STAR WARS IX

Attention si vous n'avez pas vu le film SPOILERS

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La nouvelle trilogie s'achève ainsi que le cycle Skywalker.

Les choix scénaristiques de ce dernier opus sont particulièrement caractéristiques de notre future fin de cycle.
Clairement jj. Abrams a choisi une conclusion dans l'air du temps. On peut être issu d'une lignée maudite et corrompue par le côté obscur et choisir le côté lumineux pour sauver la galaxie.

Cela concerne l'héroïne Rey dont on apprend qu'elle est la petite fille du plus grand seigneur sith, l'empereur Palatine alias Darth Sidious. Celui-ci étant toujours vivant et tirant toujours les ficelles.
Les deux héros deviennent complémentaires l'un est un Skywalker vient du côté lumineux mais bascule dans le côté obscur c'est Kylo Ren, l'autre est une Palpatine vient du côté obscur mais veut suivre le côté lumineux c'est Rey. Ils sont comme le yin et le Yang, d'ailleurs l'un est habillé l'autre de blanc.
L'empereur veut utiliser sa petite fille et Kylo Ren pour devenir tout puissant. Cette Trinité qui n'a rien de sainte est une véritable inversion traditionnelle. Rey doit tuer et sacrifier son grand père afin que celui-ci s'incarne en elle ! Dans l'ordre traditionnel les 2 courants opposés sont résolus par le Principe commun qui est supérieur or là c'est un principe inférieur et infernal.
Ce sacrifice se situe sur la planète des Sith qui est littéralement un lieu infernal, lors d'une cérémonie qui est une véritable messe noire, une contre initiation où le maître va transférer ses influences infernales à sa disciple.
Celle ci étant obligée de commettre un meurtre se trouvera marquée à jamais et deviendra une sainte de Satan comme l'indique René Guénon dans le règne de la quantité dans son chapitre de l'antitradition à la contre tradition :

• "Le dernier degré de la hiérarchie « contre-initiatique » est occupé par ce qu'on appelle les « saints de Satan » (awliyâ esh-Shaytân), qui sont en quelque sorte l'inverse des véritables saints (awliyâ er-Rahman), et qui manifestent ainsi l'expression la plus complète possible de la « spiritualité à rebours » (cf. Le Symbolisme de la Croix, p. 186)."

Il y a aussi une référence satanique aux Kabires qui réparent le casque de Kylo Ren.

Même si Rey refuse ce sacrifice, l'épilogue n'en reste pas moins antéchristique.
D'abord Rey a des dons de guérison, elle soigne une bête ressemblant à un serpent qui vit sous Terre. C'est un beau clin d'œil à la bête apocalyptique blessée et guérie. Ce serpent souterrain vivant dans une sorte de caverne où tombent les héros, garde la sortie, ce qui est une référence initiatique caractéristique, une de plus or il garde une dague qui est à la fois l'arme qui a tuée les parents de Rey et l'objet qui conduit au centre ténébreux des Sith. Ce serpent ne garde pas un trésor comme dans tous les mythes initiatiques mais tout son contraire un véritable support infernal dont l'héroïne doit s'emparer.

Rey utilise une 2e fois ses dons de guérison en soignant Kylo Ren après l'avoir mortellement blessé.
Elle est donc désignée comme l'Elue et ce d'autant plus qu'elle est ressuscitée par Kylo Ren à la fin du film après avoir tué son grand père et détruit l'ordre Sith. D'ailleurs une nouvelle fois on voit ce fameux X qu'elle forme avec ses deux sabres pour résister aux éclairs de l'empereur et cela rappelle le dark phoenix du dernier X men.
Contrairement à ce que laisse entendre le film il est impossible qu'une descendante de Sith puisse devenir la fameuse élue car la contre initiation laisse des traces indélébiles et irréversibles qui disqualifient également la descendance. Donc non la vie ce n'est pas qu'une question de choix.

Le message est clair : laissez vous guider par un élu qui aura des pouvoirs extraordinaires même si ils viennent du côté obscur car l'important c'est de choisir le côté du bien et de l'homme !!!
Voilà la bonne petite musique très NEOM où toutes les espèces de la galaxie finissent par se rebeller contre l'ordre établi pour créer un monde pacifique, écologique, humain, tolérant (cf les deux femmes qui s'embrassent dans la scène de liesse finale) où tout se vaut...

Dernier clin d'œil apocalyptique, Rey se rend sur Tatouine pour enterrer les sabres de Leia et Luc, elle choisit son nom, signe d'une initiation, Skywalker, sort un nouveau sabre jaune (pourquoi ? il faudrait chercher dans le symbolisme des couleurs) et contemple un double soleil comme dans Star Wars 8, un qui se lève, un qui se couche. Il faut ici voir l'allusion au lever à l'ouest du soleil à la fin du cycle.

Bref rien d'innocent dans ce film, une préparation mentale de plus à accepter celui qui vient avec son nouveau monde...

Édifiant....

Merci pour ce compte-rendu Alfihar !

Salam

Merci pour ces infos Alfihar. Il semble vraiment que la contre-initiation redouble d'efforts pour ce début de la prochaine décennie 2020-2030. Encore un autre indice que cette dernière sera probablement celle où l'on verra se concrétiser ce vers quoi tout leurs efforts tendent.

Un chiffre m'intriguait dans le dernier SW IX c'est le 42 car il représente la fin d'un cycle pour la saga puisque 42 ans séparent le 1er (qui est en fait le 4) du 9: 1977-2019

Mais le chiffre est également cité dans ce dernier épisode puisque les héros vont sur une planète, pour chercher la trace de ce qui leur permettrait de retrouver Exegol la planète des Siths, où une fête a lieu tous les 42 ans. Celle ci est la stricte copie d'une fête hindoue Holi, qui est aussi appelée fête des couleurs et est devenue très à la mode dans le monde moderne...

Traditionnellement on célèbre la naissance de l'Avatara Krishna et la victoire de Vishnu sur la démone Holika, au début du printemps ( ce qui marquerait un côté moins primordial dans cette fête et peut être un lien plus atlantéen où comme chez les Juifs avec Pessah ou les Romains avec la fondation de la cité le moment le plus important est printanier au lieu d'être hivernal et lié à la porte des dieux).
Encore une fois rien d'innocent à ce que Rey participe à cette célébration où d'ailleurs elle reçoit un collier de perles qui on le sait a une grande signification traditionnelle (voir la chaîne des mondes).

J'en reviens à ce 42 qui me turlupinait. Ce chiffre apparaît à de multiples occasions et notamment encore dans l'Apocalypse :

• "Ils fouleront aux pieds la Ville Sainte pendant quarante-deux mois. Mais j’enverrai mes deux témoins, revêtus de sacs, prophétiser pendant mille deux cent soixante jours. (Ap 11 :2-3)
  Et la femme s’enfuit au désert, là où Dieu lui avait aménagé un refuge, afin qu’elle y soit nourrie pendant mille deux cent soixante jours. (Ap 12 :6)
  Les deux ailes de l’aigle furent données à la femme pour s’envoler au désert, en son lieu, loin de la face du serpent, où elle doit être nourrie un temps, des temps et la moitié d’un temps. (Ap 12 :14)"
  

G. Georgel et R. Auclair précisent que les trois formulations désignent une durée équivalente : 42 mois = 1260 jours (30 x 42 = 1260) ; et les trois temps et demi constituent une demi-semaine et une semaine équivaut à 2520 ans. Selon eux le colosse de la vision de Daniel correspond au temps des Gentils qui s’étend de 602 av. J.-C. à l’année 1917 : 602 + 1 + 1917 = 2520

A partir de 1917, année symbolique décisive : retour des Juifs sur la Terre sainte avec la déclaration Balfour et révolution bolchevique marquant la révolte finale des Shudras, on rentre dans une période de 72 ans appelée "jour de Jéhovah" dans l'ancien testament correspondant à la colère divine. Cela mène à 1989, année historique où le "mur" fut brisé (il ne l'a peut être pas seulement été qu'à Berlin !) qui démarre une période finale et supplémentaire de 42 ans qui est selon eux le chiffre clé de l'Apocalypse, soit jusqu'en 2031.

Or en utilisant la prophétie des Papes ils obtiennent le même résultat mais avec des chiffres différents :
la 73e devise (Axis in medietate signi) indique le milieu chronologique de la prophétie ; cette devise est associé à Sixte Quint, dont le milieu du règne tombe en 1587. Entre le départ de la prophétie (1143) et 1587, il s’est écoulé 444 ans ( 4 x 111 ans) ; on peut en conclure que la fin doit se situer 444 ans après 1587, soit en 2031 !
http://echelledejacob.blogspot.com/2012/11/cyclologie-traditionnelle-et-fin-du.html?m=1

Ce chiffre 42 apparaît une autre fois dans l'Apocalypse :

• "1 Et je me tins sur le sable qui borde la mer. Et je vis, montant de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. 2 Et la bête que je vis était semblable à un léopard, ses pieds étaient comme ceux d'un ours, sa gueule était comme la gueule d'un lion. Et le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité. 3 Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort, mais sa blessure mortelle fut guérie. Et toute la Terre était dans l'admiration derrière la bête. 4 Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête, et ils adorèrent aussi la bête, en disant : Qui est semblable à la bête et qui peut combattre contre elle ? 5 Et il lui fut donné une bouche qui proférait des discours pleins d'orgueil et des blasphèmes, et il lui fut aussi donné le pouvoir d'agir pendant 42 mois." (Ap 13 :1-5)
  

Ce chiffre a d'autres sens traditionnels :

Le rouleau de la Torah, tout comme la Bible de Gutenberg se compose de 42 lignes de caractères par colonnes.
Le Talmud prétend que le nom divin de 42 lettres est le plus grand des mystères.
42 est le nombre de générations entre Abraham et Jésus, d’après l’Évangile selon Matthieu (chapitre 1, versets 1 à 17).
Il apparaît même dans la littérature :
dans La pièce de théâtre Roméo et Juliette, de Shakespeares (Acte IV Scène 1), le Frère Laurent donne à Juliette une fiole qu’elle devra boire pour qu’elle puisse faire croire à sa mort pendant 42 heures.

Derrière ce film qui s'adresse au public le plus large on retrouve encore et toujours ce puissant symbolisme mais utilisé à rebours !!!

Pour terminer sur Holî A. Daniélou précise que c'est « le jour où toutes les castes se mêlent, où les inférieurs ont le droit d'insulter tous ceux devant qui ils ont dû s'incliner pendant toute l'année ».
Cela ressemble aux saturnales romaines qui avaient lieu au solstice d'hiver mais aussi aux fêtes carnavalesques et aux fameuses fête de l'âne et des fous ( on en revient à cette mystérieuse référence à l'âne qui est pris encore une fois dans un sens maléfique) dont parle R. Guénon dans Symboles de la science sacrée, Chap.XXI : Sur la signification des fêtes carnavalesques:

  • "Nous mentionnerons aussi les saturnales des anciens Romains, dont le carnaval moderne paraît d'ailleurs être dérivé directement, bien qu'il n'en soit plus, à vrai dire, qu'un vestige très amoindri : pendant ces fêtes, les esclaves commandaient aux maîtres et ceux-ci les servaient (6) ; on avait alors l'image d'un véritable « monde », où tout se faisait au rebours de l'ordre normal (7). Bien qu’on prétende communément qu'il y avait dans ces fêtes un rappel de l’ « âge d'or », cette interprétation est manifestement fausse, car il ne s'agit pas là d'une sorte d'« égalité » qui pourrait à la rigueur être regardée comme représentant, dans la mesure où le permettent conditions présentes (8 ), l'indifférenciation première des fonctions sociales ; il s'agit d'un renversement des rapports hiérarchiques, ce qui est tout à fait différent, et un tel renversement constitue, d'une façon générale, un des caractères les plus nets du « satanisme ». Il faut donc y voir bien plutôt quelque chose qui se rapporte à l'aspect « sinistre » de Saturne, aspect qui ne lui appartient certes pas en tant que dieu de l'« âge d'or », mais au contraire en tant qu'il n'est plus actuellement que le dieu déchu d’une période révolue (9).

(4) Ces « fous » portaient d'ailleurs une coiffure à longues oreilles, manifestement destinée à évoquer l'idée d'une tête d’âne, et ce trait n'est pas le moins significatif du point de vue où nous nous plaçons.
(5) L’auteur de la théorie à laquelle nous avons fait allusion reconnaît bien l’existence de cette parodie et de ce sacrilège,  mais, les rapportant à sa conception de la fête en général, il prétend en faire des éléments caractéristiques du « sacré » lui-même, ce qui n’est pas seulement un paradoxe un peu fort, mais, il faut le dire nettement, une contradiction pure et simple.
(6) On rencontre même, en des pays très divers, des cas de fêtes du même genre où on allait jusqu'à conférer temporairement à un esclave ou à un criminel les insignes de la royauté, avec tout pouvoir qu'ils comportent, quitte à le mettre à mort lorsque la fête était terminée.
(7) Le même auteur parle aussi, à ce propos, d'« actes à rebours », et même de « retour au chaos », ce qui contient au moins une part de vérité, mais, par une étonnante confusion d'idées, il veut assimiler ce chaos à l'« âge d'or »
(8 ) Nous voulons dire les conditions du Kali-Yuga ou de l'« âge de fer » dont l'époque romaine fait partie aussi bien que la nôtre.
(9) Que les anciens dieux deviennent d'une certaine façon des démons, c'est là un fait assez généralement constaté, et dont l'attitude des chrétiens à l'égard des dieux du « paganisme » n'est qu'un simple cas particulier, mais qui semble n'avoir jamais été expliqué comme il conviendrait; nous ne pouvons d'ailleurs insister ici sur ce point, qui nous entraînerait hors de notre sujet. Il est bien entendu que ceci, qui se réfère uniquement à certaines conditions cycliques, n'affecte ou ne modifie en rien le caractère essentiel de ces mêmes dieux en tant qu'ils symbolisent intemporellement des principes d'ordre supra-humain de sorte que, à côté de cet aspect maléfique accidentel, l'aspect bénéfique subsiste toujours malgré tout, et alors même qu'il est le plus complètement méconnu des « gens du dehors » ; l'interprétation astrologique de Saturne pourrait fournir un exempt, très net à cet égard.

On voit par ces exemples qu'il y a invariablement, dans les fêtes de ce genre, un élément « sinistre » et même « satanique », et ce qui est tout particulièrement à noter, c'est que c'est précisément cet élément même qui plaît au vulgaire et excite sa gaieté : c'est là, en effet, quelque chose qui est très propre, et plus même que quoi que ce soit d'autre, à donner satisfaction aux tendances de l'« homme déchu », en tant que ces tendances le poussent développer surtout les possibilités les plus inférieures de son être. Or, c'est justement en cela que réside la véritable raison d'être des fêtes en question : il s'agit en somme de « canaliser » en quelque sorte ces tendances et de les rendre aussi inoffensives qu'il se peut, en leur donnant l'occasion de se manifester, mais seulement pendant des périodes très brèves et dans des circonstances bien déterminées, et en assignant ainsi à cette manifestation des limites étroites qu'il ne lui est pas permis de dépasser (1).
S'il n'en était pas ainsi, ces mêmes tendances, faute de recevoir le minimum de satisfaction exigé par l'état actuel de l'humanité, risqueraient de faire explosion, si l'on peut dire (2), et d'étendre leurs effets à l'existence tout entière, collectivement aussi bien qu'individuellement, causant un désordre bien autrement grave que celui qui se produit seulement pendant quelques jours spécialement réservés à cette fin, et qui est d'ailleurs d'autant moins redoutable qu'il se trouve comme « régularisé » par là même, car, d'un côté, ces jours sont comme mis en dehors du cours normal des choses, de façon à n'exercer sur celui-ci aucune influence appréciable, et cependant, d'un autre côté, le fait qu'il n'y a là rien d'imprévu « normalise » en quelque sorte le désordre lui-même et l'intègre dans l'ordre total."

http://esprit-universel.over-blog.com/article-rene-guenon-sur-la-signification-des-fetes-carnavalesques-1-69058939.html

On comprend aussi que cette soudaine attirance moderne pour cette fête est l'occasion pour l'homme du Kali Yuga de poursuivre et maintenir un désordre permanent.
Cela est aussi caractéristique du NEOM qui prône l'égalité et le mélange des castes non pas pour revenir à la caste Hamsa primordiale mais à son exact opposé.
L'idée est de promouvoir un chaos qui sera en partie régulé par le pire fruit de ce chaos un monstre moderne : l'AC.

A Hollywood c'est Holî tous les jours...

"L'idée est de promouvoir un chaos qui sera en partie régulé par le pire fruit de ce chaos un monstre moderne : l'AC."

Oui, et l'installation de cet "état des choses" est désormais parfaitement perceptible.

Excellente analyse merci beaucoup Alfihar !
J'essaierai de regarder ce dernier épisode, en gardant en tête tout ce que vous indiquez....

Voici le dernier paragraphe du chapitre sur les fêtes carnavalesques que je rajoute car il me semble bien illustrer le point où nous en sommes rendus actuellement avec leur sinistre parodie qui bat son plein....

• "Pour terminer cet aperçu, nous ajouterons que, si les fêtes de cette sorte vont en s’amoindrissant de plus en plus et ne semblent même plus éveiller qu’à peine l’intérêt de la foule, c’est que, dans une époque comme la nôtre, elle ont véritablement perdu leur raison d’être : comment, en effet, pourrait-il être encore question de « circonscrire » le désordre et de l’enfermer dans des limites rigoureusement définies, alors qu’il est répandu partout et se manifeste constamment dans tous les domaines où s’exerce l’activité humaine ?
  Ainsi, la disparition presque complète de ces fêtes, dont on pourrait, si l’on s’en tenait aux apparences extérieures et à un point de vue simplement « esthétique », être tenté de se féliciter en raison de l’aspect de « laideur » qu’elles revêtent inévitablement, cette disparition, disons-nous, constitue au contraire, quand on va au fond des choses, un symptôme fort peu rassurant, puisqu’elle témoigne que le désordre a fait irruption dans tout le cours de l’existence et s’est généralisé à un tel point que nous vivons en réalité, pourrait-on dire, dans un sinistre « carnaval perpétuel »."
  

D'où, peut être cette déconfiture ambiante, en ce moment, qui est l'inverse des fêtes carnavalesques (noël qui est justement devenue carnavalesque, et de façon flagrante, cette année), une sorte de cafard qui semble ne plus avoir qu'une issue possible : la mort physique.
On peut résumer ce ressenti ainsi : "vivement qu'on en finisse".

Je ne promets pas de regarder, n'étant pas sûre de le pouvoir (en terme de temps), néanmoins tout ce qui est dit ici, m'intéresse.