négatifs dans la perspective cyclique de « l’Esprit universel de l’islâm ».
(6) Par référence à Cor. 10.104.
(7) Contrairement à l’exhortation prophétique : « Laissez-moi tant que je vous laisse ».
(8 ) Cf. Cor. 33.21.
(9) Le Prophète a dit : «J’ai reçu les Paroles Synthétiques et j’ai été envoyé pour parfaire les bonnes manières d’être».


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Message par ZUL69 Mar 18 Fév - 11:04

les démons ne peuvent rien contre cette « force intense qui procède de la femme »

D'où l'intérêt de la contre initiation à "dégenrer" à tout va. affraid

ZUL69

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Message par Ligeia Mer 19 Fév - 8:24

Je pense que ces histoires sur les "genres" et même les "espèces" tendent à parodier l'Adam primordial androgyne.

« C’est là l’élément grotesque qui ne manque jamais dans ces sortes de choses, et par lequel se trahit précisément leur véritable origine : le diable est assurément fort habile, mais pourtant il ne peut jamais s’empêcher d’être ridicule par quelque côté ! » Le Règne.

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