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Ludwig van Beethoven

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Message par LionBlanc Mer 19 Déc - 21:21

Personnalité

dans ses plus jeunes années, avant que la surdité ne s'installe, Beethoven, en tant qu'homme à part entière, était intensément actif et vivait dans un monde éclatant. Tout l'intéressait. Il était avide de société et de tout ce qui contribuait à la foule d'impressions qui se déversaient chaque jour sur lui. Son art n'était pas encore pour lui un refuge, un mystère à servir, le seul domaine dans lequel son âme pouvait échapper à toutes les entraves et devenir entièrement libre, mais un splendide vecteur de l'oppression des expériences saisissantes que la vie  lui présentait.
à la fin de l'été 1802, après que sa surdité ait sensiblement augmenté, Beethoven découvrit que son génie, qu'il s'était senti appelé à chérir et à protéger, était réellement une force puissante qui l'utilisait tel un canal ou un serviteur. Chez Beethoven, être si extraordinairement créatif, un état de tumulte plus ou moins conscient devait être constant en raison de son sentiment d'être possédé par une puissance de génie.

Mais ce ne fut que lorsque le Beethoven consciemment réfractaire eut succombé, que lorsque sa fierté et sa force eurent tellement diminué qu'il fut prêt, et même impatient, de mourir et d'abandonner la lutte, qu'il découvrit que sa puissance créatrice était effectivement indestructible et que c'était son énergie immortelle qui l'empêchait de mourir.

Le testament de Heiligenstadt de Beethoven écrit à l'automne 1802 marque un tournant décisif dans sa vie.

Jamais plus son attitude envers la vie ne sera celle de la défiance, où la défiance fut une expression de ce qu'il appelait sa "force de caractère". Il n'éprouva plus ce besoin de défiance puisqu'il ne ressentait plus aucune angoisse. Il prit conscience de la présence en lui d'une énergie créatrice invincible que rien ne pourrait détruire. Il n'a plus peur pour son art. Il ne redoute plus que ses "plus belles années s'écouleront sans que j'aie accompli tout ce que  mon talent et ma force m'auraient commandé".

L'une des choses que Beethoven eut le plus de difficultés à accepter fut sa solitude. Peut être savait-il, grâce à la profonde connaissance instinctive du génie, que la solitude était nécessaire au développement maximal de sa puissance créatrice. Mais savoir et accepter sont deux choses différentes et la totale acceptation de sa profonde solitude irrévocable fut la dernière et la plus grande des victoires de Beethoven.

Beethoven réalisa tôt dans sa vie qu'il était supérieur aux autres dans son domaine. Son ignorance quant à  la manière de traiter les autres lui valut assurément de nombreux ennemis qui toutefois, pour la plupart, le respectaient pour son génie. Il éprouva un besoin d'amour quasi surnaturel, que peut être beaucoup prirent pour de la maladie mentale, mais qui n'exposa qu'un aspect supplémentaire de sa personnalité pleine et entière. Dans la plupart de ses tentatives pour montrer son amour, il alla au-delà de ce que la personne moyenne considérerait comme un amour naturel et fut par conséquent, rejeté. C'était un idéaliste dans la plupart des domaines, mais pour atteindre la personnalité idéale, il faut surpasser tous les autres.



Extrait "La Formation de la Personnalité, par la désintégration positive" Dr Kazimierz Dabrowski.

                                                                                                                                                      Page 5
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Message par LionBlanc Mer 19 Déc - 21:47

Inadaptation positive, transgression du cycle vital biologique et du type psychologique

Si le caractère de Beethoven suscita des opinions diversifiées, son génie musical fit l'objet d'un consensus général. Dans une lettre qu'il écrivit à ZELTER, GOETHE se lamenta :"son talent m'a plongé dans l'étonnement. Mais c'est malheureusement une personnalité tout à fait indomptée. Il n'a sans doute pas tord de trouver le monde détestable, mais ce n'est pas le moyen de le rendre agréable pour  lui et pour les autres".
Beethoven eut bon nombre d'ennemis dont il avait offensé la vanité, mais aussi de nombreux amis qui toléraient simplement son manque de retenue méprisant. Les fluctuations rapides des sentiments de Beethoven envers une seule et même personne sont comiques et semblent témoigner d'un manque total de perspicacité de sa part.

Pour la majorité des femmes, il avait l'air laid, pauvre, mal élevé, terriblement impulsif et obstiné. C'est peut être le fait d'être rejeté par la plupart des femmes qui le conduisit à tenter de briser les projets de mariage de son frère Johann avec une femme facile. Malgré l'emploi de mesures violentes et indélicates, il ne put empêcher cette union, mais au contraire en précipita sans doute l'avènement. Cet épisode illustre à merveille son extraordinaire manque de compréhension des gens normaux. En tentant de passer outre la volonté de son frère comme il le fit, il le traita avec le même mépris qu'il éprouvait pour la plupart des hommes mais cette fois avec violence et passion.
Le besoin violent de Beethoven de trouver un exutoire à son amour déchaîné et à sa solitude insupportable l'amena à déverser un torrent d'émotions sur son neveu Carl ; il exigea de celui-ci l'amour et la compassion qui lui avaient été refusés. Cet amour idolâtre fut mêlé à tant de suspicion que son neveu tenta de se suicider. Son amour n'était qu'une pitoyable tentative insensible et irrationnelle d'établir au moins un infime contact avec la chaleur de ce monde humain dont il était exclu. En son for intérieur, l'artiste en lui savait que son isolement était irrémédiable. les relations intimes qui auraient dû lui apporter un sentiment de complétude et satisfaire son appétit étaient impossibles. Les relations de Beethoven avec son neveu le rendaient, presque sans cesse, extrêmement anxieux.
Durant ces périodes, Beethoven se situait à l'acmé de sa puissance créatrice. Bien qu'il produisit ses plus grands morceaux à cette époque. Il travailla très lentement. Les états de conscience qui le préoccupaient continrent de plus en plus d'éléments insaisissables issus des plus grandes profondeurs. La tâche de création nécessita un degré sans égal d'absorption et de retrait.



                                                                                                                                                 Page 4
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Message par LionBlanc Mer 19 Déc - 22:09

Milieu psychique interne

La surdité et la solitude de Beethoven sont presque symboliques de son repli dans son être intérieur. Aucune "tempête extérieure" ne saurait désormais influencer son travail ; tout au plus l'interromprait-elle. Il en vint à réaliser que son énergie créatrice, qu'il avait autrefois opposée à sa destinée, devait en réalité son existence à cette destinée. Ce n'est pas seulement qu'il crût que le prix à payer en valait la peine ; il en vint à considérer comme impératif qu'un prix dût être payé. Il croyait que si être prêt à souffrir pour créer est une chose, réaliser que l'oeuvre de création personnelle nécessite de souffrir dans sa chair, que la souffrance est l'un des plus grands dons de dieu, c'est presque parvenir à une solution mystique au problème du mal. une solution que, probablement pour le bien du monde, très peu envisageront.

Son ancienne idée quasi puérile du Destin devint une conception beaucoup plus profonde. Pour lui, le Destin n'est plus l'incarnation d'une sorte d'ennemi puissant qu'un courage suffisant peut défier, même si cela est sans espoir. Sil s'agit désormais d'une destinée véritablement universelle, trop parfaite pour susciter une quelconque pensée de résistance.
Comme l'obscurité primordiale qui précéda la création, le sombre mystère duquel il émerge est un élément qui conditionne le monde humain sans en faire partie. Et cette puissance extra-humaine n'est en rien bienveillante à son égard, pour autant indispensable qu'elle puisse être au façonnage de l'âme humaine. Dès lors, Beethoven se résigna ou se soumît à sa destinée de solitude dans la surdité et réalisa qu'il pouvait encore composer malgré cette effroyable affliction.


                                                                                                                                                     Page 3
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Message par LionBlanc Mer 19 Déc - 22:26

Désintégration positive, névroses et psychonévroses

Beethoven avait une idée du destin presque puérile. Pour  lui, "Destin" était le nom d'un concept personnifiant ces caractéristiques de la vie qui font appel à l'héroïque en l'homme. Mais dans cette idée du Destin, il s'agit de quelque chose d'extérieur. L'état intérieur témoignant de son existence est l'héroïsme, ou ce peut être la peur. Lorsqu'il parlait du Destin, Beethoven ne parlait pas d'une expérience, mais de quelque chose qui conditionne l'expérience. Chez  lui, un sentiment de nécessité et d'importance du principe héroïque persista jusqu'à la fin.

Dans ses plus jeunes années, il éprouva l'angoisse de perdre sa capacité à composer à cause de sa surdité croissante. Il ne considéra jamais le Destin comme l'ordre aveugle, froid, indifférent et impersonnel de l'univers, mais comme un ennemi. Sa surdité était une création de cette puissance maléfique externe qu'il dénomma "le Créateur", ou plutôt le Destin, qu'il avait "maudit plus d'une fois d'avoir exposé ses créatures à la merci du moindre accident". Son aptitude à une réalisation profonde et passionnée de la souffrance nécessita, s'il n'allait pas être réduit à l'impuissance, une aptitude correspondante à l'endurance et une énorme faculté d'affirmation de soi. Pour Beethoven, le caractère de souffrance de la vie devint une partie fondamentale de sa vision du monde. La profonde sincérité et la naïveté de sa nature, associées aux circonstances de sa vie, rendirent cette connaissance inévitable.
à cause de son incapacité à travailler avec les autres, il développa rapidement un caractère quasi paranoïaque. Il était tellement certain de sa supériorité par rapport aux autres dans le domaine de la composition musicale que lorsque Haydn émit une opinion défavorable à propos d'une prestation d'un en semble de trois trios, il fut convaincu que celui-ci avait été motivé par l'envie, la jalousie et la méchanceté. Toutefois, une des principales sources de ce problème était son incapacité à gérer l'argent et son manque de connaissances dans le domaine des questions commerciales qui le rendaient suspicieux, vis à vis de ses éditeurs et autres personnes avec qui il faisait affaire. Ses craintes furent parfois justifiées, comme lorsqu'il ne fut pas rémunéré par ses mécènes, ce qui ne fit que contribuer à renforcer ses sentiments de méfiance vis à vis des autres déjà fortement prononcés.

Dans ses plus jeunes années, cette peur intense de la surdité l'amena à chercher des remèdes miracles. C'est comme si sa perte du moindre espoir d'amélioration l'avait fait se cramponner avec ferveur à toute éventualité de guérison. Lorsque le traitement d'un médecin ne montrait aucun résultat immédiat, il accusait promptement celui-ci de négligence.

Infantilisme et régression positive

Après le décès de sa mère, Beethoven n'eut personne vers qui se tourner pour partager de l'amour. Quant à la mort de son père, il ne s'en soucia guère puisqu'il n'y avait entre eux aucune affection. Jusqu'à l'âge de quarante ans, il se satisfit de ses petits triomphes avec les femmes, mais à présent que sa situation financière était assurée, il éprouva le besoin de fonder un foyer, de mettre de l'ordre dans ses affaires conjugales, et d'assouvir son grand besoin de compagnie. Néanmoins, le mariage sans amour était impossible pour Beethoven et son attitude envers l'amour était essentiellement romantique. Comme  nous l'avons vu , il ne comprenait guère les hommes et probablement encore moins les femmes. Pour lui, un beau visage avait de fortes tendances de paraître être l'indice d'un esprit noble. Pour un homme de sa nature, une femme était absolument essentielle à la plénitude de sa vie humaine, d'autant plus que la surdité le menaçait d'un terrible isolement.
Après avoir été éconduit plusieurs fois - Thérèse Malfatti, âgée de dix neuf ans, refusa sa proposition de mariage, par exemple - Beethoven se fit à l'idée qu'il ne connaîtrait jamais la vie matrimoniale. Il est aussi évident que les premières années non productives de Beethoven coïncidèrent avec cette période d"'aspiration fébrile et non assouvie à l'amour sexuel et à la paix du mariage. On observe alors sa régression vers l'idée d'une vie conjugale idéale qu'il ne peut qu'imaginer.


                                                                                                                                                          Page 2
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Message par LionBlanc Mer 19 Déc - 22:45

Quadruple causalité de son développement

Beethoven était doté de quatre caractéristiques exceptionnelles qui favorisèrent le développement de sa vie intime unique. Ces caractéristiques, ou circonstances de la vie, furent sa loyauté envers son expérience, son manque de malléabilité, sa surdité et son isolement émotionnel vis à vis du monde.
Dans sa jeunesse, Beethoven fut forcé à étudier la musique au point d'avoir à voyager et vivre loin du foyer familial pendant de longues périodes. Son père, qui le considérait comme un fils prodigue, était un total incompétent qui ne s'occupait guère de sa famille. Ludwig chercha du réconfort auprès de sa mère, mais ne put plus le faire dès lors qu'il fut envoyé à l'école. En grandissant, il dut reprendre à son compte la majeure partie du travail de son père, ce qui ne lui laissa que peu de temps pour pratiquer la musique, et aucun pour les plaisirs de la vie. Autrement dit, il vécut la plupart de ses jeunes années dans la pauvreté et ne conserva que peu de souvenirs agréables de cette période.

Ludwig était imperméable à la critique : ses manières étaient épouvantables ; il ignorait les conventions et n'était absolument jamais enclin aux passions sociales, pas même à l'amour sexuel. Il semblait percevoir que les autres étaient plutôt communs et n'étaient pas réellement à sa hauteur. Apparemment, cela s'avéra vrai dans toutes ses compétitions musicales avec d'autres pianistes qui ne firent généralement pas le poids contre lui. Bien que son niveau d'éducation fut faible, il prouva, au moins à  lui-même, qu'il possédait une intelligence considérable en réussissant tous les examens qui l'attendaient à chaque fois qu'il s'en sentait capable. Durant sa jeunesse, son père fut extrêmement sévère dès lors que les leçons de musique étaient concernées, mais en dehors de la musique, il n e se soucia en rien de l'éducation du garçon. C'est peut être la cause de sa grande naïveté à l'égard des problèmes de la vie, de l'amour, et des manières.

Il semble que ce fut en 1798 qu'il remarqua ses premiers symptômes de surdité. Sa première réaction fut la rage face à la stupidité de cette horrible affliction et le fait que lui, entre tous les hommes, dut perdre précisément ce sens, devait effectivement constituer la plus abominable des ironies. La connaissance de sa surdité croissante l'amena à se couper émotionnellement du monde et à éprouver un incroyable sentiment de supériorité. Dans une lettre à son ami médecin Wegeler : il écrit :"j'ai évité presque toutes les réunions en société parce qu'il m'est impossible de dire aux gens : je suis sourd"". Les médecins lui prescrivirent de temps en temps des séjours à la campagne ce qui l'éloigna davantage du public et le rendit encore plus solitaire.




Multiplicité des niveaux dans le développement


Dans sa vie, Beethoven manifesta les sentiments à la fois de honte et d'inquiétude. Son sentiment de honte découlait principalement de sa surdité croissante. Cela eut pour conséquence une augmentation de la timidité et une grande tendance à s'exiler de la société. Pendant deux ans, il évita quasiment tous les rassemblements sociaux en raison de la nature de sa profession qu'il estimait sembler anormale au vu de sa surdité.

Son extrême sentiment d'inquiétude était également dû à sa surdité croissante. Il éprouvait l'intense responsabilité personnelle de devoir achever toutes les compositions musicales possibles, même s'il se sentait entravé par son handicap. Il avait le sentiment de devoir affirmer sa volonté afin de  ne pas être vaincu. Il dut rassembler toutes ses forces pour continuer à vivre et à travailler malgré son destin. Il dit une fois "je saisira le destin à la gorge".

ON sait peu de choses des croyances religieuses de Beethoven, hormis qu'elles n'étaient pas orthodoxes. Il est indiscutable que vers la fin de sa vie, Beethoven en vin à appréhender la vie de façon mystique, mais il est probable que dans son cas, ce regard mystique se serait encore moins prêté à  la mise en mots que d'ordinaire. Mais, pour autant que  les mots puissent exprimer ces choses, on peut conclure d'après ses propres remarques qu'il croyait en une Puissance ultime, bienveillante et intelligente et que l'existence était organisée et réfléchie. Les expressions musicales de sa Messe en ré majeur le montrent plutôt bien, ainsi que son habitude d'user de phrases orientales du type "je suis ce qui est, je suis tout ce qui a été, est, et sera".



                                                                                                                                                     Page 1
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Message par LionBlanc Jeu 20 Déc - 0:52

Entendu à l'époque dans "le cercle des poètes disparus", j'ai cherché ce petit morceau de piano partout, jusqu'à ce que je le trouve dans cet adagio :

Son concerto n° 5 Opus 73 - 2 poco mosso (dure 8 mn)



Son concerto comprend 3 mouvements :
1er Allegro
2ème poco Mosso
3ème Allegro ma non troppo


Le concerto en entier (dure près de 50 mn) :





Bon, j'espère que Ligeia ne va pas prendre peur devant la quantité de documents Embarassed

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Message par LionBlanc Jeu 10 Jan - 0:03

Je rajoute un film dans lequel, le violoncelliste virtuose est obsédé par l'esprit de Beethoven.
Le Soliste est schizophrène.
Alors qu'un journaliste en mal de sujet motivant, croise un violoncelliste schizo qui joue avec deux cordes à son violon, mais, il joue d'une telle manière, qu'il attire son attention.
Au fil des renseignements, il apprend que ce jeune, vit dans la rue et fut considéré comme un génie par ses professeurs.
Pourtant, il s'aperçoit qu'à force de se démener pour le sortir de la rue, c'est lui, que leur amitié nouvelle, a fini par "sauver" :

Le soliste :




C'est dans ce film que se trouve le fameux "Notre Père", comme jamais il a été récité, depuis Jésus :

https://vimeo.com/250786308



Ce film retrace une histoire vraie (la vie recèle des histoires bien plus étonnantes que celles que l'on pourrait trouver dans la fiction).


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Message par LionBlanc Mer 8 Juil - 18:38

Voulais créer un fil particulier, mais "la prière" se trouve déjà ici.
J'ajoute donc, "le morceau divin" que je viens de mettre en ligne et publié sur Patreon.
En espérant qu'il ait le même effet sur d'autres.
Perso. , chaque fois que je l'écoute, quelle que soit la situation de départ, j'atteins la joie, la plénitude, la liberté (celle intérieure qui permet de s'extraire de la réalité environnante, terrestre).
Ici, la musique est un vecteur (elle accompagne dans une trajectoire ascendante).
Elle demande un peu de patience au début, mais ce démarrage long, est indispensable pour apprécier la suite, puisqu'il la prépare.


https://vimeo.com/436473085

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Message par Ligeia Mer 8 Juil - 20:15

Merci Lion c'est très joli et j'ai apprécié, sincèrement.... I love you
Me demande si tu ne me l'avais pas fait écouter à une autre occasion ?

J'ai aussi des musiques qui me "parlent" et me "font partir" ; un"vecteur" oui comme tu le dis. Wink
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Message par LionBlanc Jeu 9 Juil - 2:10

Il est possible que je l'ai mise sur google + à l'époque. On pouvait télécharger les vidéos directement de sa collection.
Avant que ça ferme, j'avais enregistré "la prière" sur vimeo, mais comme d'habitude (procrastination), j'ai différé l'enregistrement de celle ci.
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