Gerard Butler

Je place ce sujet ici, même si il ne s'agit pas d'un film, mais d'un acteur.

Ne vais pas raconter toute l'histoire, comment j'ai "remarqué" ce personnage, c'est long, complexe et ce n'est pas le sujet.


Je sais juste que "quelque chose insiste" (comme d'habitude) pour attirer mon attention sur quelqu'un (une situation...).



Et donc, suis allé à l'encontre de mes propres décisions, ai ouvert un compte twitter, juste dans l'optique d'encourager ce personnage.
Et autre chose que je sais, de par mon métier et un flop de bénévolat (pour faire le même métier, mais en dilettante. Au passage, les visites sont désormais règlementées comme au printemps, pour les personnes âgées. Du coup, mes visites des dimanches sont suspendues jusqu"à ce que ça change encore. Je vais les voir, lorsque je pars en pause ou le soir avant de partir, si je ne suis pas trop "morte"), est que l'énergie s'use vite et le moral sombre.

Ce qui a attiré mon attention, il y a quelques heures (ne l'avais pas remarqué avant, par paresse de traduire, j'avoue), c'est le nombre de réponses à un commentaire du concerné (111  - désormais passé à 112 et plus, peut être, depuis - réponses à attiré mon attention, et comme je suis une bille en anglais, ai quand même pris la peine de traduire (avec l'aide partielle de réverso) ce qu'il disait dans le commentaire correspondant), qui semble avoir "tout compris", même si il n' est au courant que d'1/10ème de ce qui se prépare (quoique, peut être que je fais erreur, après tout).



Comme il est connu, il ne peut que "semer".
Je trouve que c'est une excellente nouvelle (surtout maintenant).

Et cela aussi, j'ai remarqué (sur le temps, les années, de "chercheuse d'or" ou plutôt de pépites humaines) que c'est lorsque l'on croit que tout est "mort", qu'une "pépite" apparaît (même si le terme "pépite" n'est pas partagé par tout le monde, et si l'on peut toujours trouver des choses à critiquer, je trouve que ce terme convient parfaitement, puisqu'elle laisse les humains avec leurs travers, mais dotés d'une "richesse intérieure", elle ne les transforme pas en "anges" ou je ne sais quoi d'autre)




Je vous laisse juger par vous même (soyez indulgent, c'est très difficile. Encore une fois, surtout maintenant) :

https://twitter.com/GerardButler/status/1302347914337857536

Marrant que tu parles de cet acteur Lion !

Je ne sais pas si tu l'as noté mais c'est lui l'acteur principal du film dont il est question ici : https://lagrandeparodie.forumactif.com/t1192-film-greenland-le-dernier-refuge

Je l'avais plus que noté...

C'est d'ailleurs ce film qui m'a incité à faire des recherches (pas dans la foulée, vu le peu de temps dont je dispose, entre le boulot, lectures, recherches, mais peu à peu), sur l'acteur (j'aurais pu m'en tenir au film, ou faire des recherches sur d'autres, il y en a d'autres dans ce film).

Film que je connaissais très bien puisque j'ai dû voir toutes les "versions" et les autres étaient fameux aussi, dans d'autres genres.

Tout s'est étalé sur des mois, comme poussée (ce n'est pas la première fois qu'après coup, je remarque que des choses se mettent en place pour imprimer une direction, éclairer vers des apprentissages...).



Dans ce type de cas, c'est sur le temps que le "tableau" apparaît (finalité).



Comme il ne m'a pas échappé non plus que l'origine de cet acteur (alors qu'il est loin d'être le seul à avoir cette origine) correspond avec le point de chute de ma recherche sur les Templiers, qui pourtant, à la base, n'a absolument rien à voir.


Pour tout te dire, j'ai fais "exprès" de mettre ces infos (le film, ce n'était pas calculé, mais pour l'article sur l'acteur, si, car trop flagrant) pour montrer comment les choses se passent et peuvent finir par converger, sachant qu'il est tout aussi possible de se retrouver dans une impasse, que réaliser une grande avancée.
C'est de cela que je parlais quand j'évoquais l'impétuosité (grâce à toi, j'ai appris à attendre et voir).


De toute façon, mon  projet ne change pas : attendre la fin, mais dans un coin où je pourrai me trouver avec des "présences" (pas forcément matérielles, d'où mon point de chute préférentiel avant de trouver un "coin" : la chapelle de Roslyn. Comme il ne t'échappera pas non plus que je n'y vais pas pour voir des pierres, ou des écossais (en chair et en os), plutôt des fantômes) bienveillantes, en paix.
Mais, c'est sans compter sur les desseins divins.


Il y a des années, j'ai d'ailleurs fait un rêve qui correspondrait à cette histoire de "départ au bout du monde". Mais (dans le rêve), une fois sur place je suis sommée de faire ce que j'ai à faire avant d'escompter mourir tranquille dans un coin de nature.

Ce rêve date d'il y a 30 ans et je ne sais toujours pas ce que j'ai à faire (le personnage dans le rêve, me le dit, mais si je me souviens de tout le rêve, impossible de me rappeler, finalement le plus important).


Peut être que "tous ces signes" indiquent que je ne vais peut être pas tarder à savoir....

Tu vois que tout a une raison d'être, je ne suis que deux personnes (une personne et une personne morale) sur twitter : dont National Library of Scotland.
M'en suis rappelé tout à  l'heure.

D'une part, en fouillant dans leurs publications, je peux trouver quelque chose qui entre en lien avec ce que je cherche, en plus, cela me force à lire cette langue (que j'ai appris, mais mon accent épouvantable me freine), avec laquelle, j'ai vraiment du mal (toujours fait un blocage sur cette langue, l'ai regretté amèrement, une fois, il y a longtemps désormais, mais ce regret restera gravé) : l'anglais.

De toute façon, on verra bien, il n'y a que le temps qui permette d'apporter des réponses, je sais que du temps, nous n'en avons plus beaucoup.

Bon ce sera ma dernière intervention sur ce sujet, puisque j'ai trouvé "la clef"(en fait plusieurs imbriquées).



Ce serait trop long et fastidieux (je n'ai pas le temps), de tout décrire et expliquer, mais cela rejoint la différence d'approche entre les exégètes (ceux qui scrutent et décortiquent les textes) et d'autres qui tentent de transposer ce qu'ils lisent, apprennent à la vie et cherchent à l'expérimenter.




Cela explique que l'on puisse trouver des résonances dans des films, ou des personnes improbables qui sont bien loin de tout parcours "spirituel" et pas particulièrement "fidèle" à une tradition (de toute façon, elles convergent toutes vers une seule, en effet).

Logiquement, ceux dotés d'une souplesse de caractère (pas surjouée, mais réelle) et d'humour, ont plus de chance d'évoluer puisque plus enclins à se remettre en question que les "psychorigides" (ceux qui se prennent toujours au sérieux).




En l'absence de "guides" vivants, il ne reste plus qu'à se débrouiller avec ce à quoi l'on a accès, et le "matériel" à disposition, pour peu que l'on ne se satisfasse pas de ce monde de l'illusion (matérialisme, "factuel") et que l'on cherche autre chose.

Car, si l'apprentissage, la connaissance constituent des "nourritures", se "nourrir" ne suffit pas, il faut (comme l'a rappelé Ligeia) méditer (ou au moins réfléchir  - ça doit bien se "faire" encore ? - ), mais aussi expérimenter dans son être + observer autour de soi et trouver....ce que l'on doit trouver.



L'approche humaine (actuelle) qui consiste à toujours s'évaluer, se comparer et chercher à tout prix "l'utilitaire" (d'une vertu ou pratique), juger (en fonction de valeurs subjectives)..est le principal frein.
L'orgueil en est un, incommensurable (il se manifeste sous divers aspects).

D'ailleurs, les diverses clés que j'ai trouvé, ce fut toujours, à la suite d'une sorte de "nuit obscure", de 2 ou 3 jours (en observant autour de soi) et où l'égo a été "laminé" (ce que j'ai fait en parlant de ce personnage sur un forum consacré à la tradition spirituelle ), ce que je fais (et pas seulement moi), en parlant de "films" ou chansons, au lieu de débattre sur un point ou une virgule.

Ou faire de la revue de presse, qui ne contient que des infos précisément sélectionnées (encore une fois : je viens d'aller jeter un oeil à l'actu. et suis partie en courant : ce n'est plus de l'info. c'est de la propagande dont le but est de miner les gens de l'intérieur et provoquer : la guerre de tous contre tous et/ou des vagues de "suicides anomiques" selon la définition de Durkheim) pour avoir une influence néfaste voir nuisible sur les gens.
La "psychologie sociale" n'existe que pour cela (pour 99,99 % du contenu, le 00,01 % qui ne parle pas de "manipulation", se trouve dans le titre et encore de façon parcellaire : "social") : expérimenter, manipuler et conduire les groupes, foules, dans n'importe quel sens, avec la même facilité qu'un troupeau de vaches.



Aujourd'hui, on a l'impression que le coronavirus a balayé tout ce qui a existé auparavant, ce qu'il restait encore des diverses cultures s'efface peu à peu et la mémoire des peuples, avec.


Cette clef en "gros", est que lorsqu'un humain en croise d'autres, ou un autre qui s'intéresse(nt) à ceux qui sont autour, cherche à reconstituer leur énergie (il ne s'agit pas "que" de nourrir physiquement, mais déjà s'intéresser à cet autre, ces autres, leur procure de l'énergie), le moins que l'on ait à faire est d'envoyer de l'énergie à son tour.

C'est ça, la mission de l'humain : prendre soin les uns des autres (s'intéresser les uns aux autres) et, ainsi s'échanger de l'énergie et de l'information (la vraie).

Il y a ceux qui seront toujours rebutés par cet apport, ceux qui "travaillent pour l'ombre", mais à force de toujours craindre de tomber sur l'un d'eux, on finit par rester chacun dans sa "bulle" en se laissant mourir (intérieurement déjà) à petit feu ou "fossilisé" (pétri de dogmes détachés de leur essence).

Ou bien, on finit par en voir "partout" et se retrouver soi même, envahi de noirceur (à l'image de ceux qui sont redoutés, et déjà, sans le savoir : leurs "proie").


Donc, cela m'a coûté de publier cet article  incongru et me retrouver à devoir le justifier (déjà face à moi même), mais cela m'a permis d'avancer.


La "clef" n'est pas une récompense, mais un moment pénible pour avancer (la clef étant "le pas en avant").


Un parcours spirituel, ne se fait pas par la rêverie comme le dit souvent Ligeia, et c'est tout à fait vrai, mais il ne se fait pas plus par des discours infinis autour du sens d'un mot.
Chaque concept doit être vécu dans son être (se mettre en danger, ne serait ce que son orgueil), son "coeur" et ses "tripes".
Le coeur n'étant pas un organe symbolique de "bisounours", mais parle d'une "essence puissante". Et peut être "reconnu" (dans le sens basique de son infinitif : "reconnaître". Ici, pas de double sens, pas de métaphore) quand il se présente.

Evidemment, comme bien d'autres choses, cette "essence" a été édulcorée à  l'extrême, dévitalisée et ridiculisée, par ceux qui y avaient intérêt et d'autres qui  n'arrivent pas à faire la différence entre la "caricature" et la véritable "essence".

Voilà, de toute façon, le dicton dit bien "qui veut tuer son chien l'accuse de la rage", si on expose ou débat sur des connaissances on se retrouve accusé d'étaler son savoir et son orgueil par la même occasion.
Mais si on étale ses expériences, on se retrouve accusé "de raconter sa vie" ou d'exposer des sujets qui (en apparence) n'ont rien à voir, donc, d'être à côté de la plaque.
Arrive un moment où, finalement, il n'y a plus d'échanges possible.

Je précise (puisqu'il y a des susceptibles) que je ne vise personne en particulier, si quelqu'un se "reconnaissait", c'est son problème.



En tout cas, vais pouvoir reprendre lectures et autres "projets", j'ai saisi (compris).

Oui, si je t'ai bien comprise, il y a de cela Lion.

Ni dans les expérimentations personnelles (je parle des phénomènes psychiques), qui peuvent être un "indicateur" mais pas un "guide" car bien trop sujettes à déviances et "inspirées" par on ne sait quoi (et ce n'est pas, comme dans l'exemple du pasteur, la "beauté" des messages transmis qui peut prouver quoi que ce soit car le diable est aussi fort bon "théologien") ni les polémiques interminables.
Par contre, pour le vécu réel, non je pense qu'on peut s'appuyer dessus au moins pour une certaine forme d'analogie et pour mieux se faire comprendre.

Même si cela peut être "mal perçu", il s'agit là de conviction intime, une certitude qui arrive sans qu'on sache vraiment pourquoi et en quoi nous l'avons méritée.
Un trésor... "On dit que « quand un trésor est cherché par quelqu’un à qui, pour une raison quelconque, il n’est pas destiné, l’or et les pierres précieuses se changent pour lui en charbon et en cailloux vulgaires." C'est exactement cela.
Je ne sais pas si c'est ton cas et si tu as subi ce genre de reproches, mais pour "l'extérieur" cette conviction apparaît souvent comme une forme de sectarisation et de "gouroutisation"...   J'admets que cela puisse être perçu ainsi vu de l'extérieur, on ne peut rien y changer.  

Quant aux échanges, oui, j'en ai aussi perçu les limites, d'où mon retrait ici pour certains sujets....  

Tout à fait d'accord.

Pour "le trésor" qui se change en "cailloux vulgaires", entre autres, je peux citer ce petit village de Navacelle. Chaque fois que je l'ai montré à quelqu'un, la personne l'a juste trouvé "joli", mais de toute évidence n'a pas perçu la même chose que moi (une présence, la beauté même).


En parlant de Navacelle, tout s'est précipité en juin, lorsque je suis retournée dans ce village (où je vais régulièrement, faire une sorte de pèlerinage, depuis des années), et l'ai trouvé, totalement dévasté par des travaux.

Le vendeur de pierres (qui lui aussi, vend ses pierres depuis des années, j'y fais un passage chaque fois que je retourne dans ce village) m'a dit que ce sont les élus qui escomptent "rénover" ce village, le fermer pour le rendre payant.
Les habitants y sont totalement opposé (forcément, ils deviennent quoi ? des animaux de zoo ?), mais les élus persistent.
Ils se battent pour sauver le dernier mûrier platane (puisqu'il est question qu'ils l'arrachent), me suis rajoutée à  leur liste de contestataires.
C'est un désastre, mais quoi qu'ils (ces voraces) fassent, "ils" n'arriveront pas à bout de ce qui s'y trouve et qui n'est pas forcément "visible".

Ce jour là (donc en juin), justement, malgré ces travaux qui défigurent tout, il y avait des myriades de papillons, la lumière était d'une rare beauté, je n'ai pas ressenti de tristesse (plutôt une sorte de défi lancé par des esprits torturés), car ce qui s'exprimait est "inaltérable" et il est toujours possible d'apercevoir, de percevoir, cet autre chose.

Du coup, je n'ai plus d'endroit de repli (physiquement).

Ce soir là, de retour chez moi, en fouillant dans la bibliothèque de ma chambre (où ma mère laisse intentionnellement des livres qu'elles souhaiterait qu'on lise, elle a toujours fait ça) suis tombée sur un livre qui parlait du mystère Cathare.
Qui mène aux Templiers, et la "flamme templière" s'est rallumée.


IL y a longtemps, alors encore à Paris, j'ai gardé des enfants durant quelques années, cette famille s'appelait "templier".

D'une manière ou d'une autre, il y a toujours eu des signes de leur présence (pour être tout à fait honnête, ado. Cela me laissait relativement de marbre, ne voyant pas ce qu'ils pouvaient avoir d'attrayant,  ils manquaient de "fantaisie").


Et, je ne sais pas pourquoi (à part des hypothèses), dès qu'ils sont évoqués, la "boussole" finit par indiquer l'autre côté de la manche (nord ouest de la France).
Et plus précisément, l' Ecosse.

Oui, je connais bien cette différence de "vision" (précieux/banal), d'un endroit, un personnage ou une situation.



Cette image résume bien tout :

Merci à Ligeia d'avoir laissé ce sujet accessible, car je commence à comprendre certains "choix" (qui n'en sont pas vraiment) qui me paraissaient "nébuleux" (d'où les grosses confusions dans mes explications), il y a encore quelques temps.

Tant mieux Lion.... et contente de te revoir !

Donc, ça y est, j'ai compris, même si je ne sais pas (ne saurai peut être jamais) "qui", cela me rappelle, dit en MP.


Pas la première fois que ce type de situation se produit, pour moi. J'en avais parlé sur le blog de Ror...peut être même sur Patreon.

Le film "Greeland" dans lequel il joue, sort le 18 décembre prochain.

Sans même exagérer, ça fait un peu trop de coïncidences et de hasards.

Et je confirme : le mot "choix" est une illusion.

Merci Lion !

Ah mais décidément, "ils" nous travailleront jusqu’à la fin de l'année.
Vraiment l'impression qu'ils mettent les bouchées doubles en ce moment...