[Audio] Les masques, un rituel sataniste ?

Le gros de la question se situe surtout entre la 15e et 35e min. Il résume bien ce que certains devaient déjà penser.

Lors d'une initiation classique, le candidat doit être "écrasé", reconditionné, dépouillé de sa personnalité pour rejoindre un cercle. De nos jours la plupart des sociétés surtout en Occident n'ont plus leur propre culture mais maintenant avec le masque cela va jusqu'à sa propre identité puisque étant masqué. Donc tout ce cirque actuel, toutes ces nouvelles pratiques que la masse s'habitue chaque jour à faire, participe d'une initiation au niveau mondial.

A voir aussi par un autre youtubeur :

Je ne sais pas si c'est véritablement satanique mais cela participe en tous cas à l'asservissement général et à nous transformer en "moutons" dociles et apeurés !

La pire chose qu'ils organisent actuellement c'est la fin des rites religieux ; et même s'ils ne sont pas véritablement abrogés, ils sont tellement dénaturés que cela en devient "contre productif".

Mince alors, impression qu'il verbalise exactement tout ce que je pense et ressens vis à vis de ce port du masque (souffrance au niveau respiration et souffrance intérieure. Donc, peut être un manque de fermeté à travailler ?) et de ce qui s'en vient : y compris le passage sur "l'harmonie" qui n'a rien à voir avec "l'uniformisation" vers laquelle cette sorte de "main de fer" (ressens littéralement une "force"; "présence" métallique) veut nous faire aller.


Du coup, je place son site en favori, car, j'aime mon boulot, mais le port du masque devenant une vraie souffrance, je cherche des solutions.

Merci infiniment.


Vais regarder la seconde vidéo.

Ligeia, ces derniers jours, j'ai porté le masque avec plus ou moins de zèle( pendant 10 h durant 4 jours d'affilée), et, c'est flagrant : perte de souplesse intérieure et même "détresse" intérieure, sensation d'étouffement, et fatigue physique extrême.
Même une collègue, jeune me disait qu'elle se sentait terriblement fatiguée, ne comprenant pas pourquoi.

Une autre qui porte des lunettes est aveuglée en plus, par la buée.


Ajouté à cela, la canicule qui s'installe.



Le tout devient carrément infernal, et les personnes qui sont le plus obligées de porter le masques  sont précisément celles qui s'occupent des gens fragilisés...c'est signé !


Je remarque (et c'est ce qui m'inquiète le plus) une "perte de contact" avec les patients, n'arrive plus à apaiser les anxieux et les angoissée, comme j'y arrivais, à la fois avant le port du masque obligatoire et durant la période où je le portais en dilettante.


Pendant ce temps, les monstres qui se prétendent dirigeants (alors que le sens des responsabilités, implique le contraire : celui qui a le plus de responsabilités, se place "à l'avant" en cas de crise, ou de problème pour le groupe), se prélassent au fort de Brégançon, ou dans des îles...très certainement sans masque, arrive un moment, où on ne peut que se rendre à l'évidence.


Ce gars, a tout à fait raison pour les "religions", ne parle que pour la "mienne", n'ayant pas assez de connaissances pour les autres, mais, j'ai toujours pensé que "l'église" faisait office de "petites roues du tricycle", et qu'un jour les croyants seraient emmené à "cheminer seul" sans ce type d'aide, mais sans se perdre ou "tomber" pour autant.

Donc, oui, pour la gestion drastique de sa propre vie, son "hygiène" à la fois physique (alimentation) et intérieure (travail constant de réajustement de sa propre attitude et comportement).

Un exemple : je viens de recevoir un montant de salaire qui équivaut à 5 fois le montant que j'aurais dû avoir....tiraillement intérieure entre : "chouette" et "ça ne colle pas", entre "je dis rien" et "je signale"...et pour être tout à fait honnête, c'est la mort dans l'âme que j'ai appelé le boulot pour signaler ce qui, ne peut être qu'une erreur.

Donc, à force de "travailler"  sur soi, quelque chose d'intérieur prend de plus en plus le pas sur ses "appétits perso.".

La plus grosse difficulté étant de na pas se fourvoyer et suivre une "mauvaise voie" qui se ferait passer pour la bonne (et comme tu  le dis souvent : personne n'est à l'abri).

Par exemple :
Ai creusé l'affaire de Rennes le château (et Bugarach), en effectuant des recherches et allant sur les lieux (en 2012), qui m'a conduite à ce que dit Alfihar sous un autre sujet : cette voie, mène à un piège (même si elle fut "bénéfique" à une certaine époque, ce qui n'est pas sûr, c'est tout autre chose qui y "siège" actuellement).
Il n''est pas exclu que l'abbé Saunière n'ait pas "trouvé" sa fortune, auprès des "élites" de l'époque, afin qu'il ne divulgue pas ce qu'il avait trouvé.

De toute façon, cette "affaire de Rennes le Château" mène à la Rose Croix ; les mérovingiens qui seraient des descendants de Jésus.....

Donc, je suis d'accord avec ta méfiance : des pièges se trouvent partout.


Mais vais creuser le site de ce youtuber, car, chose rare chez moi, je partage tout ce qu'il dit dans cette vidéo.

Une autre vidéo sur le sujet des masques :

A Lion : Oui je te crois tout à fait !
Le peu de fois où je dois me plier à cette règle, je le vis assez mal donc j'imagine bien ce que peuvent ressentir ceux qui doivent le porter bien plus souvent et longtemps !

Oui, l'époque est "chaotique" on doit se méfier de tout et particulièrement de nos "engouements" si facilement manipulables.

*****

A Thibault :
Oui j'ai vu ce qui circule. Mais je me méfie aussi de ces prêtres modernes.
N'oublions pas non plus que lorsqu'on a voulu la perte des Templiers, on les a accusé de "soumission au diable" à cause de certains éléments rituéliques qui ont été délibérément mal interprétés.

Je ne dis pas que c'est le cas ici, mais j'ai un doute sur leur compréhension des rites et leur signification véritable ; sur le sujet, voir ce chapitre de Guénon :

"Le double sens de l'anonymat"
http://esprit-universel.over-blog.com/article-rene-guenon-le-double-sens-de-l-anonymat-68213774.html

La "perte de l'individualité" dans les rites initiatiques est d'une toute autre portée.


De toutes façons, cette mesure nous est imposée, on ne peut s'y soustraire et pour l'instant, aucune alternative ne nous a été "offerte".
Et tous les jours, nous faisons malgré nous des compromissions au "monde de la Bête", ce n'est pas la première. Rien que le fait de vivre dans une République qui a érigé en "principe" la laïcité...

Ligeia, il reste encore des endroits en France où les gens, naturellement, ne se plient à ses mesures punitives et liberticides. J’en fait l’expérience tous les jours, c’est un bonheur de ne pas avoir à arborer plus que ça la muselière.
Dans les magasins un peu plus, il n’y a même pas de vigiles par ici , on peut donc arpenter facilement les rayons tranquilles avec la muselière sous le métal un vrai régal !

Un homme a écrit:Ligeia, il reste encore des endroits en France où les gens, naturellement, ne se plient à ses mesures punitives et liberticides. J’en fait l’expérience tous les jours, c’est un bonheur de ne pas avoir à arborer plus que ça la muselière.
Dans les magasins un peu plus, il n’y a même pas de vigiles par ici , on peut donc arpenter facilement les rayons tranquilles avec la muselière sous le métal un vrai régal !

Exactement, c'est pareil pour chez moi....
Il faut avoir conscience de la chance que nous avons, peu sont dans ce cas et ils doivent faire avec.

@Ligeia, je vois ce que tu veux dire concernant les rites initiatiques, en particulier, pour les Templiers.

Comme bien souvent, la différence entre le "plus élevé" et le "plus bas" est infime, vu que le "plus bas" passe son temps à imiter.
Il n'y a donc pas de surprise à constater que les rites initiatiques sataniques imitent les rites initiatiques véritables.

La grande différence réside dans un tout petit détail : celui qui entame le parcours, à travers une initiation est informé des difficultés et doit avoir pleinement tout accepté ; même si il n'est pas au courant de toutes les étapes, car, pas encore mûr, comme tu l'as illustré ici : https://lagrandeparodie.forumactif.com/t1207-le-recit-extraordinaire-de-al-khidr-l-homme-verdoyant-et-de-moise?highlight=moise

Ou le texte sur les "deux anges" que j'avais mis sur Patreon.

En outre, le "gain" d'un cheminement, n'est pas présenté comme une publicité, d'ailleurs, il est à découvrir par celui qui chemine.
Dans ce parcours, il n'y a donc "rien à vendre"(chaque pas, dépend de l'état d'esprit du cheminant : certaines fois, il s'agira un parterre verdoyant, d'autres, d'un terrain accidenté, semé d'embuches ; cela est directement imputable à sa propre attitude, envers l'Infini et ses représentants : l'ensemble de la création, avec ses "merveilles" et ses aléas), mais celui qui commence doit venir de son plein gré, sans quoi que ce soit "d'attractif" pour l'inciter (puisqu'il s'agit d'une aventure ou le "meilleur", peut précéder ou succéder au "pire" et que le "pire" peut s'entrevoir dans "le meilleur" et inversement).





Le rite satanique, n'informe à aucun moment des difficultés, ou les justifie de façon détournées (souvent, justement : l'illusoire sécurité, en entretenant la peur et la colère), voire il n'informe pas du tout le "sacrifié" (utilisation des enfants, dans des rituels où ils sont littéralement abîmés physiquement et moralement, quand ils ne sont pas assassinés), par contre, le "gain" est présenté dès le début, à la façon d'un "vendeur d'aspirateur", et ils sont tous plus alléchants les uns que les autres : promesse de vie longue et sans souffrance (le moins possible), superpouvoir (à travers les réalités augmentées, prothèses, humains augmentés..), ou "statut" particulier (ceux qui se pensent élus, parce qu'ils suivent les inepties qui leur sont proposées, sans s'interroger sur les conséquences), pouvoir (sur les autres) et leurs cortèges "d'accessoires" : richesse, notoriété, jeunesse éternelle.

Ou encore : paix et sérénité (évidemment fausse : avec l'obligation d'appartenir (esclavage) à une poignée d'individus, voire un seul, et une souffrance intérieure (suffocation, vide, gouffre intérieur impossible à remplir), quasi constante, illusoirement et jamais totalement compensée par des attitudes compulsives (achats, addictions, idolâtrie ou au contraire abus de pouvoir, si petit soit il, ...).






L'illustration la plus "parlante" : les grands maîtres des arts martiaux, qui ne sont pas des "ceintures" noires ou rouges, mais ont dépassé, ce stade.
Du coup, en réalité, ils sont très peu nombreux (et peut être qu'à l'heure actuelle, il n'en existe plus) : ils ne se "battent" plus jamais (en tout cas, pas physiquement).

C'est mon rêve d'arriver au moins à ça, mais consciente d'être encore très très loin. Si des moments de calme et de relative sérénité peuvent me faire penser : ça y est, je suis sur la bonne route. Il y a cette nature fougueuse, voire impétueuse qui peut "repartir" sur une étincelle.
Et tout (le travail) est à recommencer.

Mais je crois que chacun a son lot de difficultés personnelles : mission ou travail perso. à mener.



Dans les rites sataniques, le concerné, ne reçoit la facture que bien trop tard quand il est devenu quasi impossible (ou demandant une aide divine) de s'en sortir (la "divine comédie" de Dante, parle de l'enfer (sans espoir, et l'enfer où ceux qui y sont, entrevoient quand même une lueur d'espoir d'accéder au purgatoire. Et ceux du purgatoire, ont aussi l'espoir de monter de niveau...ou un film qui illustre à sa manière, la différence de cheminement, entre une "âme chargée" et une autre, un peu plus pure).





mais évidemment, plus on tombe bas, plus le chemin est long pour remonter. Cela est illustré dans "la divine comédie", mais cela se remarque aussi à la vision de certains personnages, "pêcheurs" repentis, notamment dans le film "mission", qui au delà, de la forfaiture de l'église et du début de la soumission du pouvoir spirituel au pouvoir temporel (l'église sacrifie des "missions" pour éviter que la royauté ne dissolve l'ordre des jésuites), évoque, les diverses attitudes entre le prêtre Gabriel et Mendoza.

Mendoza, illustre le "travail" colossal d'une demande de rédemption (le sac qu'il traine, symbolise ses péchés) :







Plus les péchés sont "légers" plus le parcours est "facile" (non, plutôt, avec une souffrance qui semble moindre, par rapport à celle de Mendoza, lors de la même ascension), voici celui de Gabriel  (au début) :






Et son "discours" aux autochtones : il leur fait écouter la "voix divine" à travers la musique (à la fin, ils sont tous trahis, y compris Gabriel, par les supérieurs hiérarchiques de Gabriel), il montre que lui, n'est pas là pour conquérir, mais partager :







Surtout la fameuse scène où Gabriel va trouver Mendoza en prison : celui ci a tué son frère (en plus du reste : vendeur d'esclaves). On peut mettre le sous titre en français (dans "setting" et "auto translate", même si elle est hasardeuse, cela permet de "comprendre") :


https://www.youtube.com/watch?v=Pk_-jIncT5I&list=RDCMUC3gNmTGu-TTbFPpfSs5kNkg&start_radio=1&t=1





Donc, le coup des masques, ne peut être une initiation qui élève.

Mais, comme dans tout ce qui tend à "rabaisser", plusieurs attitudes restent possibles (l'initiative est elle laissé à l'individu ? où est il poussé par quelques "forces", je ne sais pas) :

Accepter comme une fatalité (ce que semblent faire, la plupart), ou :

Si une élévation était possible, le sujet (l'individu), qui face à une pratique insupportable (comme le port de ces masques : de plus en plus de gens s'expriment sur la pénibilité, la fatigue excessive, maux de tête effroyables..surtout en période de forte chaleur) et illégitime, se trouve face à deux chemins (probablement pas choisi par lui, même si l'illusion du choix semble s'imposer) d'envoyer tout balader ou d'utiliser la situation  pour évaluer ses propres ressources intérieures, et continuer aussi une "lutte intérieure"  : entre supporter pour des raisons profondes ou abandonner :
rester en contact avec ceux qui ne sont plus rien pour personne  :  les "anciens", "les handicapés" (en tout cas, tous ceux qui se trouvent coincés dans des institutions, le hasard  - je plaisante - ayant voulu que l'on se retrouve, d'une certaine manière, coincés avec eux) et par ce biais, garder, un lien, même ténu avec l"Un (divin).




Perso. ma surdité, me sert encore : je limite les interactions (surtout avec les familles, dont certaines semblent totalement tétanisées à l'idée de nous parler et d'attraper quoi que ce soit. De plus, certains collègues ayant eu des "accès de zèle" en jouant au gendarme envers les familles qui ne portaient pas de masque, oblige désormais, à le porter soi même quand on se trouve face à ces mêmes familles. Après, si certaines continuent à "jouer au gendarme" avec le masque sur le menton, il s'agit d'une attitude méprisante et irrationnelle, qu'il m'est impossible d'adopter) en disant que je n'entends rien avec ce masque (ce qui est vrai, je ne mens donc pas), il serait préférable pour eux, qu'ils s'adressent à un autre collègue.

Mon intérêt perso étant de limiter le port du masque, en limitant l'interaction et limiter ma présence en choisissant l'intérim. Ceci est peut être qualifié "d'attitude tiède", j'en suis bien consciente (donc, cette attitude n'est pas forcément mieux que les autres).






En tout cas, ce film (mission) est riche en enseignement sur ce que peut être une "initiation" (en tout cas, certaines scènes), se conformer au groupe (des gens qui initient, ce qu'à mon avis, évoque Ligeia), en effaçant, l'égo, sans effacer la nature propre de l'individu puisque le divin, a voulu que les "natures" soient différentes pour se compéter, coopérer (même chez les Templiers, ils n'étaient pas "uniformes", en interne, chacun avait son rôle pour que la communauté puisse "fonctionner").


à la fin, Mendoza, se bat, jusqu'au bout (dans la scène, il est mortellement blessé et voulait tirer sur les soldats, mais s'aperçoit que la corde qui actionnait la gâchette, a été coupée. "Il est cuit"), Gabriel, souhaite mourir en prêtre et se sacrifie.
Il est à noter que l'attitude de Gabriel, force l'admiration de Mendoza, qui sait, qu'il n'est pas capable de tant d'abnégation.



J'ajoute que je ne me fais aucune illusion sur ma nature, puisqu'elle se rapproche plutôt de celle de Mendoza (à m'insurger, refuser de me plier à ce que je considère injuste et tenter de "me défendre"à la façon...humaine, somme toute) et que l'attitude de Gabriel est admirable, puisque quasiment inaccessible.
Et c'est bel et bien Gabriel qui "réussit" à "passer le flambeau", puisque l'enfant ramasse l'ostensoir à la fin.

La fin de ce film résume tout, vis à vis des "deux attitudes", il est à noter que Mendoza se soumet à Gabriel (qui n'est pas d'accord avec le dispositif que les autres prêtres mettent en oeuvre pour tuer le plus de "soldats" possibles, mais, les laisse faire), jusqu'à un certain point, car il sait que ce dernier, a, en lui, une force (paix et sérénité) qui lui fait défaut en dépit de son tempérament flamboyant et belliqueux.
Et que par son choix de "garder le cap", Gabriel offre, y compris à Mendoza, une "grâce" (ou peut être Dieu à travers l'attitude de Gabriel ?). Sachant que, quelle que soit l'attitude, ces gens (les autochtones) seront assassinés :






à chacun sa façon de lutter.

Car, les deux, ont leur "pierre" à apporter, même si l'attitude de Gabriel, force le respect, il a "pris" Mendoza et les autres, car, il sait, très certainement que "toute pierre" (nature, individu...) a sa raison d'être, à partir du moment où elle s'emploie à construire l'édifice, au lieu de tout saccager, y compris, elle même.




Mais je suis d'accord que cette frénésie de "port du masque" sent plus le soufre qu'autre chose.

Je conclurai en rejoignant Rorschach dans sa dernière vidéo : un parcours qui ne laisse entrevoir aucune "sueur à grosses gouttes"(confrontation avec ses limites, physiques, psychiques pour placer le sujet face à l'infini, qu'il soit obligé de puiser dans "autre chose", en demandant une "aide divine"), ne peut aboutir à aucune élévation, ça, c'est une vérité qui semble immuable.

Merci pour les infos Lion. Pas encore eu le temps de tout voir...